Relu après quarante ans ce bizarre polar de la Barcelone émergeant tout juste de la chape franquiste. L'effet de surprise ayant disparu, j'ai moins ri qu'à la première lecture, mais j'ai encore plus apprécié le style ébouriffant de Mendoza. Un auteur qui, en même temps, peut introduire dans un roman policier, le mot épitomé et une mise en garde contre un produit dangereux et hautement addictif, le Pepsi-Cola, mérite toute notre considération émue.
Bravo Eduardo et Coca caca !
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