J'ai réveillé le tigre

Dans ce récit qui nous raconte le périple de Sarah Marquis à travers la Tasmanie , région sauvage et aux forêts inexplorées , l'aventure bien que passionnante démarre un peu tard avec la description des préparatifs , bien qu'indispensables .
Une belle aventure , mais au titre un peu trompeur car le Thylacine est évidemment absent et plus ou moins évoqué .
Pour le négatif beaucoup de mot anglais et latins pour les noms des plantes et les animaux ...
Un périple intéressant et dangereux mais avec beaucoup de courage et de volonté , avec un tigre supposé aperçu dans un fleuve , mais avec un gros doute quand même ...
Bien sûr le Tigre est au final surtout une métaphore sur la volonté de se surpasser et de continuer malgré les embûches et les souffrances , mais je m'attendais à autre chose .

Plus les années passent et plus je ressens cet appel de la nature.

J'adore lire ces récits d'aventure. J'admire ces hommes et ces femmes qui s'aventurent là où personne ne va, seuls.

Ici j'ai découvert @explorer_sarahmarquis . J'ai été bercée par ses mots, emportée en Tasmanie. J'ai vu la beauté de la nature à travers ses yeux, entendu ses sons grâce à ses oreilles. J'ai été émerveillée, j'ai souffert aussi car évidemment explorer le monde n'est pas une promenade de santé et j'ai surtout beaucoup appris.

#jaireveilleletigre est aussi beau à l'extérieur qu'à l'intérieur. Bien plus qu'une exploration c'est une réelle quête de soi et un magnifique hommage à la nature.

Je viens de découvrir cette exploratrice et autrice accomplie. J'ai aimé lire le récit de son expédition en Tasmanie, cela m'a donné envie de lire ses autres livres par la suite d'ailleurs.

Dans ce récit, j'ai aimé découvrir un territoire encore inconnu, la Tasmanie, sa faune, sa flore, son hostilité, ses pièges, son climat intransigeant, ses belles découvertes, son atmosphère particulière...

Le seul petit bémol (qui n'en est pas vraiment un): Pour ma part, j'aurai passé moins de pages sur la préparation de l'expédition, même si l'on comprend vite que cette étape est cruciale pour arriver au bout de l'aventure dans de bonnes conditions.

Une lecture intéressante et une belle découerte :)

D'habitude je suis toujours emportée par les livres de Sarah Marquis, sa façon de raconter ces expériences et de marcher seule dans des endroits méconnus voire inconnus. Là, malheureusement, je suis moins rentrée dans le texte : est-ce le lieu ? Est- ce plutôt l'écriture beaucoup plus critique que d'habitude ? Je ne sais pas mais celui-ci j'aurais beaucoup plus de mal à en recommander la lecture autour de moi.

Je ne connaissais pas Sarah Marquis, une amie m'a offert ce roman en étant sûr que cela me plairait et me parlerait.
3 mois d'aventures dans une forêt impénétrable de l'ouest de la Tasmanie, voilà le programme que propose l'autrice.

Avec un style simple, elle nous emporte dans son exploration.
De la préparation minutieuse jusqu'au but final, elle partage ces moments de galère, de joie, d'émerveillement et de découverte. Elle nous fait aussi comprendre qu'il faut une connexion forte entre l'homme et la nature pour appréhender un tel chemin.
Elle m'a conforté, de part son incroyable expérience, que nous devons rester à notre place et ne pas essayer de dominer notre environnement mais plutôt vivre en osmose avec lui. Cela sera plus bénéfique à l'humain et à la planète.

Une femme incroyable à la philosophie positive.

Connaissez-vous Sarah Marquis, cette exploratrice suisse qui a déjà parcouru l'équivalent du tour de la Terre à pied ?

Je suis une grande admiratrice et je savoure ses aventures.
Dans ce récit, elle nous entraîne en Tasmanie, territoire qu'elle prévoit de traverser seule.

J'ai lu ses ouvrages précédents, cette marcheuse de l'extrême ne cesse de me surprendre. Son courage, son rapport à la nature me touchent. J'aime aussi qu'elle partage ainsi ses ressentis, ses réflexions sans tabous.

Même si dans ce récit, le temps de préparation est davantage décrit que le temps d'expédition, il est encore une fois une magnifique leçon de vie.

Merci. Merci.

Exploratrice d'exception, cette auteure / marcheuse de par le monde, part seule une fois encore pour explorer un des endroits les plus confidentiels de la planète : la Tasmanie. Seul bémol, il faut attendre plus de 80 pages -dévolues à la préparation du projet- pour entrer avec elle dans le vif du sujet. Confrontée à la nature, elle doit, partout où elle passe, trouver un complément à la nourriture emportée, faire du feu, construire un abri pour la nuit, s'abriter de la pluie, du soleil, de la chaleur, du froid, des animaux grands ou petits... et d'une terrible chute. Bref elle découvre des splendeurs. Mais ne verra pas vraiment de Tigre de Tasmanie, aussi ou plus rare encore que la Panthère des Neiges...

J'avoue tout : j'ai souvent du mal avec les débuts de roman de Sarah Marquis. La plume a du mal à prendre, je n'aime pas la façon dont elle se met en mots, qui donne presque une impression d'arrogance (sans juger la personne, que je ne connais pas : je parle bien de la plume). Mais je suis contente de m'être accrochée pour ensuite plonger dans l'aventure de cette exploration, et dévorer son récit d'une seule traite.