100 pages blanches

Attirée par le potentiel d'une histoire basée sur un carnet "magique" (symbole qui touchera n'importe quel aspirant écrivain ou lecteur chevronné à n'en pas douter), j'ai pourtant été fortement déçue par 100 pages blanches.
J'aime les styles sans fioriture, mais trop de simplicité tue la simplicité.
Distrayant mais aisément dispensable.

J'attendais avec impatience son deuxieme roman ayant apprecié Dieu est un pote à moi(lire mon avis sur mes articles)... L'idee etait bien trouvée un livre magique mais apres quelques pages et pas vraiment de rebondissements je me suis ennuyée ... Heureusement un humour qui parfois m'a fait sourire et une fin plutot inattendue.

Un homme reçois pour unique héritage un carnet blanc. Tandis que ses soeurs récoltent le pactole, il se sent floué. Très rapidement, il découvre que ce carnet est magique.

Grâce à ce livre il renoue les contacts avec des personnes perdues de vue, découvre une famille mais perd d'autres choses et surtout du temps. Finalement, ce carnet est-il vraiment un bien?

L'idée est jolie, le livre écrit agréablement et se lit vite. Par contre je me suis vite lassée de ses souvenirs.

Une petite histoire sans grande utilité. La morale de cette histoire? Ne pas se retourner sur le passé et vivre le présent pour se construire ses souvenirs...

Un petit carnet qui nous prend par la main...
Ses souvenirs qui nous accompagent le long du chemln...
Un doux pélerinage qui fait du bien.

Bof bof.

C'est une histoire bien mignonne à la Musso avec un brin de Erika Strange et de pensine de Harry Potter.

Vite lu et pas très convaincant.

Le style, les phrases, les mots choisis sont creux, sans consistance. J'ai vraiment du mal avec ses livres "jetables".