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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Très sympa de retourner dans l enfance avec ce premier opus d'Albator. Cela garde bien l esprit du dessin animé. Ce premier livre met en place les personnages, la situation, et l histoire à venir.
C est le principe du manga mais si, pour d autres livres je n ai pas ressenti cela, pour celui ci, la couleur manque. Sans doute parce que mes images d enfance sont en couleurs. Mais pour les nostalgique et amoureux de manga , ça marche !
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Albator est un personnage qui a bercé mon enfance, j'ai regardé les animés en boucle et même aujourd'hui, j'apprécie toujours d'y replonger de temps à autre. Découvert un peu par hasard, ce ''Capitaine Albator - Dimension Voyage'' s'est donné pour mission de dépoussiérer un peu l'oeuvre de Leiji Matsumoto et de le moderniser un peu.

L'histoire est donc légèrement différente de celle de l'animé, même si tous les points sont respectés. Les dessins sont superbes, l'histoire est épique (et je n'ai pas manqué d'avoir la musique en tête lors de ma lecture). Seul petit bémol : maintenant que je n'ai plus 10 ans, je me rends compte que le courageux Albator qui lutte seul parce que le gouvernements est composés de gens moches, veules, lâches, corruptibles, couards, stupides... c'est quand même très très manichéen ! Si j'avais découvert cette histoire aujourd'hui, j'aurais sans doute été plus sévère, mais j'avoue que la nostalgie a fait son boulot sur moi et que j'ai envie de pardonner ses faiblesses à ce manga qui reste vraiment très agréable à lire.
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nostalgie nostalgie…
Retrouver un héros de son enfance est souvent risqué…
On peut être déçu…

Ce n'est pas le cas pour ce manga qui a su me replonger dans l'ambiance de la série animée des années 80. Les dessins, l'ambiance sont tops.

Le lancement de l'histoire avec une journaliste est efficace et ingénieux.
Les enjeux et les protagonistes sont rapidement mis en place.

A voir comment le scénario s'étoffe pour la suite.

Un moment agréable qui fait résonner nos souvenirs d'enfance…
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Moderniser l'oeuvre qu'est Albator était un pari osé, mais Matsumoto a tout de même essayé et Capitaine Albator Dimension Voyage est pour moi une réussite du moins avec ce premier tome.
Albator a été très présent durant mon enfance et le voir de nouveau dans les librairies a quelque chose de nostalgique.

Cette nouvelle série reprend les personnages et base de l'histoire de l'oeuvre original tout en rajeunissant l'oeuvre. Ce premier tome nous présente les personnages et les bases de l'histoire. C'est un excellent premier tome, il pose une bonne partie des personnages, l'histoire et les futurs potentiels ennemis et alliés célèbre hors-la-loi.
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Manga lu d'une traite. Albator ayant été comme beaucoup de monde le corsaire de l'espace qui a bercé mon enfance, j'ai été happée par la couverture. Cela fait du bien de replonger dans cet univers même si j'ai trouvé qu'il manquait d'actions (normal pour un premier tome). J'ai aimé voir l'approche de l'auteur de ce personnage.

L'atmosphère est incroyable, Albator semble être une ombre tant menaçante pour certains, qu'un espoir pour d'autres. Son ombre plane et il est difficile de l'intercepter. Au départ, nous sommes face à une journaliste qui tente de rassembler des informations sur qui il est , sur sa vie et ses objectifs. C'est une approche qui permet de (re)poser les bases assez aisément.

Le manga possède des touches d'humour qui ont réussi à me faire retomber en enfance. J'ai personnellement aimé les dessins qui collent plutôt bien à l'animé. Malgré mes réticences sur cette écriture moderne, cette revisite, le récit colle assez à l'univers pour que j'en sois bluffée (NB: je ne suis pas une fana extrême donc je me trompe peut-être là-dessus). En tout cas, ce premier tome fait le job et le final donne envie de connaître la suite!

Ce qui est peut-être de l'extrapolation, est qu'on se retrouve face à une allégorie de notre monde. Une corruption et un je m'en foutisme politique tourné vers la destruction de notre monde avec pour seul espoir, la vie dans l'espace.
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Les Sylvrides s'apprêtent à envahir la Terre mais cette dernière, menée par des politiciens corrompus, ne semble pas vouloir se défendre. Seul le Capitaine Albator et son équipage, à bord du redoutable Arcadia veulent se battre. Kouiti Shimaboshi reprend la série crée par Leiji Matsumoto. Les dessins sont bien maîtrisés. Quel plaisir de retouver Albator !
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Albator est une série animée qui a bercé l'enfance de bien des trentenaires. Ce ne fut pas le cas pour moi, mais il n'empêche que j'ai pas mal d'images de cette série en tête. Je ne partais donc pas complètement vierge en lisant le premier tome de ce remake du manga de Leiji Matsumoto, surtout que j'ai aussi regardé cette année le film l'adaptant au cinéma. Depuis toujours, j'aime son univers mélangeant space opéra et western, et je suis sous le charme des êtres qu'il a inventés. Ai-je retrouvé cela dans ce remake ?

L'ambiance est effectivement au rendez-vous grâce à un découpage de l'histoire et une narration très cinématographique qui n'est pas sans rappeler l'époque des grands western. Nous ouvrons cette grande histoire sur l'enquête qu'une jeune femme mène sur le fameux Capitaine Albator et tout s'enchaine comme dans les films, avec carrément des plans de caméra fixe sur les personnages qui assènent leur discours grandiloquents. Nous sommes en plein dans ce qui fera le ton de la saga : des personnages poseurs et des enjeux mondiaux.

Car Albator, c'est l'histoire d'un homme qui va se rebeller contre le gouvernement en place sur Terre pour sauver celle-ci malgré eux d'une menace extra-terrestre symbolisée par des êtres à l'allure féminine : les Sylvidres. Cet homme est un rebelle aux traits de pirate de l'espace et il a tout l'attirail qui va avec : costume, visage couturé, arme épée, oiseau perché sur son épaule, vaisseau spatial en forme de bateau, équipage hétéroclite, et je dois en oublier.

Ce remake a donc bien tout l'habillage de la série d'origine. Graphiquement, c'est très beau car le trait est adapté à notre époque, alors que celui d'origine de Leiji Matsumoto a vieilli et pas forcément très bien – désolée pour les amateurs… Les principaux acteurs sont fins et longilignes mais plein d'énergie, tandis que les secondaires ont des bouilles rondes amusantes avec des nez en patate, de petits yeux chafouins et de longues bouches étirées. le dessin colle parfaitement à mes souvenirs.

Là où je suis plus réservée, c'est sur le rythme de ce premier tome. Je trouve le début assez mollasson et forcé dans le premier chapitre d'introduction, même si j'en saisis les références. Les chapitres suivants ne m'ont guère plus enthousiasmée car ils se passent essentiellement sur Terre et non dans l'espace, autour d'un jeune personnage qui va rejoindre l'équipage d'Albator. Certes, il poursuit l'histoire introduite dans le premier chapitre mais il répète également les idées qu'on y avait développée, faisant redondant. J'aurais voulu plonger de plein pied dans la guerre contre les Sylvidres et non revenir inlassablement sur les problèmes dus au gouvernement terrestre et aux mauvaises relations qu'Albator entretient avec certains…

Ce premier tome permet une bonne redécouverte de l'univers de la série que je connaissais. Cependant, je reste prudente parce que je n'ai pas ressenti le souffle épique que j'attendais. On reste beaucoup trop cantonné à la Terre pour ça. J'attends plutôt de voir les conflits avec les Sylvidres et de vrais combats spatiaux !
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Albator est l'un des héros de mon enfance avec Goldorak et Capitaine Flam…. L'espace est décidément un lieu où il fait pas bon vivre.
C'est avec beaucoup de nostalgie que j'ai lu ce manga. Et avec un plaisir non dissimulé. Je me suis replongé dans l'ambiance noire de ce manga, ou le destin de la Terre et de l'humanité tient dans la rébellion du capitaine Albator. En prenant ce manga, les paroles du générique du DA me reviennent immédiatement. L'histoire retrace donc les débuts de l'épopée avec les sylvidres . Oui ces femmes humanoïdes qui partent en flammes en hurlant dès qu'elles sont tuées. Ces femmes prêtes à tout, au charme fou.

Dans ce tome 1 le lecteur non initié à Albator découvre une Terre où seule la richesse compte pour les forts et où l'instinct de survie est tout ce qui reste au plus faibles. Dans l'espace sévit un pirate, dont la tête est mise à prix pour fait de piratage mais aussi de désertion. Ce dernier mène un combat à la fois contre le gouvernement corrompu et contre l'envahisseur.

Le lecteur apprend petit à petit qui est Albator, son passé et sa motivation. Ce tome 1 est donc une mise en place de l'histoire, une introduction aux différents protagonistes. L'auteur nous gratifie quand même de quelques planches de combats, entre vaisseaux spatiaux ou entre les sylvidres et Albator.

J'ai retrouvé dans l'histoire et les dessins ce qui m'a toujours plu dans cet animé. Des personnages énigmatiques, un sens de l'honneur exacerbé et de superbes planches de dessins. Albator apparaît encore sombre et presque mystique dans ces dessins et ce scénario. Il a avec lui son dévoué oiseau au long cou et son épée-pistolet. Fidèle à mes souvenirs le vaisseau, et son drapeau noir, nous embarque dans une nouvelle aventure. Un premier tome qui appelle à lire le suivant et me redonne l'envie de visionner de nouveau ce génial animé.

Le style

On reconnait le style de Matsumoto entre tous. C'est une figure du manga et de l'animé. le scénario est Les planches sont rajeunis par l'excellent travail de Shimaboshi sans perdre leur identité.

Mon petit point positif :

Un retour en enfance plaisant avec une couverture attrayante.
Lien : http://www.murmuresdekernach..
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Population uniquement centrée sur son plaisir personnel, bloquée devant la télévision, politiciens corrompus, menaces sur la planète ignorées malgré les nombreux signes et avertissement... Eh oui, Albator semble n'avoir pas pris une ride. Dans les sujets qu'il dénonce en tout cas. La découverte de cette édition redessinée a donné envie de se replonger dans les vieux dessins animés d'Albator (capitain Harlock). Et il n'y a pas à dire, il a toujours autant de classe et sa bannière de la liberté donne toujours autant envie de la suivre.
Dans ce nouveau manga d'Albator, Reiji Matsumoto est aux commandes du scénario mais pas du dessin, ce qui donne un certain changement de style, assez sympa une fois qu'on s'y est habitué. Ce tome 1 reprend les début et en particulier l'arrivée de Daiba. Peut-être cela serat-il l'occasion d'avoir un manga regroupant de façon moins éparpillée l'histoire d'Albator et de Toshiro, dont la chronologie a été parfois un peu malmenée par les différents animés. On attend avec impatience le tome 2 !
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La Terre est menacée par les sylvidres et les gouvernements discutent du sexe des anges ou jouent au golf…

Les politiciens sont corrompus (ceci n'est pas de la SF) et regardent tous le capitaine Albator de haut, alors qu'il est un des rares à vouloir défendre la terre.

Obligé de prendre le maquis avec son équipage, notre corsaire/pirate de l'espace compte bien foutre une raclée à ces salopes de sylvidres qui veulent vampiriser la Terre.

Vous me direz que ceci n'est rien de neuf sous le soleil et je dirai "Tout à fait, Thierry". Ce manga reprend en fait le dessin animé qui fit nos beaux jours sur Club Dorothée, à quelques détails près (les quelques cheveux blancs que nous avons pris, aussi).

Malgré tout, Albator reste un de mes personnages préférés (avec Ken et Cobra, entre autre, mais Albator est en haut de la pile) et le revoir dans des magnifiques crayonnés tirant vers les tons gris-noir est un plaisir de fin gourmet.

N'ayant pas revu l'animé depuis des lustres, j'ai oublié comment il commençait et c'est donc avec curiosité que j'ai découvert le manga qui commence avec une attaque en règle menée par le capitaine, à bord du vaisseau Arcadia, pour passer ensuite à une journaliste qui s'intéresse au cas de notre corsaire/pirate.

Dans le manga, Albator est clairement nommé "pirate" et non "corsaire" comme dans l'animé. Fin de la parenthèse culturelle du jour.

Matsumoto est resté au scénario et il a confié le dessin à Shimaboshi qui a dépoussiéré un peu le dessin donnant un manga avec des airs des années 70 tout en lui offrant un p'tit coup djeun's. Pas de trop… L'équipage du capitaine est toujours aussi loufoque (mais compétent). Quant au ministre de la Confédération Terrienne – entre autre – il est toujours aussi con, bête, débile et j'en passe.

Tellement aveugle, cet imbécile là, que quand le jeune Tadashi viendra lui conter les assassinats des professeurs Kusco et Daiba (son père) par une agente des Sylvidres, ce stupide petit homme le mettra en prison, obligeant ensuite le jeune garçon à prendre le maquis à bord de l'Arcadia.

Un manga avec de l'action, de l'Aventure, du mystère, des meurtres, de l'infiltration par l'ennemi, de la résistance alors que tout le monde baisse les bras et un capitaine de l'espace avec un charisme fou même si l'homme est froid, distant, taiseux et toussa toussa.

Le plaisir de me replonger dans la série, en espérant qu'elle aille à son terme !

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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