J'avais aimé
le Passager, j'ai pris plus de plaisir encore avec
Stella Maris, un Ovni littéraire. Il faut cependant accepter de ne pas tout comprendre dans ces dialogues entre une jeune psychotique géniale, fille d'un des pères de la bombe, et son psychiatre qui lui pose des questions sur ses hallucinations. Je n'ai jamais aimé les maths, pourtant elles sont omni présentes, avec la philosophie, l'inconscient, la mémoire, Jung, de nombreux philosophes, la musique, une citation de
Montaigne. Des interrogations sur le suicide, avec une fascinante et glauque description de ce qu'on risque de ressentir lors d'une noyade en lac très profond en se cadenassant à une ancre. Vaut vraiment le détour.
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