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Critique de lirado
Dans Une semaine chez ma mère, Gladys Marciano plonge le lecteur dans la tête d'une jeune adolescente de 12 ans qui ressent les premiers changements de son corps : elle n'en finit pas de grandir, ses seins commencent à pousser, et ses premiers sentiments pour un garçon.
Le roman traite avec justesse cette période où l'on ne sait plus très bien ce que l'on veut, ce que l'on voudrait être. Une semaine chez ma mère c'est aussi l'histoire d'un frère et de deux soeurs confrontés au divorce de leurs parents, abordant avec humour ce va et vient hebdomadaire entre la mère et le père. Bianca se pose les questions des adolescents de son âge et par son récit jour après jour de sa semaine chez sa mère, évoque un quotidien banal qui parlera au lecteur.
Ce court récit se lit d'une traite, nous fait souvent sourire car Bianca est très « nature » et n'hésite pas à dire les choses comme elle les perçoit, les pense. Une écriture facile, ponctuée de nombreux dialogues, proche des ados d'aujourd'hui par la présence de sms au cours du récit.
Une semaine chez ma mère c'est tout simplement un livre sur l'adolescence et la famille, à portée universelle.
Le roman traite avec justesse cette période où l'on ne sait plus très bien ce que l'on veut, ce que l'on voudrait être. Une semaine chez ma mère c'est aussi l'histoire d'un frère et de deux soeurs confrontés au divorce de leurs parents, abordant avec humour ce va et vient hebdomadaire entre la mère et le père. Bianca se pose les questions des adolescents de son âge et par son récit jour après jour de sa semaine chez sa mère, évoque un quotidien banal qui parlera au lecteur.
Ce court récit se lit d'une traite, nous fait souvent sourire car Bianca est très « nature » et n'hésite pas à dire les choses comme elle les perçoit, les pense. Une écriture facile, ponctuée de nombreux dialogues, proche des ados d'aujourd'hui par la présence de sms au cours du récit.
Une semaine chez ma mère c'est tout simplement un livre sur l'adolescence et la famille, à portée universelle.
