Troisième tome de la série chinoise de
Peter May, "Les disparues de Shanghai" est meilleur que son prédécesseur : point de fin grandguignolesque (quoi que...), mais une intrigue solide qui tient sans faille sur toute la longueur : les corps demembrés de 18 femmes sont retrouvés sur un chantier de Shanghai, rappelant étrangement un cas similaire découvert quelques années auparavant à Pékin. Comme l'inspecteur Li avait suivi (sans grand succès) cette enquête, il est donc envoyé en renfort sur place, et parvient à faire également venir son amoureuse Margaret. Bonne idée, car la légiste américaine découvre alors que les malheureuses ont été découpées vivantes...
Miam. Pas de temps mort dans cette nouvelle enquête aux bases solides, qui nous en fait découvrir encore un peu plus sur cet Orient si fascinant. Par contre la relation entre les deux personnages principaux est un peu pénible, à se chercher et se fâcher continuellement, c'est fatiguant ! Mais vivement le quatrième tome quand même.
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