>
Critique de anitchoisy
C'est le troisième livre de Graham Masterton que je lis et je ne suis pas déçue. J'ai lu en premier " rituel de chair " ( là j'ai fais fort pour une première lecture ) et ensuite j'ai lu "Démences" ( Qui est également pas mal ).
D'ailleurs le début de " Apparition " m'a rappelé le début de " Démences" où on y retrouve également un père divorcé qui a la garde de son fils ainsi qu'une demeure avec d'étranges secrets. Dans " Rituel de chair ", c'est l'histoire d'un père divorcé qui parcours la route des restaurants avec son fils de 15 ans.
Est-ce que je découvrirai d'autres romans avec le thème du père et du fis, peut-être, à voir. du moment que l'intrigue est haletante, pas de souci.
Mais bon revenons à nos moutons et surtout à notre histoire.
Dans ce roman, notre père de famille, David Williams, est chargé de restaurer une vieille demeure victorienne sur l'île de Wight. Il est accompagné de son jeune fils Danny de sept ans. Un enfant très jeune mais qui a une capacité intellectuelle très avancée et qui bien entendu, comprend très vite ce qui se passe.
L'intrigue démarre dès la première nuit, où d'étranges grattements se font entendre du grenier. Curieux de nature et n'arrivant plus à dormir, David décide de jeter un coup d'oeil au grenier mais n'ayant pas de lumière, il n'entrevoit qu'une grosse forme poilue et froide qui le frôle. Et cette odeur de pourriture qui flotte dans le grenier n'encourage pas David à poursuivre ses recherches. Paniqué il arrive à ressortir de cet endroit où il ne reviendra qu'accompagné d'un dératiseur.
Après un bon petit-déjeuner et oubliant la mésaventure du grenier, David et Danny se rendent dans le parc de la demeure pour y découvrir un petit cimetière où sont enterrés des enfants entre 4 et 13 ans et chose très curieuse: tous sont morts dans l'intervalle de 2 semaines.
Que s'est-il passé ? une épidémie, une série de meurtres ou bien autre chose.
Bon je continuerais bien à vous en dire d'avantage mais bon je risque de trop en dire.
Par contre ce roman est vraiment haletant, l'intrigue est bien menée et fait parfois froid dans le dos.
Graham Masterton nous emmène dans une autre dimension et rend ainsi un hommage respectueux à une icône du fantastique : Lovecraft.
D'ailleurs le début de " Apparition " m'a rappelé le début de " Démences" où on y retrouve également un père divorcé qui a la garde de son fils ainsi qu'une demeure avec d'étranges secrets. Dans " Rituel de chair ", c'est l'histoire d'un père divorcé qui parcours la route des restaurants avec son fils de 15 ans.
Est-ce que je découvrirai d'autres romans avec le thème du père et du fis, peut-être, à voir. du moment que l'intrigue est haletante, pas de souci.
Mais bon revenons à nos moutons et surtout à notre histoire.
Dans ce roman, notre père de famille, David Williams, est chargé de restaurer une vieille demeure victorienne sur l'île de Wight. Il est accompagné de son jeune fils Danny de sept ans. Un enfant très jeune mais qui a une capacité intellectuelle très avancée et qui bien entendu, comprend très vite ce qui se passe.
L'intrigue démarre dès la première nuit, où d'étranges grattements se font entendre du grenier. Curieux de nature et n'arrivant plus à dormir, David décide de jeter un coup d'oeil au grenier mais n'ayant pas de lumière, il n'entrevoit qu'une grosse forme poilue et froide qui le frôle. Et cette odeur de pourriture qui flotte dans le grenier n'encourage pas David à poursuivre ses recherches. Paniqué il arrive à ressortir de cet endroit où il ne reviendra qu'accompagné d'un dératiseur.
Après un bon petit-déjeuner et oubliant la mésaventure du grenier, David et Danny se rendent dans le parc de la demeure pour y découvrir un petit cimetière où sont enterrés des enfants entre 4 et 13 ans et chose très curieuse: tous sont morts dans l'intervalle de 2 semaines.
Que s'est-il passé ? une épidémie, une série de meurtres ou bien autre chose.
Bon je continuerais bien à vous en dire d'avantage mais bon je risque de trop en dire.
Par contre ce roman est vraiment haletant, l'intrigue est bien menée et fait parfois froid dans le dos.
Graham Masterton nous emmène dans une autre dimension et rend ainsi un hommage respectueux à une icône du fantastique : Lovecraft.
