>
Critique de Fortuna
Nous sommes dans l'Angleterre des années 70, ambiance crise économique, liberté sexuelle, guerre froide, attentats terroristes de l'IRA.
Serena est une charmante jeune étudiante en mathématique, discipline qu'elle a choisi pour faire plaisir à sa mère, femme de pasteur et féministe, mais dont la passion réelle est la littérature.
Une liaison malheureuse avec un professeur et quelques articles élogieux sur Soljenitsyne dans une revue étudiante, vont l'amener à travailler pour le MI5, services de renseignement britanniques.
Une mission va bientôt lui être confiée : choisir un jeune écrivain antisoviétique et lui proposer un financement pour lui permettre d'écrire sans avoir à travailler par ailleurs. Ses textes devront être à la gloire de la société occidentale, et plaire au gouvernement britannique.
Mais des complications sentimentales vont perturber cette mission...
On retrouve des thèmes chers à McEwan, le coup de pouce du hasard et des circonstances dans le destin des personnages, la jalousie, le cynisme, la trahison. Mais sous la forme de la parodie légère d'un roman d'espionnage via une histoire d'amour qui se termine...A vous de le découvrir.
Au final, un peu décevant. J'ai préféré "Expo 58" de Jonathan Coe. Mais cela reste malgré tout un agréable moment de lecture.
Serena est une charmante jeune étudiante en mathématique, discipline qu'elle a choisi pour faire plaisir à sa mère, femme de pasteur et féministe, mais dont la passion réelle est la littérature.
Une liaison malheureuse avec un professeur et quelques articles élogieux sur Soljenitsyne dans une revue étudiante, vont l'amener à travailler pour le MI5, services de renseignement britanniques.
Une mission va bientôt lui être confiée : choisir un jeune écrivain antisoviétique et lui proposer un financement pour lui permettre d'écrire sans avoir à travailler par ailleurs. Ses textes devront être à la gloire de la société occidentale, et plaire au gouvernement britannique.
Mais des complications sentimentales vont perturber cette mission...
On retrouve des thèmes chers à McEwan, le coup de pouce du hasard et des circonstances dans le destin des personnages, la jalousie, le cynisme, la trahison. Mais sous la forme de la parodie légère d'un roman d'espionnage via une histoire d'amour qui se termine...A vous de le découvrir.
Au final, un peu décevant. J'ai préféré "Expo 58" de Jonathan Coe. Mais cela reste malgré tout un agréable moment de lecture.
