Kriemhild, en elle-même, se préservait de l’amour.
La charmante jeune fille vécut ainsi maintes journées,
Sans connaître personne qu’elle voulût pour mari ;
Mais ensuite elle épousa en grand honneur un vaillant chevalier
Kriemhild hielt im Mute / von Minne frei den Sinn
Sie lebte, die viel gute, / manchen Tag dahin,
So dass sie niemand wusste, / den sie wünschte zum Mann,
Bis sie doch mit Ehren / einen kühnen Ritter gewann
L’amour, je ne sais pas ce qu’il est, il ne m’a jamais été donné, mais je sais ce qu’est l’absence d’amour et c’est l’enfer. Et il me faudra longtemps errer dans le domaine des ombres et traverser bien des vis nouvelles pour me laver de cette malédiction.