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Critique de madamerouge
Désolé mais je n'ai pas pu le finir.
A sa décharge, je viens de sortir de l'anneau de moebius de Thilliez et d'une période de boulimie des livres de Jean christophe Grangé.
Du coup, je me suis lancée pleine d'enthousiasme devant cette promesse de frisson, de suspense et d'érotisme.
Et bah non. Que dalle, rien du tout.
La psychologie est digne d'une analyse d'un pilier de comptoir.
J'ai failli m'étrangler devant le profil du tueur fait par notre super intelligente-super forte-super balèze enquêtrice.
Je dis cela parce qu'elle vient de Quantico hein, c'est pas une noeux-noeux ( c'est beaucoup répété donc ce dois être important), même si ça fait des années qu'elle planche sur une enquête sans jamais rien remettre en question, mis à part sa relation sex-friend avec son collègue.
La bonne idée du livre était de donner la parole à la personnalité malfaisante du psychopathe tout autant qu'à sa part bienveillante, son côté bon docteur.
Mais même là, le monologue du détraqué est peu aboutie, on n'y croit pas une seule seconde.
L'écriture est fluide mais franchement dénuée d'intérêts, j'ai beau me donner comme principe de finir chaque livres commencés là j'ai du abandonner devant tant de mièvrerie.
Passez votre chemin, l'écriture de thriller/polar est un genre que tout le monde ne maîtrise pas, le talent de Clemence Lucas est sans aucuns doutes ailleurs.
Bonne lecture.
A sa décharge, je viens de sortir de l'anneau de moebius de Thilliez et d'une période de boulimie des livres de Jean christophe Grangé.
Du coup, je me suis lancée pleine d'enthousiasme devant cette promesse de frisson, de suspense et d'érotisme.
Et bah non. Que dalle, rien du tout.
La psychologie est digne d'une analyse d'un pilier de comptoir.
J'ai failli m'étrangler devant le profil du tueur fait par notre super intelligente-super forte-super balèze enquêtrice.
Je dis cela parce qu'elle vient de Quantico hein, c'est pas une noeux-noeux ( c'est beaucoup répété donc ce dois être important), même si ça fait des années qu'elle planche sur une enquête sans jamais rien remettre en question, mis à part sa relation sex-friend avec son collègue.
La bonne idée du livre était de donner la parole à la personnalité malfaisante du psychopathe tout autant qu'à sa part bienveillante, son côté bon docteur.
Mais même là, le monologue du détraqué est peu aboutie, on n'y croit pas une seule seconde.
L'écriture est fluide mais franchement dénuée d'intérêts, j'ai beau me donner comme principe de finir chaque livres commencés là j'ai du abandonner devant tant de mièvrerie.
Passez votre chemin, l'écriture de thriller/polar est un genre que tout le monde ne maîtrise pas, le talent de Clemence Lucas est sans aucuns doutes ailleurs.
Bonne lecture.
