Comme son livre précédent, l'autrice reprend la double temporalité, ce que j'apprécie dans les romans. Elle s'est bien documentée sur la vie de
Sarah Brown, fille d'un abolitionniste condamné à mort pendant la guerre de Sécession. Son talent artistique pour le dessin et la peinture lui permettra d'aider les esclaves en fuite à rejoindre d'autres Etats.
De nos jours, une jeune femme, en mal de maternité emménage dans une belle maison qui se révèle être la maison de la famille Hill, qui a aidé la famille Brown à se cacher.
Il y a plusieurs points communs entre ces deux femmes que les lecteurs découvriront au fil de la lecture du livre. Elles font aussi toutes les deux preuve de résilience face à leur souffrance, ce qui leur permettra d'aider les autres.
J'ai bien aimé cette histoire mais un peu moins que le précédent,
un goût de cannelle et d'espoir.
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