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Citations sur Mourir pour mourir (7)

L’île avait tendance à rapprocher les hommes et à renforcer leurs liens en tant qu’êtres humains. Seulement, de manière tout à fait contradictoire, il y avait des impératifs économiques qu’on ne pouvait oublier, si bien que Luis se sentait tout à la fois comme un personnage important, entouré d’amitié et d’amour, et comme une bête sauvage qui crevait la faim.
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Il y avait comme un air d’innocence bon enfant qui frémissait dans l’été, pur comme la vérité.
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Elle avait quarante-deux ans, était parfaitement consciente de sa condition de femme – une femme en pleine possession de ses moyens –, comme elle connaissait les hauts et les bas de toute mère. Ce n’était pas une femme de grande taille, sans doute le seul défaut qui compromettait sa beauté sinon parfaite, mais en ce moment même, debout à côté du lit de son fils, elle semblait exceptionnellement grande.
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Et lorsqu’on avait faim, on avait beau savoir que tout le monde était logé à la même enseigne, on n’en avait pas moins le sentiment de ne pas exister.
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Frankie Hernandez n'était pas un homme heureux .Peu d'hommes le sont qui sont dévoués à une cause unique.La sienne était de démontrer que les porto-ricains sont des gens comme les autres ,ni meilleurs , ni pires, que les garçons ne jouent pas tous du couteau et que les filles ne sont pas toutes de putains. Ce n'était pas toujours commode.
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Vous savez quoi? Ce genre Ennemi Public n° Un, j'aime pas ça. C'est comme si...Je sais pas… Comme s'ils attendaient quelque chose de moi, comme si je devais me conduire comme le traître, le mauvais gars.
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Le véritable problème n’était pas tant de trouver un travail que de prendre un nouveau départ. Des années durant, il avait vécu paisiblement dans son île, aux côtés d’une femme et de trois gosses, et si fort que fût l’amour qu’il lui portait, cette île le renvoyait d’abord et surtout à une douleur : la faim. Une faim harassante, qui se prolongeait tout au long de la saison de récolte de canne à sucre parce qu’on évitait de dilapider trop tôt ses économies ; il fallait mettre de côté en prévision des jours maigres. Malheureusement, comme on ne gagnait pas grand-chose, il n’y avait guère à épargner.
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