Hercule Poirot et Hastings assistent à un spectacle où Carlotta Adams, artiste américaine, imitait une actrice célèbre, Jane Wilkinson, américaine, elle aussi.
Poirot et Hastings finissent la soirée dans les appartements privés de Jane Wilkinson…
Non, n'allez pas imaginer que… La soirée était remplie d'invités et personne n'a proposé au détective de participer à une partouze, mais la Jane lui demande une chose étrange…
Comme son mari refuse le divorce, alors, la dame demande à tonton Poirot de discuter avec ce mari qui ne veut point lui rendre sa liberté pour qu'elle aille épouser un autre homme.
Si tonton Poirot n'aide pas les gens à se débarrasser de leurs « encombrants », il veut bien aller discuter avec ledit mari, pour tenter de lui faire changer d'avis. Ensuite, les morts vont tomber…
Bémol ? Les dessins ne me plaisent pas du tout ! Ni la représentation de Poirot, ni certains gros plans de visages, qui se retrouvent horriblement dessinés (non, je ne saurais pas faire mieux, mais ce n'est pas mon job, non plus).
Ce qui sauve cet album, c'est l'excellence du scénario d'
Agatha Christie : affûté comme un couteau, coupant, tranchant et précis.
Même si, il ne me viendrait pas à l'idée de planter un couteau dans la nuque pour assassiner quelqu'un… Je le planterais ailleurs, mais ceci n'est qu'une histoire de choix.
Bien souvent, dans les adaptations bédés, le fait qu'il faille tout mettre dans 46 pages, donne souvent des résultats mitigés : on a l'impression que tout va trop vite. Ici, ce n'est pas le cas, même si l'on ne traîne pas en route. le final est parfaitement compréhensible.
Une excellente adaptation, hormis pour les dessins, qui ne m'ont pas fait kiffer… Dommage, parce que sinon, c'était carton plein !
Lien :
https://thecanniballecteur.w..