Ce n'est pas la torture qui torture, mais l'imminence perpétuelle et déçue de son interruption.
L'amour, c'est de l'infini qui se rétracte. Des asymptotes qui se recroquevillent. Des parallèles qui finissent par se croiser.
...chez les génies, ce ne sont jamais les œuvres qui sont posthumes, c'est la vie. Leurs œuvres sont la seule chose qu'ils aient trouvé pour ne faire de la mort qu'une modalité de l'existence