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Critique de umezzu


Un bon Peter May, qui démarre par la découverte de dix huit corps de femmes dans le bourbier du chantier d'un nouveau building à Shangaï. Les autorités sont pressées de régler le problème et envoient à Shanghai le chef de section adjoint Li Yan de la police de Pékin, qui réclame le soutien de la légiste américaine Margaret Campbell. le duo des précédents tomes de la série chinoise, un temps amant, un temps ami, se reforme donc.
L'examen des corps montre que les victimes ont toutes été ouvertes vivantes avant leur décès. L'idée qu'un tueur en série soit en liberté à Shangai affole les autorités locales. Li doit faire face à leur sourde hostilité, tout en gérant comme il peut l'atmosphère électrique qui se créée entre la très attirante adjointe locale qu'on lui a imposé, Mei Ling, et Margaret avec qui ses relations ne sont jamais bien simples.
Entre la mafia locale et la corruption des autorités, Li parvient malgré tout à resserrer son enquête et à mettre à jour les sordides pratiques d'une clinique privée.
May s'en sort bien pour tout ce qui est directement lié à l'intrigue : voracité des nouveaux riches chinois, implication du parti dans les affaires, corruption générale, mais il parasite son récit par de longues digressions sur les relations sentimentales de Li.
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