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Critique de Roberte53
Ce recueil regroupant 6 courtes enquêtes de Maigret, publié par Omnibus et magnifiquement illustré par l'excellent Loustal, est un régal, à la fois pour les yeux et pour la qualité des récits qu'il contient. La taille des caractères des textes et les planches de dessins en noir et blanc qui agrémentent l'ouvrage en rendent la lecture plus facile et plaisante. Par ailleurs, une couverture cartonnée de grande qualité facilite la manipulation du livre.
Cet écrin littéraire renferme six chefs d'oeuvre de Georges Simenon et l'on a plaisir à accompagner le commissaire Maigret dans ses enquêtes, au fil de ses pérégrinations qui le conduisent depuis le 36, quai des Orfèvres jusqu'au Café des Ministères, dans le 7ème arrondissement de Paris (Le client le plus obstiné du monde), en passant par le quartier des Batignolles dans le 17ème arrondissement (On ne tue pas les pauvres types), puis nous allons passer un week-end en sa compagnie dans une villa cossue au Coudray, près de Corbeil, en bord de Seine (Menaces de mort), avant de nous retrouver dans un quartier malfamé de la rue Caulaincourt dans le 18ème arrondissement (Maigret et l'inspecteur Malgracieux). Nous quittons enfin Paris pour arpenter les rues des faubourgs des grandes villes de province (Le témoignage de l'enfant de choeur), sans oublier Meung-sur-Loire, une commune du Loiret où il pose définitivement ses valises pour vivre enfin une retraite méritée et paisible, enfin pas tout à fait paisible dans la dernière énigme (Ceux du Grand Café) !
Décidément, Georges Simenon ne laisse aucun répit au commissaire Maigret, osant même perturber la douce quiétude du retraité.
Cet écrin littéraire renferme six chefs d'oeuvre de Georges Simenon et l'on a plaisir à accompagner le commissaire Maigret dans ses enquêtes, au fil de ses pérégrinations qui le conduisent depuis le 36, quai des Orfèvres jusqu'au Café des Ministères, dans le 7ème arrondissement de Paris (Le client le plus obstiné du monde), en passant par le quartier des Batignolles dans le 17ème arrondissement (On ne tue pas les pauvres types), puis nous allons passer un week-end en sa compagnie dans une villa cossue au Coudray, près de Corbeil, en bord de Seine (Menaces de mort), avant de nous retrouver dans un quartier malfamé de la rue Caulaincourt dans le 18ème arrondissement (Maigret et l'inspecteur Malgracieux). Nous quittons enfin Paris pour arpenter les rues des faubourgs des grandes villes de province (Le témoignage de l'enfant de choeur), sans oublier Meung-sur-Loire, une commune du Loiret où il pose définitivement ses valises pour vivre enfin une retraite méritée et paisible, enfin pas tout à fait paisible dans la dernière énigme (Ceux du Grand Café) !
Décidément, Georges Simenon ne laisse aucun répit au commissaire Maigret, osant même perturber la douce quiétude du retraité.
