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Critique de corali
J'ai acheté Les gens heureux lisent et boivent du café un peu par hasard. Pour être honnête j'en avais beaucoup entendu parlé, mais j'ai la fâcheuse tendance à être très – non super – déçue par les romans et autres textes (voire même les films et séries) dont j'entends parler à tout bout de champ, alors je n'avais jamais osé le prendre lorsque j'écumais les rayons des librairies. Mais, un peu en panne de « bonnes idées lecture », j'ai fini par l'ajouter à mon panier Amazon, en me disant qu'au pire, si j'étais déçue, il ne m'aurait coûté que quelques euros.
Et finalement, ce premier roman d'Agnès Martin-Lugand a été un véritable coup de coeur – tant et si bien que j'ai immédiatement acheté la suite. Je l'ai dévoré en une journée, j'étais tellement collée à l'histoire que m'arrêter pour manger ou refaire du café a été une véritable torture. J'ai même choisi délibérément d'arriver en retard chez des amis car je voulais le finir avant de prendre la route !
J'ai adoré le personnage de Diane, cette femme meurtrie et en deuil largement à côté de la plaque, parfois même un peu ridicule dans son attitude autodestructrice poussé à l'extrême. J'ai adoré voir, page après page, comment les habitants de ce petit village d'Ireland parvenait à l'apprivoiser ; j'ai adoré la voir passer de petit chat sauvage apeuré par le monde à petit chat câlin, ronronnant et indépendant. J'ai aussi aimé le personnage d'Edward, même s'il reste encore un peu mystérieux pour moi. Au final, même si j'ai trouvé que l'atmosphère irlandaise n'était pas assez développée, j'ai voyagé le temps de ces 186 pages, je me suis retrouvée dans ce pub irlandais avec Diane. Et c'est ça qui compte.
En résumé, Les gens heureux lisent et boivent du café est une belle réussite, un petit bijou, le genre de roman que tu dévores le temps d'un après-midi ensoleillé et que tu ne peux que recommander aux autres. le genre de roman qui te tient en haleine, qui te happe malgré ses défauts, malgré l'histoire qui pourrait ressembler à tant d'autres, malgré l'atmosphère lourde de la reconstruction. Un petit secret ? le texte a même réussi à m'arracher quelques petites larmes, alors que j'étais tout là-bas en Ireland, à dire a une gentille famille que j'avais perdu la mienne. Ah non, c'est vrai je ne suis que lectrice, je ne suis pas Diane… une sublime lecture (même si triste pas moment)
Lien : https://palduneparisienne.wo..
Et finalement, ce premier roman d'Agnès Martin-Lugand a été un véritable coup de coeur – tant et si bien que j'ai immédiatement acheté la suite. Je l'ai dévoré en une journée, j'étais tellement collée à l'histoire que m'arrêter pour manger ou refaire du café a été une véritable torture. J'ai même choisi délibérément d'arriver en retard chez des amis car je voulais le finir avant de prendre la route !
J'ai adoré le personnage de Diane, cette femme meurtrie et en deuil largement à côté de la plaque, parfois même un peu ridicule dans son attitude autodestructrice poussé à l'extrême. J'ai adoré voir, page après page, comment les habitants de ce petit village d'Ireland parvenait à l'apprivoiser ; j'ai adoré la voir passer de petit chat sauvage apeuré par le monde à petit chat câlin, ronronnant et indépendant. J'ai aussi aimé le personnage d'Edward, même s'il reste encore un peu mystérieux pour moi. Au final, même si j'ai trouvé que l'atmosphère irlandaise n'était pas assez développée, j'ai voyagé le temps de ces 186 pages, je me suis retrouvée dans ce pub irlandais avec Diane. Et c'est ça qui compte.
En résumé, Les gens heureux lisent et boivent du café est une belle réussite, un petit bijou, le genre de roman que tu dévores le temps d'un après-midi ensoleillé et que tu ne peux que recommander aux autres. le genre de roman qui te tient en haleine, qui te happe malgré ses défauts, malgré l'histoire qui pourrait ressembler à tant d'autres, malgré l'atmosphère lourde de la reconstruction. Un petit secret ? le texte a même réussi à m'arracher quelques petites larmes, alors que j'étais tout là-bas en Ireland, à dire a une gentille famille que j'avais perdu la mienne. Ah non, c'est vrai je ne suis que lectrice, je ne suis pas Diane… une sublime lecture (même si triste pas moment)
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