La chimiste

Alex est docteure et sa spécialité, c'est la chimie de la douleur. À sa sortie d'études, elle a été engagée par l'Agence et avec son mentor, elle a travaillé avec beaucoup d'acharnement sur la résistance des personnes lors de leurs interrogatoires. Son travail a pris fin brusquement quand l'Agence a décidé de faire sauter son labo parce qu'elle en savait trop. En fuite, elle vivait cachée et vivotait de petits boulots (de tueuse parce qu'on ne se refait pas) jusqu'au jour où elle accepte une dernière mission de l'Agence en échange de son oubli. Ou du moins c'est ce qu'elle a voulu croire.
Deuxième roman que je lis de cette autrice après « les âmes vagabondes » et c'est tout à fait différent. Ici, l'héroïne est une tueuse, ce qui contraste beaucoup avec la bienveillante Gabi du roman que j'ai lu précédemment. Ça m'a surprise mais ça m'a plu. Une femme intelligente, débrouillarde, pour qui la vie se complique encore plus lorsqu'elle devient une cible et qu'en plus, elle tombe amoureuse. Par contre, il y a une tonne d'invraisemblances, notamment avec la meute de chiens ultras dangereux qui se comportent comme des bisounours avec elle alors qu'elle ne les connait pas, et deux ou trois autres aussi, ce qui bon, gâche un peu quand même.
Du coup, je suis un peu mitigée sur ce coup là. Disons que l'histoire est bonne et les personnages attachants mais ces scènes invraisemblables le sont vraiment trop pour que l'ensemble soit crédible ou cohérent.
À vous de vous faire une opinion.