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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Hippolyte, 16 ans, vit seule avec sa mère à Bruxelles depuis le divorce de ses parents l'été d'avant. Toujours flanquée de ses amis Kouz et Benji, elle ne montre rien de la tristesse qu'elle ressent depuis cette séparation et tente de surmonter son désarroi. Si les relations avec son père sont distantes, la jeune fille entretient une relation plus complice avec sa mère. Jusqu'au jour où sa mère mord Hippolyte.

Une couverture vert pétant, une goutte de sang qui perle à une fourchette et un titre, « Ogresse ». Il n'en faut pas plus pour comprendre. La littérature ado aborde cette fois-ci un sujet tabou encore souvent peu traité : le cannibalisme. Aylin Manço, auteure belge vivant en France, signe ici son deuxième roman.
« Ogresse » met en scène des personnages et des thèmes récurrents de la littérature ado : des adolescents un peu perdus lorsque les parents se séparent, les premiers émois amoureux lorsque la frontière entre amitié et amour devient floue, les premières relations sexuelles, le soutien ou les trahisons des amis. Et puis, à côté des tourments classiques de cette période fragile, arrive le secret de la mère d'Hippolyte qui devient ensuite celui de la jeune fille : sa mère est cannibale.
Entre l'amour pour sa mère et cette réalité abominable, Hippolyte est prise dans un étau intenable. Que faire, que choisir ?
« Ogresse » nous provoque des frissons d'angoisse, nous révulse aussi parfois, mais sans jamais tomber dans le gore ou le sensationnel. Et s'il fait parfois froid dans le dos, ce roman est surtout dérangeant de par l'attitude d'Hippolyte vis à vis de sa mère qui voit surtout en elle la malade et non pas le monstre. Que sommes-nous prêts à accepter de nos proches lorsque l'on veut à tout prix les sauver ?

« Ogresse » est un roman de littérature ado vraiment de qualité. Les jeunes lecteurs y retrouveront tous les thèmes favoris, agrémentés d'une touche d'horreur. La personnalité et la psychologie des personnages sont creusées, l'intrigue est addictive et jusqu'à la fin, on ne lâche pas le livre. le style, par ailleurs, est travaillé.
Une très belle découverte et une auteure à suivre.

Merci à Babélio et aux éditions Sarbacane.
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Hippolyte vit seule avec sa mère et, depuis le départ de son père, son coeur bat fort, très fort, trop fort. Elle s'inquiète pour son amitié distandue avec Kouz, pour la vieille madame Muñoz qui a disparu, pour sa mère qui un soir l'a mordue... Une lecture passionnante avec un bon suspense et zéro mièvrerie (et, ça c'est bien). Un excellent mélange de roman noir et de roman miroir. Un roman qui plaira aux ados et à leurs parents curieux de les comprendre.
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Ce roman m'a bousculée. Il m'a heurtée notamment parce qu'il touche à un sujet très sensible et dérangeant : le cannibalisme, comme le titre le laisse présager.

Et Aylin Manço, tant qu'à faire, exploite ce thème au coeur d'une relation mère-fille. Et cela en devient encore plus troublant. Mais Ogresse ne se résume pas qu'à cela. C'est bien plus profond.

On accompagne aussi Hippolyte, l'héroïne qui se débat avec ses tourments adolescents et qui va devoir faire face à quelque chose d'inconcevable. En tant que lecteurs, spectateurs passifs, on a parfois du mal à savoir comment réagir à ce qui se déroule sous nos yeux. Certaines scènes sont douloureuses, insoutenables.

Aylin Manço traite avec justesse les rapports (amicaux, de force, de séduction) et les moqueries entre adolescents. Et elle le fait avec beaucoup d'humour. Il y en a, heureusement. C'est ce qui permet de souffler parmi tout le reste.

J'ai aimé tous les aspects de cette histoire : l'histoire d'amitié avec Kouz et Benji, la relation qu'elle va nouer avec Lola, l'enquête sur la disparition de Madame Munoz, sa voisine mais aussi le rapport compliqué qu'elle entretient avec ses deux parents. Et puis, il y a ce malaise latent dans sa propre maison. Ces repas qu'Hippolyte fait seul sous les yeux de sa mère. Cette viande qu'elle doit mâcher, avaler en se forçant.

"J'en ai coupé un bout, et l'ai mastiqué jusqu'à ce qu'il perde tout son goût. C'était un morceau tout petit. J'ai estimé qu'à ce rythme-là, il me faudrait trente bouchées avant de venir à bout de la viande. Ça me semblait aussi absurde de me forcer à la manger que de pousser de la nourriture dans le gosier d'une poupée de plastique. C'était pas tant que j'avais plus faim, c'était que j'avais oublié ce que ça faisait d'avoir faim."

Et puis ce comportement étrange de cette femme avec qui elle vit et qu'elle ne reconnaît plus. Au départ, on trouve ça un peu étrange, comme Hippolyte. Et puis ça dérape. Sérieusement.

"Alors le noir crache quelque chose de furieux qui me tombe dessus. le salon se renverse ; le sol me heurte dans le dos. J'ouvre la bouche pour hurler mais le choc m'a coupé le souffle.
Elle a les ongles enfoncés dans mes épaules et je sens son haleine sur mon cou. D'instinct, je la repousse d'une bourrade, elle tombe et je me roule en boule.
Est-ce qu'il faut crier, là ?"

Que fait sa mère enfermée dans la cave? Que cache-t-elle? Les questions sont nombreuses. Les réponses, finalement, on les a mais on ne veut pas vraiment y croire. C'est trop...

Alors on angoisse. Et cela ne fait qu'empirer. Car l'amour (quel qu'il soit) rend souvent aveugle et mène à tous les excès et toutes les prises de risque.

Aylin Manço réussit à tout traiter en profondeur sans que l'histoire ne perde son sens ou que nous, lecteurs, nous nous y perdions. On comprend tout ce qui agite la jeune fille. On comprend à quel point la séparation de ses parents a été douloureuse, comment fonctionne ( plutôt mal au début ) son groupe d'amis, comment elle cache ses sentiments envers l'un d'eux. le groupe va évoluer, grandir et accueillir un nouveau membre. Ensemble ils vont faire des expériences plus ou moins légères. Certaines, comme lors du week-end sans les parents de Benji seront drôles...

"Benji me faisait marrer, mais j'étais pas tellement mieux que lui. J'avais l'impression d'avoir basculé dans un tableau impressionniste, et de voir partout autour de moi les minuscules coups de pinceau mouvants qui constituaient la matière. En fait, j'étais moi-même faite de coups de pinceaux. L'artiste me peignait en ce moment même !!"

...d'autres beaucoup moins.

Aylin Manço, comme dans La dernière vague, intègre un élément totalement fantastique inexpliqué qui sert de fil conducteur à son histoire. Elle s'en sert habilement pour construire son récit et exacerber les peurs et sentiments de ses personnages.

Tout ce qui tourne autour de la nourriture aussi est un aspect important du roman. Avec sa mère mais aussi avec ses amis. Il y a de nombreux passages autour des inventions gustatives de Benji comme le "MacMorning ultimate" ou la version améliorée du hot-dog de chez Ikea rebaptisé "meilleur hot-dog du monde".

La nourriture qui fait vivre, qui est un besoin primaire devient ici inquiétante et parfois écoeurante. Cela contribue à rendre l'ambiance du roman encore plus pesante. le texte nous pèse sur le coeur et sur l'estomac...

"Tu peux essayer de nourrir une marionnette, tu peux enfoncer la nourriture dans sa bouche et l'écrabouiller entre les parois de plastique, elle peut même mastiquer si tu lui fais ouvrir et fermer la bouche, mais tu ne peux pas la faire avaler, tu ne peux pas la faire digérer, excréter. La nourriture ne lui sert à rien."

Tout ce qui touche au corps et ses matières est aussi hyper présent. C'est saisissant.

Bref, ce roman porte bien son titre. Ogresse va vous manger tout cru et vous recracher, pantelants, choqués et je l'espère, comme moi, totalement convaincus et soufflés par la puissance de son histoire.

Histoire qui, une fois terminée, quoi que vous en ayez pensé, vous laissera une trace, là, un peu comme celle d'une morsure.

Un GROS GROS COUP DE COEUR pour ce roman définitivement à contre-courant mais génialissime.
Lien : https://www.hashtagceline.co..
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Nan mais il est horrible et génial ce livre ! La tension monte bien, les personnages sont attachants, les non-dits sont bien présents, l'imagination travaille.
C'est incroyable ce que Hippo est capable d'endurer par amour pour sa mère ! Et ses amis qui sont toujours là, soutien indéfectible. Voir ses parents divorcer, ses premiers émois amoureux s'éveiller, ce n'est déjà pas simple...mais là !
Un roman qu'on a bien du mal à lâcher.
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Ogresse
Aylin Manço
Sarbacane (Exprim'), 2020
Dans une société où le nombre de végétariens et de vegans est en augmentation constante, Aylin Manço s'attaque à un sujet peu commun et qui peut déranger : le cannibalisme.
Ogresse est l'histoire d'Hippolyte, une adolescente de 16 ans, qui vit avec sa mère, son père ayant quitté le foyer familial. Nous suivons Hippolyte dans son quotidien : que ce soit avec sa mère ou avec ses amis au lycée mais aussi à l'extérieur. Une vie assez classique jusqu'au jour où elle de rend compte que sa mère lui ment sur son travail, et que Mme Munoz, une voisine, assez âgée, qu'elle connaît relativement bien, disparaît. A partir de ces deux évènements marquants pour Hippolyte, son monde va se transformer : relation à sa mère, amitiés, amour...
Difficile d'en dire plus sans divulguer tout le texte, qui nous prend aux tripes jusqu'à la fin. Là où Aylin Manço est particulièrement bonne, c'est qu'au-delà du cannibalisme, elle parle des violences familiales, de la difficulté d'en sortir et de l'importance d'être bien entouré, même si cet entourage ne sait pas comment agir au mieux.
Un texte essentiel dont on ressort grandit car il nous oblige à ne pas fermer les yeux sur certains comportements et à les dénoncer quitte à se mettre à dos un ami.
A lire dés 15 ans.
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Hippolyte préfère qu'on l'appelle H. et tente de maintenir le cap tant bien que mal. Depuis que Benji est arrivé de France avec sa famille, ils forment avec Kouz un trio solide mais dans lequel elle peine parfois à se faire la place qu'elle souhaiterait, son statut de fille étant souvent oublié au profit de celui de pote. Ses parents se sont séparés récemment, sans rien lui dire, et H. doit désormais cohabiter avec une mère de plus en plus mystérieuse, qui la nourrit de pièces de viande qui commencent à lui retourner l'estomac. Quand leur voisine madame Munoz disparaît, H. pressent que c'en est définitivement fini des heures insouciantes de l'enfance. Elle en a la confirmation le soir où sa mère se jette sur elle et la mord...

Je n'en dirai pas plus sur l'histoire même du roman par peur de divulgâcher des éléments importants de l'intrigue. Pourtant, j'étais déjà au courant de ce dont parle le livre avant de l'ouvrir (et des indices plus qu'évidents nous sont donnés avant même le premier chapitre) et ça n'a pas empêché l'angoisse de s'installer progressivement et les frissons de me parcourir l'échine.

Savoir de quoi il en retourne ne m'a pas empêché de me demander comment les choses allaient tourner, ni de m'attacher sincèrement à H., Benji, Kouz et Lola. C'est à mes yeux une des forces du roman d'Aylin Manço : ses personnages particulièrement bien caractérisés, profondément humains et vivants, familiers. On a instantanément l'impression de les connaître, on les a forcément déjà croisés sur les bancs de l'école, dans un parc ou les transports en commun. Et parce qu'ils semblent si réels, on a tout de suite envie de les suivre, de les aimer. À travers eux, l'autrice parle avec une grande justesse des difficultés que l'on peut rencontrer à l'adolescence, de la tâche ingrate qui nous incombe de grandir sans trop de dégâts alors qu'on n'est plus en mesure de reconnaître le monde tel qu'on se l'est toujours représenté.

Que ces histoires d'âge transitoire s'inscrivent dans un récit d'horreur, ce n'est pas nouveau. Mais le fait est que ça s'y prête merveilleusement bien et qu'Aylin Manço a su utiliser les codes du genre à la perfection. La tension nerveuse qui s'ancre en nous crescendo, nous menant par moments au bord de la nausée, est joliment maîtrisée et ne retombe pas tout au long des 274 pages qui composent le livre.

Un texte aussi qualitatif que sa bande-son et que je ne peux que vous inciter à dévorer !
Lien : https://8tiret3.blogspot.com..
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Voici un roman atypique qui mêle les genres et nous entraîne dans une spirale de noirceur mais avec beaucoup d'amour en arrière-plan.

Nous suivons H, 16 ans qui est en pleine tempête émotionnelle suite à la brusque séparation de ses parents.
Son quotidien est complètement chamboulé et cette adolescente en perte de repères parlera à beaucoup d'entre nous.
Le manque de communication dans le cercle familiale est parfaitement décrit et renvoi à un sentiment d'incompréhension qui fragilise aussi bien les parents que les enfants.

Car c'est un texte qui traite de cet amour immuable qui nous lie à nos enfants et nos parents, du pardon, mais aussi de la peur, du regret ou de la culpabilité.

Le roman se compose de deux grands axes :
➡️ le quotidien de lycéenne de H avec ses amis, ses cours, ses premières fois, ses erreurs aussi. le harcèlement, les échanges de « nudes » et leurs répercussions, les possibles conséquences de certains agissements qui blessent.
➡️ le changement de la mère de H qui agit de manière troublante voire complément effrayante et c'est ici que le côté conte se ressent. L'intrigue monte crescendo, le mystère qui l'entoure s'épaissit, le sang coule, H est effrayé mais cherche une explication rassurante.

Un bémol quant au personnage de Kouz, le meilleur ami de H, qui m'a été extrêmement antipathique et qui évolue trop radicalement. Je n'ai pas réussi à comprendre son changement d'attitude.

Un roman yound adult singulier, particulièrement fluide, qui traite de sujets forts, d'une manière pleine de finesse et de sensibilité avec un message final puissant sous le prisme d'une analogie percutante.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Hippolyte a du mal à supporter le divorce de ses parents, en plus depuis quelques temps sa mère agit super bizarrement. Elle s'enferme la nuit dans la cave la nuit. Et puis la disparition de leur voisine va tout bouleverser.

Au début de cette lecture j'étais perplexe. Parce que Hippolyte a deux amis, et leur comportement était très très sexiste. Et j'étais genre « oh non », mais en fait c'est complètement dénoncé, et c'était bien. Donc, j'ai continué ma lecture et c'était absolument étrange. Ce livre est super bien écrit et il nous plonge dans une ambiance super bizarre, avec cette mère qui n'agit pas comme d'habitude, qui ment et qui a des secrets. Et quand elle mord sa fille, celle-ci va essayer de comprendre ce qu'il se passe. Hippolyte va recevoir de l'aide de Lola, une fille qu'elle a toujours ignoré alors qu'elles étaient voisines.
En plus de tout ça, Hippolyte doit gérer l'école, et son amitié avec Benji et ses sentiments pour Kouz.

J'ai beaucoup aimé cette lecture, c'était hyper intrigant et plein de suspens. C'est assez toxique entre la mère et la fille. Hippolyte essaye de tout gérer toute seule et on se demande quand est-ce que tout va péter. La tension monte au fur et à mesure des pages. Et le livre se dévore.

J'ai plutôt bien aimé les personnages, surtout celui de Lola qui est très franche et qui a ses convictions. Benji est aussi sympa. J'ai eu plus de mal avec Kouz, mais petit à petit son comportement s'améliore. Quand à Hippolyte, si je l'ai apprécié, elle m'a des fois énervé de ne pas prendre en compte les sentiments des gens autour d'elle. Ce qui lui arrive est très dure, mais s'en prendre aux autres n'est pas une solution.

En bref, c'était une lecture étrange que j'ai beaucoup aimé, avec une très belle écriture et pas mal de suspens.
Lien : https://jetulis.wordpress.co..
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Voilà un roman que je n'aurais probablement pas acheté sans les conseils de quelqu'un ! Et je ne regrette pas.

"Ogresse", c'est l'histoire de la jeune Hippolyte (comme la reine des Amazones), surnommée H. Elle vit seule avec sa mère et ne se sépare jamais de Kouz et de Benji. Tout se passe tant bien mal (Ah... L'adolescence...). Jusqu'au jour où... Sa mère lui saute dessus et la mord ! Entre inquiétude et espoir, la loyale H va tenter de faire comme si tout allait pour le mieux.

Ce conte, à la fois moderne et sombre, m'a tenu en haleine de bout en bout. le rythme est bien présent et ce qui semble être une pointe de fantastique sonne très juste et plausible. En tout cas, Aylin Manço m'a donné envie d'y croire.

Pour une fois, l'autrice ne tombe pas dans la caricature de l'adolescence et ses tourments. Ses personnages sont justes, modernes et ne cumulent ni les défauts ni les qualités. Cela les rend attachants et on peut s'y identifier facilement.

Au delà de la relation mère-fille, "Ogresse" aborde un sujet dérangeant voire tabou : le cannibalisme. Pourquoi ? Comment ? Est-ce acceptable ? Jusqu'à quel point ? Évidemment, nous n'avons pas de réponses claires et nettes (et je ne les attendais pas). En revanche, certaines réflexions sont très justes et portent à réfléchir sur nos relations sociales et ce qu'on est prêt à faire pour les autres. (Merci Lola)
Lien : https://lireparelora.wordpre..
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Honnêtement j'ai bien aimé ce livre, malgré le fait que la fin est un peu trop gentillette pour moi. Mais ce que j'aimais c'est le faite qu'Hippolyte ait des amis qui sont là pour la soutenir malgré le fait qu'elle soit dans le déni sur le cas de sa mère même si j'aurais préféré qu'ils aillent voir la police car pendant tout le livre visiblement le comportement de la mère les choquent mais sans plus. Ils préfèrent se pécho et faire des soirées. Bref cette critique est courte est un peu brouillon mais ce résume plutôt bien ce que j'ai ressenti dans ma lecture, c'est une bonne lecture qui nous donne à réfléchir sur nos sentiments et ce qu'on est capable de faire et d'accepter quand on aime un personne mais les personnages du roman doivent revoir leurs priorités.
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