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Citations sur La Fille du pasteur Cullen, tome 2 : À l'abri du sile.. (14)

La désillusion venait après les déceptions répétées. Déceptions face à ses propres capacités d'arriver à changer les choses.
Un sentiment d'impuissance qui grandissait au fur et à mesure qu'on découvrait le monde des hommes ; leur acharnement à détruire, à réduire, à supprimer pour obtenir selon leur plaisir.
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Pourquoi ceux que la chance embrassait s'efforçaient-ils de se trouver à plaindre ? Que penser de ces nègres assujettis, flagellés, humiliés, à l'orgueil piétiné et qui continuaient de chanter et de rire ?
Le bonheur appartenait à ceux qui avaient cessé de le chercher.
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Voilà ce qu'étaient ces gens. Des fragments. Des éclats de voix muettes. Naufrages de civilisations africaines sur les côtes antillaises. D'origine africaine igbo, hausa, fanti, laouien, ashanti, wasa, ewe, yoruba ou akyem, ils avaient été hommes, femmes ou enfants, puis butin de guerre, règlements de tribus, monnaie d'échange, et, pour finir, esclaves, machinerie, biens meubles utiles. Possessions dont on use et dispose.
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Nos faiblesses nous rendent faciles à piéger, Miss Seton, n'oubliez jamais ça. On n'attire pas un chien avec de l'argent comme on ne peut pas attirer un homme avec un os. À chacun son appât.
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La douleur ne se partageait pas. Elle se vivait égoïstement à l'intérieur de soi.
Et chacun la supportait selon ses capacités.
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Les regrets ne servent que si on en fait des résolutions
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... tu vois, la vie est un grand escalier qui monte vers le ciel et il faut le gravir marche par marche. À vouloir le monter quatre par quatre, tu risques de retomber plus bas et de te blesser.
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— Marier Charlotte ? fit Dana avec incrédulité.
— Toute femme respectable se marie, Dana.
— Dois-je considérer que je ne suis une femme respectable que grâce à toi ?
Le mariage demeurait-il toujours la seule avenue souhaitable pour une femme ? Sa mère l'avait cru. Tout le monde semblait le penser. Pas elle. L'amour était l'unique prétexte valable du mariage pour elle. Un lien sacré et non pas une option de vie confortable.
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Il ne faut pas reprocher à la vie les choix que l'on a faits.
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Et c'est avec effroi qu'elle prenait conscience que l'amour n'avait rien d'éternel. L'amour évoluait comme un jardin et subissait les saisons, flétrissait rapidement si on ne prenait pas garde de l'entretenir avec soin.
Le leur avait connu les fougues du printemps, la candeur de l'été et la richesse de l'automne.
Est-ce que l'aridité de l'hiver allait déjà tout cristalliser si tôt ?
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