Mercure de Corn émigra en 1791. Une partie des biens de sa famille s'étant évaporée sous la Révolution il s'installa à Queyssac terre de ses ancêtres qu'avait partiellement conservée Junon sa soeur. Célibataire taciturne il demande dans ce mémoire une compensation des pertes subies par la noblesse spoliée sous la Révolution. Il sera entendu dans le cadre de la loi du milliard aux émigrés adoptée en 1825.
Voir la monographie de Queyssac pour en savoir plus.
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