>
Critique de kalimera
Je suis en vacances... j'ai pris un billet pour l'oeuvre de Thomas Mann.
Avec farniente et nonchalance sur les plages de la mer du nord, visite nostalgique de la ville de Munich au temps des calèches et des chapeaux "huit reflets", excursions onéreuses mais oh combien nostalgiques au pays de l'enfance et de l'ambiguïté amoureuse.
J'ai gardé prés de moi un daguerréotype de cet auteur que je découvre bien tard.
J'ai étudié de prés ce portrait, en lisant ces nouvelles, courtes mais si percutantes au coeur où musique et nostalgie sont si bien décrites.
J'ai scruté ce regard pétillant et séducteur, cette pose de dandy élégant, sûr de lui et malgré tout un peu fragile à l'approche de la vieillesse.
Je suis tombée sous le charme de l'univers unique, à la fois solaire et pleins d'ombres de Thomas Mann.
Je ne suis personne, comment pourrais-je écrire une critique de la nouvelle le petit monsieur Friedemann ou une critique de la mort à Venise?
Impossible, il faut juste accepter de se laisser aller dans le monde de Thomas Mann, accompagné par un peu de musique, l'oeuvre de Gustav Mahler est parfaite pour cela quand on connait l'admiration de l'écrivain pour le musicien.
https://www.youtube.com/watch?v=sHsFIv8VA7w
Avec farniente et nonchalance sur les plages de la mer du nord, visite nostalgique de la ville de Munich au temps des calèches et des chapeaux "huit reflets", excursions onéreuses mais oh combien nostalgiques au pays de l'enfance et de l'ambiguïté amoureuse.
J'ai gardé prés de moi un daguerréotype de cet auteur que je découvre bien tard.
J'ai étudié de prés ce portrait, en lisant ces nouvelles, courtes mais si percutantes au coeur où musique et nostalgie sont si bien décrites.
J'ai scruté ce regard pétillant et séducteur, cette pose de dandy élégant, sûr de lui et malgré tout un peu fragile à l'approche de la vieillesse.
Je suis tombée sous le charme de l'univers unique, à la fois solaire et pleins d'ombres de Thomas Mann.
Je ne suis personne, comment pourrais-je écrire une critique de la nouvelle le petit monsieur Friedemann ou une critique de la mort à Venise?
Impossible, il faut juste accepter de se laisser aller dans le monde de Thomas Mann, accompagné par un peu de musique, l'oeuvre de Gustav Mahler est parfaite pour cela quand on connait l'admiration de l'écrivain pour le musicien.
https://www.youtube.com/watch?v=sHsFIv8VA7w
