Citations sur Le Trône de Fer - Intégrale, tome 4 : Un festin pour les c.. (125)
Moi, c'est Pat, répondit l'autre, Pat comme le petit porcher.
"Des dragons...", fit Mollander.
Le vieillard blêmit. « Vo … Votre Grâce plaisante. Je… j’ai purgé Sa Seigneurie, je l’ai saignée, je l’ai soignée avec des cataplasmes et des infusions… Les inhalations lui procurent un peu de soulagement, et le bonsomme atténue la violence de sa toux, mais j’ai bien peur qu’en plus du sang il n’expectore maintenant des morceaux de poumon.
- Libre à lui de le faire. Mais vous allez retourner tout de suite à son chevet et l’informer que je ne lui permets absolument pas de mourrir.
- Si tel est le bon plaisir de Votre Grâce.
Un muet qui se vouerait au silence s’apparenterait à un cul-de-jatte renonçant à danser le rigodon
Un bouquin de plus, s’était-il promis, et je m’arrêterai. Un folio de plus, rien qu’un. Une page de plus, et alors, là, je monterai me reposer et manger un morceau
— [...] j'ai purgé Sa Seigneurie, je l'ai saignée, je l'ai soignée avec des cataplasmes et des infusions... Les inhalations lui procurent un peu de soulagement, et le bonsomme atténue la violence de sa toux, mais j'ai bien peur qu'en plus du sang il n'expectore maintenant des morceaux de poumon.
— Libre à lui de le faire. Mais vous allez retourner tout de suite à son chevet et l'informer que je ne lui permets absolument pas de mourir.
— Si tel est le bon plaisir de Votre Grâce.
— [...] Tu n'as pas à me donner d'ordres. Je suis ta mère.
— Oui, mais je suis le roi. Margaery dit que tout le monde doit faire ce que le roi dit. Je veux mon coursier blanc sellé demain matin pour que ser Loras puisse m'apprendre à jouter. Je veux aussi un petit chat, et je ne veux pas manger de betteraves.
« Quand j'étais une petite fille, je me figurais que tous les hommes étaient aussi nobles que mon père. » Même ceux qui lui disaient comme elle était mignonne, comme elle était grande et vive et futée, comme elle était gracieuse quand elle dansait. C'est septa Roelle qui l'avait brutalement dessillée. « Ils disent ces choses à seule fin de se gagner les bonnes grâces de ton seigneur père, avait-elle déclaré. La vérité, c'est dans ton miroir que tu la trouveras, pas sur la langue des hommes. »
Archimestre Rigney a écrit un jour que l'histoire tourne comme une roue, vu que la nature humaine est fondamentalement immuable. D'après lui, ce qui s'est déjà produit se reproduira forcément encore.
Avant de devenir aveugle, le vieillard avait éprouvé pour les livres la même passion que Samwell Tarly. Il savait trop bien comment il leur arrive de vous engloutir corps et âme, comme si chacune de leurs pages était un abîme ouvert sur un autre monde.