Les premières pages sont terribles. Elles sont dures, denses, intenses. Je n'avais jusqu'alors rien lu d'une telle qualité sur le génocide arménien. Avant tout, ces pages sont nécessaires.
Malheureusement, une fois Araxie en France, j'ai décroché. La suite d'événements, ou rocambolesques, ou plus ou moins cousus de fil blanc, la plume assez quelconque de l'auteur, les intrigues sentimentales, m'ont lassée. Quel contraste avec la qualité de la première partie, passionnante. Je n'imaginais pas les liens si forts entre le génocide arménien et la shoah.
Quel dommage que la deuxième partie ne soit pas à la hauteur ! Je ne lirai probablement pas la suite dont pourtant le sujet m'intéresserait aussi.
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