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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Leiji Matsumoto est un individu rêveur et idéaliste, bref sensible, qui semble avoir longtemps avoir été hanté par une question pour lui existentielle : pourquoi son père qu'il a toujours admiré n'a jamais levé le petit doigt contre le totalitarisme du Japon de l'Ere Showa ?...
Il a décidé de le transformer en Harlock, matricule SN-00999, militaire romantique, et de se transformer lui-même en Toshiro, matricule SN-00998, ingénieur idéaliste, ce qui nous offre des équivalents japonais de l'Eternel Champion et de l'Eternel compagnon du multivers de l'anglais Michael Moorcock. Ensemble, ils lutteront à travers le cosmos tout entier pour la liberté, l'égalité et la fraternité, en reniant les idéologies délétères des puissants et en défendant tous ceux qui cultivent l'espoir d'un monde meilleur. Ainsi est née la saga "Harlock"/"Albator", un opéra spatial intemporel qui emprunte ses leitmotive à Beethoven, à Verdi, à Bizet, mais surtout à Wagner…


Cette nouvelle série intitulée "Capitaine Albator, Dimension Voyage" est une reprise moderne de la saga à l'origine du leijiverse…
Nous entrons dans l'univers par les investigations d'une jeune et belle journaliste, avant qu'elle ne dévoile sa véritable identité et sa véritable mission lors de sa rencontre avec un lonesome corsaire sirotant un red bourbon d'Andromède… ^^
Puis nous suivons par les yeux du jeune Tadashi les assassinats des professeurs Kusco et Daiba par une agente des Sylvidres… Il a beau remuer ciel et terre pour que le gouvernement fasse quelque chose contre la menace extraterrestre, ce dernier corrompu jusqu'à la moelle ne fait absolument rien d'autre que de le prendre de haut (on vous a reconnu messieurs [insérer ici les noms des président et premier ministre du moment car de toute façon ils sortent absolument tous du moule « tout pour ma gueule, et après moi le déluge ! »]). Au final, s'il veut respecter les serments qu'il a prononcés, le jeune rebelle n'a plus que deux échappatoires :
- suivre la voie légale et intégrer le Bataillon Gaïa et travailler sous les ordres du vice-commandant Kirita…
- suivre la voie illégale et intégrer l'équipage pirate de l'Arcadia sous les ordres du capitaine rebelle Albator…
Beaucoup de foreshadowing avec les prophéties sylvidres (sur fond d'ambiance à "Les Envahisseurs" ^^), les légendaires pistolets cosmo dragoon, les non moins légendaires vaisseaux et capitaines de vaisseaux du Bataillon Gaïa, la voix off d'Emeraldas qui nous annonce que le jeune Tadashi Daiba est destinée à devenir lui aussi un porte-drapeau du combat pour la liberté, l'égalité et la fraternité en prenant les commandes du Deathshadow II, le plus puissant vaisseau de combat du leijiverse…

Force est de constater que les messages révolutionnaires de Leiji Matsumoto ont quand même pris un coup de vieux, car ils sont très ancrés années 1960/1970 et depuis le temps le TINA a causé des dommages incommensurables à une humanité qui lui a répliqué la maxime NO FUTURE… (Rien qu'en ce moment au moins une demi-douzaine de séries manga d'excellente facture sont largement plus anti-système que l'anti-système Albabor…)
Force est de constater que les graphismes modernes de Kouti Shimaboshi donnent un coup de jeune à la saga, même si on sent qu'on lorgne sur les améliorations apportées par presque 40 ans d'adaptation animées (remember "Interstella 5555") ! Est-ce que la nouvelle génération qui travaille en niveaux de gris est compatible avec le formidable travail sur les noirs de Leiji Matsumoto ? Telle est la question que les fans vont devoirs se poser et à laquelle les auteurs vont devoir répondre d'une manière ou d'une autre…
La saga d'origine est toujours restée inachevée, puisqu'elle s'arrêtait la veille de la bataille finale du capitaine Albator contre le peuple extraterrestre des Sylvidres… Est-ce que cette reprise va apporter un terme à la saga ? Je laisse les connaisseurs de repérer les petits cailloux blanc semés par les auteurs qui permettent de répondre à cette question… blink


Mais bon, on ne va chipoter ça fait plaisir de retrouver le leijiverse servi par de bons graphismes : le bon kif est au rendez-vous ! (Sinon, plus que jamais je trouve que la dernière série du super Alex Alice est la version steampunk du leijiverse…)
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La Terre est menacée par les sylvidres et les gouvernements discutent du sexe des anges ou jouent au golf…

Les politiciens sont corrompus (ceci n'est pas de la SF) et regardent tous le capitaine Albator de haut, alors qu'il est un des rares à vouloir défendre la terre.

Obligé de prendre le maquis avec son équipage, notre corsaire/pirate de l'espace compte bien foutre une raclée à ces salopes de sylvidres qui veulent vampiriser la Terre.

Vous me direz que ceci n'est rien de neuf sous le soleil et je dirai "Tout à fait, Thierry". Ce manga reprend en fait le dessin animé qui fit nos beaux jours sur Club Dorothée, à quelques détails près (les quelques cheveux blancs que nous avons pris, aussi).

Malgré tout, Albator reste un de mes personnages préférés (avec Ken et Cobra, entre autre, mais Albator est en haut de la pile) et le revoir dans des magnifiques crayonnés tirant vers les tons gris-noir est un plaisir de fin gourmet.

N'ayant pas revu l'animé depuis des lustres, j'ai oublié comment il commençait et c'est donc avec curiosité que j'ai découvert le manga qui commence avec une attaque en règle menée par le capitaine, à bord du vaisseau Arcadia, pour passer ensuite à une journaliste qui s'intéresse au cas de notre corsaire/pirate.

Dans le manga, Albator est clairement nommé "pirate" et non "corsaire" comme dans l'animé. Fin de la parenthèse culturelle du jour.

Matsumoto est resté au scénario et il a confié le dessin à Shimaboshi qui a dépoussiéré un peu le dessin donnant un manga avec des airs des années 70 tout en lui offrant un p'tit coup djeun's. Pas de trop… L'équipage du capitaine est toujours aussi loufoque (mais compétent). Quant au ministre de la Confédération Terrienne – entre autre – il est toujours aussi con, bête, débile et j'en passe.

Tellement aveugle, cet imbécile là, que quand le jeune Tadashi viendra lui conter les assassinats des professeurs Kusco et Daiba (son père) par une agente des Sylvidres, ce stupide petit homme le mettra en prison, obligeant ensuite le jeune garçon à prendre le maquis à bord de l'Arcadia.

Un manga avec de l'action, de l'Aventure, du mystère, des meurtres, de l'infiltration par l'ennemi, de la résistance alors que tout le monde baisse les bras et un capitaine de l'espace avec un charisme fou même si l'homme est froid, distant, taiseux et toussa toussa.

Le plaisir de me replonger dans la série, en espérant qu'elle aille à son terme !

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Albator est un personnage qui a bercé mon enfance, j'ai regardé les animés en boucle et même aujourd'hui, j'apprécie toujours d'y replonger de temps à autre. Découvert un peu par hasard, ce ''Capitaine Albator - Dimension Voyage'' s'est donné pour mission de dépoussiérer un peu l'oeuvre de Leiji Matsumoto et de le moderniser un peu.

L'histoire est donc légèrement différente de celle de l'animé, même si tous les points sont respectés. Les dessins sont superbes, l'histoire est épique (et je n'ai pas manqué d'avoir la musique en tête lors de ma lecture). Seul petit bémol : maintenant que je n'ai plus 10 ans, je me rends compte que le courageux Albator qui lutte seul parce que le gouvernements est composés de gens moches, veules, lâches, corruptibles, couards, stupides... c'est quand même très très manichéen ! Si j'avais découvert cette histoire aujourd'hui, j'aurais sans doute été plus sévère, mais j'avoue que la nostalgie a fait son boulot sur moi et que j'ai envie de pardonner ses faiblesses à ce manga qui reste vraiment très agréable à lire.
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Manga lu d'une traite. Albator ayant été comme beaucoup de monde le corsaire de l'espace qui a bercé mon enfance, j'ai été happée par la couverture. Cela fait du bien de replonger dans cet univers même si j'ai trouvé qu'il manquait d'actions (normal pour un premier tome). J'ai aimé voir l'approche de l'auteur de ce personnage.

L'atmosphère est incroyable, Albator semble être une ombre tant menaçante pour certains, qu'un espoir pour d'autres. Son ombre plane et il est difficile de l'intercepter. Au départ, nous sommes face à une journaliste qui tente de rassembler des informations sur qui il est , sur sa vie et ses objectifs. C'est une approche qui permet de (re)poser les bases assez aisément.

Le manga possède des touches d'humour qui ont réussi à me faire retomber en enfance. J'ai personnellement aimé les dessins qui collent plutôt bien à l'animé. Malgré mes réticences sur cette écriture moderne, cette revisite, le récit colle assez à l'univers pour que j'en sois bluffée (NB: je ne suis pas une fana extrême donc je me trompe peut-être là-dessus). En tout cas, ce premier tome fait le job et le final donne envie de connaître la suite!

Ce qui est peut-être de l'extrapolation, est qu'on se retrouve face à une allégorie de notre monde. Une corruption et un je m'en foutisme politique tourné vers la destruction de notre monde avec pour seul espoir, la vie dans l'espace.
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Les Sylvrides s'apprêtent à envahir la Terre mais cette dernière, menée par des politiciens corrompus, ne semble pas vouloir se défendre. Seul le Capitaine Albator et son équipage, à bord du redoutable Arcadia veulent se battre. Kouiti Shimaboshi reprend la série crée par Leiji Matsumoto. Les dessins sont bien maîtrisés. Quel plaisir de retouver Albator !
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Albator est une série animée qui a bercé l'enfance de bien des trentenaires. Ce ne fut pas le cas pour moi, mais il n'empêche que j'ai pas mal d'images de cette série en tête. Je ne partais donc pas complètement vierge en lisant le premier tome de ce remake du manga de Leiji Matsumoto, surtout que j'ai aussi regardé cette année le film l'adaptant au cinéma. Depuis toujours, j'aime son univers mélangeant space opéra et western, et je suis sous le charme des êtres qu'il a inventés. Ai-je retrouvé cela dans ce remake ?

L'ambiance est effectivement au rendez-vous grâce à un découpage de l'histoire et une narration très cinématographique qui n'est pas sans rappeler l'époque des grands western. Nous ouvrons cette grande histoire sur l'enquête qu'une jeune femme mène sur le fameux Capitaine Albator et tout s'enchaine comme dans les films, avec carrément des plans de caméra fixe sur les personnages qui assènent leur discours grandiloquents. Nous sommes en plein dans ce qui fera le ton de la saga : des personnages poseurs et des enjeux mondiaux.

Car Albator, c'est l'histoire d'un homme qui va se rebeller contre le gouvernement en place sur Terre pour sauver celle-ci malgré eux d'une menace extra-terrestre symbolisée par des êtres à l'allure féminine : les Sylvidres. Cet homme est un rebelle aux traits de pirate de l'espace et il a tout l'attirail qui va avec : costume, visage couturé, arme épée, oiseau perché sur son épaule, vaisseau spatial en forme de bateau, équipage hétéroclite, et je dois en oublier.

Ce remake a donc bien tout l'habillage de la série d'origine. Graphiquement, c'est très beau car le trait est adapté à notre époque, alors que celui d'origine de Leiji Matsumoto a vieilli et pas forcément très bien – désolée pour les amateurs… Les principaux acteurs sont fins et longilignes mais plein d'énergie, tandis que les secondaires ont des bouilles rondes amusantes avec des nez en patate, de petits yeux chafouins et de longues bouches étirées. le dessin colle parfaitement à mes souvenirs.

Là où je suis plus réservée, c'est sur le rythme de ce premier tome. Je trouve le début assez mollasson et forcé dans le premier chapitre d'introduction, même si j'en saisis les références. Les chapitres suivants ne m'ont guère plus enthousiasmée car ils se passent essentiellement sur Terre et non dans l'espace, autour d'un jeune personnage qui va rejoindre l'équipage d'Albator. Certes, il poursuit l'histoire introduite dans le premier chapitre mais il répète également les idées qu'on y avait développée, faisant redondant. J'aurais voulu plonger de plein pied dans la guerre contre les Sylvidres et non revenir inlassablement sur les problèmes dus au gouvernement terrestre et aux mauvaises relations qu'Albator entretient avec certains…

Ce premier tome permet une bonne redécouverte de l'univers de la série que je connaissais. Cependant, je reste prudente parce que je n'ai pas ressenti le souffle épique que j'attendais. On reste beaucoup trop cantonné à la Terre pour ça. J'attends plutôt de voir les conflits avec les Sylvidres et de vrais combats spatiaux !
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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nostalgie nostalgie…
Retrouver un héros de son enfance est souvent risqué…
On peut être déçu…

Ce n'est pas le cas pour ce manga qui a su me replonger dans l'ambiance de la série animée des années 80. Les dessins, l'ambiance sont tops.

Le lancement de l'histoire avec une journaliste est efficace et ingénieux.
Les enjeux et les protagonistes sont rapidement mis en place.

A voir comment le scénario s'étoffe pour la suite.

Un moment agréable qui fait résonner nos souvenirs d'enfance…
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Population uniquement centrée sur son plaisir personnel, bloquée devant la télévision, politiciens corrompus, menaces sur la planète ignorées malgré les nombreux signes et avertissement... Eh oui, Albator semble n'avoir pas pris une ride. Dans les sujets qu'il dénonce en tout cas. La découverte de cette édition redessinée a donné envie de se replonger dans les vieux dessins animés d'Albator (capitain Harlock). Et il n'y a pas à dire, il a toujours autant de classe et sa bannière de la liberté donne toujours autant envie de la suivre.
Dans ce nouveau manga d'Albator, Reiji Matsumoto est aux commandes du scénario mais pas du dessin, ce qui donne un certain changement de style, assez sympa une fois qu'on s'y est habitué. Ce tome 1 reprend les début et en particulier l'arrivée de Daiba. Peut-être cela serat-il l'occasion d'avoir un manga regroupant de façon moins éparpillée l'histoire d'Albator et de Toshiro, dont la chronologie a été parfois un peu malmenée par les différents animés. On attend avec impatience le tome 2 !
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Ce premier tome nous plonge dans une aventure spatiale où les Sylvides se préparent à envahir la Terre, souhaitant mettre fin à toute humanité. Certains humains dotés d'un grand courage ont réussi à quitter la Terre pour partir à la conquête de l'espace. Toutefois, cela n'est pas à la portée de tous, certains hommes ont donné leurs vies pour protéger la Terre et d'autres s'y trouvent toujours. La sphère noire étant tombée sur Terre et la menace extra-terrestre approchant, les terriens se retrouvent alors sans défense face à cette horde féminine menée par la reine Sylvidra. Mais ce n'est pas sans compter sur Albator, ce soit disant hors-la-loi, qui fera tout ce qui est en son pouvoir pour protéger la Terre.

J'ai vu de nombreux épisodes d'antan d'Albator ainsi que le film d'animation Captain Harlock (de son véritable nom) que j'ai plutôt bien apprécié même s'il n'a rien à voir avec l'histoire première d'Albator. Toutefois, je n'ai jamais lu les premières péripéties en manga de ce personnage énigmatique mais qui en impose de par sa présence. Je découvre donc Capitaine Albator Dimensions Voyage, une nouvelle version scénarisée par le grand Leiji Matsumoto qui lègue cependant le dessin de son oeuvre à Kouiti Shimaboshi. Et il faut avouer que le coup de crayon de ce dernier est plus que réussi. J'ai vraiment apprécié de découvrir Albator dans de telles postures, très charismatique et surtout avec un style très moderne. Mais le reste n'est pas laissé pour compte, croyez-moi. Les vignettes sont bien détaillées, on notera ici un point d'honneur apporte au souci du détail. La preuve aussi en s'attardant sur les vignettes où rares sont celles qui sont vides d'arrière-plan. Il y en a mais vraiment peu.

J'ai apprécié suivre les aventures du corsaire et découvrir par la même occasion ce « reboot » dessiné par Kouiti Shimaboshi. J'aime beaucoup la découpe faite également sur les divers plans d'action ainsi que les gros plans sur les principaux protagonistes. Je trouve que le coup de poignet est vraiment précis, voire intense. On profite vraiment d'un renouveau sur le design, car même si je n'ai pas lu la version originale de Capitaine Albator, cela ne m'a pas empêché de faire quelques recherches histoire de comparer certaines planches. Après avoir découvert ce premier tome, le dessin me semble être l'un des points maître au niveau de cette « nouvelle » aventure.

Leiji Matsumoto nous invite à prendre part à ce nouveau voyage qui de mon point de vue est très prometteur, dynamique et riche dans son univers, des fois même un peu trop. Albator a toujours autant la classe (avec ces deux ceintures à la taille) et d'autant plus dans « Dimension Voyage » grâce à Kouiti Shimaboshi qui sait lui imposer un charisme chaque fois qu'on le voit apparaître. Je le trouve vraiment stylé de par son allure et sa chevelure imposante ! D'ailleurs, on apprécie toujours autant, et là je compare à la version animée, l'importance capillaire apportée aux hommes. En ce qui concerne les femmes, on aime aussi le style d'antan à savoir qu'elles possèdent de belles courbes très finement dessinées et dotées de très longues jambes.

Ce premier tome nous plonge dans l'univers d'Albator d'une manière nouvelle de par son design remis au goût du jour. Ce premier tome est assez riche en contenu, le retour d'Albator et de son équipage fait vraiment plaisir à lire et à découvrir.

« Albator, le corsaire le plus connu de l'espace est ici de retour dans une nouvelle version remise talentueusement au goût du jour par Kouiti Shimaboshi qui signe d'ailleurs sa première série avec brio. »

Critique complète sur le blog...
Lien : http://www.jegeekjeplay.fr/2..
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Moderniser l'oeuvre qu'est Albator était un pari osé, mais Matsumoto a tout de même essayé et Capitaine Albator Dimension Voyage est pour moi une réussite du moins avec ce premier tome.
Albator a été très présent durant mon enfance et le voir de nouveau dans les librairies a quelque chose de nostalgique.

Cette nouvelle série reprend les personnages et base de l'histoire de l'oeuvre original tout en rajeunissant l'oeuvre. Ce premier tome nous présente les personnages et les bases de l'histoire. C'est un excellent premier tome, il pose une bonne partie des personnages, l'histoire et les futurs potentiels ennemis et alliés célèbre hors-la-loi.
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