Après la mort de son père, décédé dernièrement, Stanislas doit trouver un moyen de subvenir aux besoins de sa famille (sa soeur et sa mère) maintenant qu'il est le seul homme de la famille. C'est ainsi que ça se passe en 1936! Mais pendant tout ça, la montée du communisme et du nazisme frappe le Québec. Stanislas, qui veut du changement dans sa société, devra choisir son camp… et rapidement… Un mélange entre un roman historique, un roman politique et une fresque familiale. Dès les premières pages, vous serez conquis.
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[…] Sait habilement passer du politique à l’intime dans ce récit noir traversé par un sentiment anxiogène grandissant. Habile et bien mené, Para bellum est une suite réussie, qui surpasse même le premier.
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Ménard mène son roman avec les mêmes forces que dans Brasiers : une écriture fluide, une intéressante – et trop rare – intégration des convictions politiques à la fiction, et une reconstitution historique solide. D’autant plus passionnant qu’on y retrouve des gens qui ont marqué le Québec, même un certain Vic Cotroni...
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