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Critique de de_poudlard_a_anima
Ce roman nous parle de deuil, mais pas seulement. le début de l'histoire, certes, nous plonge dans la noirceur qui a envahi Diane, son sentiment de ne plus être, son oubli de soi et son immense tristesse. La perte de ce qui la définissait, du tout auquel elle appartenait, a brisé son identité, son âme et son coeur. Elle n'a plus envie de vivre.
Cette entrée en matière m'a énormément touchée. On sent, à travers la magnifique plume d'Agnès Martin-Lugand, tout l'amour que Diane portait à son mari et sa fille, et la déchirure qu'elle a subie face à cette soudaine solitude. On sent également à quel point toute cette noirceur qui l'habite la tire vers le bas, l'isole encore un peu plus, la dépouille de sa vitalité. C'est poignant et particulièrement bien raconté. J'avais la gorge nouée et je n'avais envie que d'une chose : continuer à lire pour savoir si Diane parviendrait à reprendre le dessus de la vie, et surtout comment. C'est donc ce que j'ai fait.
Dans la seconde partie de ce roman, nous suivons Diane jusqu'en Irlande. C'est un peu le voyage du dernier espoir. L'exil dont elle a besoin pour se reconstruire.
Quand je vous disais que ce roman parlait du deuil, mais pas que, c'est pour la raison suivante : ce roman est aussi un récit plein d'espoir et de reconstruction. Comment la mort peut-elle apprendre à vivre ? Agnès Martin-Lugand et Diane nous l'apprennent à coup de mots bien choisis, de beaux paysages, d'amour et d'amitié.
Il y a peu de personnages dans cette histoire, mais tous sont attachants et portent en eux les couleurs des causes qu'ils soutiennent. le meilleur ami de Diane, Félix, par exemple, qui permet à l'auteure d'aborder le sujet de l'homosexualité et celui de l'amitié. J'ai adoré ces personnages et leurs idéaux.
J'ai été attristée par la fin de l'histoire, car je n'aurais pas voulu que cela se finisse ainsi. Mais c'est un choix de l'auteure que je respecte, évidemment. Je lirai sûrement la suite un jour, intitulée « La vie est facile, ne t'inquiète pas », mais pour l'instant j'aime penser que l'histoire s'arrête là. J'aime l'idée de laisser Diane vivre sa vie, enfin.
Cette entrée en matière m'a énormément touchée. On sent, à travers la magnifique plume d'Agnès Martin-Lugand, tout l'amour que Diane portait à son mari et sa fille, et la déchirure qu'elle a subie face à cette soudaine solitude. On sent également à quel point toute cette noirceur qui l'habite la tire vers le bas, l'isole encore un peu plus, la dépouille de sa vitalité. C'est poignant et particulièrement bien raconté. J'avais la gorge nouée et je n'avais envie que d'une chose : continuer à lire pour savoir si Diane parviendrait à reprendre le dessus de la vie, et surtout comment. C'est donc ce que j'ai fait.
Dans la seconde partie de ce roman, nous suivons Diane jusqu'en Irlande. C'est un peu le voyage du dernier espoir. L'exil dont elle a besoin pour se reconstruire.
Quand je vous disais que ce roman parlait du deuil, mais pas que, c'est pour la raison suivante : ce roman est aussi un récit plein d'espoir et de reconstruction. Comment la mort peut-elle apprendre à vivre ? Agnès Martin-Lugand et Diane nous l'apprennent à coup de mots bien choisis, de beaux paysages, d'amour et d'amitié.
Il y a peu de personnages dans cette histoire, mais tous sont attachants et portent en eux les couleurs des causes qu'ils soutiennent. le meilleur ami de Diane, Félix, par exemple, qui permet à l'auteure d'aborder le sujet de l'homosexualité et celui de l'amitié. J'ai adoré ces personnages et leurs idéaux.
J'ai été attristée par la fin de l'histoire, car je n'aurais pas voulu que cela se finisse ainsi. Mais c'est un choix de l'auteure que je respecte, évidemment. Je lirai sûrement la suite un jour, intitulée « La vie est facile, ne t'inquiète pas », mais pour l'instant j'aime penser que l'histoire s'arrête là. J'aime l'idée de laisser Diane vivre sa vie, enfin.
