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Pour moi, il y a trois moments. Au début c'est gamin, gamin, gamin comme une maman qui raconte une histoire, à la veillée. C'est gamin, mais agréable.
Après, il y a une nquête que j'ai trouvée haletante. Enfin, il y a cette fin un peu pitoyable. C'est pas seulement la fin, c'est le regard rétrospectif sur l'ensemble de l'histoire, et le très très méchant. Ces trois parties vont ensemble. C'est bien écrit, sympathique, on se promène agréablement dans Paris. Un peu scolaire, mais bien fait. Plein de détails intéressants.
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Un tueur en série sévit dans Paris. Il torture, mutile et tue une femme chaque jour.
À la PJ, les équipes du commissaire Sirsky, en charge de l'enquête, sont sur les dents. Elles ne peuvent que recouper les éléments dont elles disposent pour établir un profil psychologique du meurtrier, mais n'avancent pas dans son identification
Jusqu'à ce qu'il apparaisse que c'est également au commissaire que le tueur veut s'en prendre...

Comme souvent, le prix du quai des orfèvres récompense un roman qui met en avant les procédures d'enquête, et ici l'organisation de la PJ parisienne. le résultat peut être décevant.
Je m'empresse de dire que ce n'est pas le cas pour ce thriller, qui s'appuie sur une course contre la montre pour retrouver un tueur qui a très tôt a annoncé vouloir faire sept victimes, une par jour.
Les personnages sont bien campés, plutôt sympathiques en général, de sorte qu'on a du mal à reconnaître un coupable parmi eux et que le suspense est maintenu jusqu'au dénouement.
Il y a bien sûr quelques invraisemblances : on ne saura jamais comment le tueur a eu accès à nombre d'informations sur ses futures victimes ou sur la famille du commissaire... Mais qu'importe ? On se laisse prendre au jeu de ce thriller haletant !
Lien : http://michelgiraud.fr/2022/..
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J'ai découvert les enquêtes de Nico Sirsky par Hasard lors des dernières vacances de Noël grâce à sa deuxième enquête "Dent pour dent" et j'avais vraiment bien aimé. Comme il y était fait référence à "La septième femme" j'ai voulu le lire. Et même si le livre est prenant et qu'on comprenne certains faits de sa deuxième enquête je ne peux dire qu'il m'a un peu déçu tant certaines parties du livre ne font pas de mon point de vu avancer l'enquête. Les autres livres n'étant disponible visiblement qu'à la demande je ne suis pas certain de les lire.
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Ca se laisse lire.

Concernant l'enquete, meme si j'ai connu des livres avec un suspense bien plus prenant, et plus de rebondissements, le rythme est bon et on a envie d'avancer dans la lecture.

Ca se complique des qu on parle des personnages. Au dela d etre tous parfait, cela devient hyper pompeux lorsque l on parle de la vie privee de Nico. Cette histoire d'amour trop subite et trop idealisee rend les passages la concernant plus qu agacant.

On est donc loin d'un grand roman, mais il est assez direct donc on arrive quand meme au bout sans trop se lasser.
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EX-CEL-LENT !!! Quelle maîtrise du suspens ! Quel talent ! Comme souvent, un sadique, ennemi public à stopper dans son "oeuvre" le plus vite possible. Un serial killer super intelligent mais complètement dingue qui se prend pour Dieu.
Il s'en prend même aux proches de l'inspecteur chargé de l'enquête.
J'ai soupçonné tout le monde ! et je me suis planté, manipulé par l'auteure.
Je dis bravo et j'en redemande.

Je mets 4 étoiles car j'ai jugé la fin trop abrupte. Beaucoup, beaucoup trop brève à mon goût. Pas bâclée, mais trop courte.

Il m'a manqué le "happy-end" !

Un conseil : procurez-vous ce roman.
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Il s'agit d'un bon polar sans plus. le prix du quai des Orfèvres est inconstant au niveau de la qualité des romans récompensés et cela se vérifie avec celui-ci.
J'ai apprécié le fait que l'auteur soit bien documenté sur le 36 et son fonctionnement. L'intrigue est facile à suivre et contrairement à d'autres polars, l'hémoglobine ne coule pas à flots. Ou plutôt le sang coule mais les descriptions restent sobres.
Par contre, je regrette la personnalité assez creuse des personnages. Au niveau de ceux-ci, je trouve qu'ils sont trop nombreux et que ça n'apporte rien à l'histoire.
En conclusion, même si ce polar sera vite oublié, je note tout de même le nom de l'auteur pour un moment où j'aurais envie d'un petit polar lu facilement.
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Course contre la montre dans Paris pour sauver la 7 ème femme.
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En lisant les premières pages, je me suis dit que c'était encore un auteur de roman policier qui cherche à noircir des pages dans l'énumération exhaustive et fastidieuse des différents services qui composent l'administration policière, comme si cela avait un réel intérêt pour l'histoire. La première scène de crime est survolée et brouillonne. Au bout de quelques chapitres, l'intrigue se met en place et prend du fond, de la noirceur. L'intensité de l'enquête monte rapidement à son zénith. Les éléments macabres et troublants s'enchainent, 7 jours, 7 femmes, victimes d'un psychopathe.
Les débuts balbutiants de ce roman sont vite oubliés pour faire place à une enquête policière prenante, solide et cohérente. Un très bon polar.
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7e femme est un polar prenant sans temps mort. Un polar teinté de réalisme sur les méthodes de la police judiciaire et des autopsie très détaillés. Dans ce livre on suit le patron de la brigade criminelle Nico Sirsky , un jeune prodige de 38 ans au sein de cette unité. On le suit dirigé plusieurs équipe pour découvrir le criminel de plusieurs neutres violents. L'auteurs montre plusieurs point de vue des différentes personnes sur l'enquête en plus de Nico, on suit de quelque page le meurtrier et sa victime, même si c'est léger mais sa fait accroitre la tension lors de notre lecture. Un policier que j'ai beaucoup aimé et que je n'ai pas pu lâcher.
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J'ai décidé de lire ce roman pour continuer ma découverte d'auteurs de romans policiers français et pour faire la connaissance du personnage de Nico Sirsky, flic à la Crim.

Le roman débute par un premier meurtre qui se veut sordide, mais qui est très peu décrit par l'auteur (ce qui pour un roman de ce genre est contre-productif). Par contre, Frédérique Molay s'évertue à nous présenter ses personnages à grand renfort de superlatifs. Une chose est sûre, il ne fait pas très bon être moche et ne pas être une sommité dans son domaine quand on veut évoluer dans le monde de l'auteur, car, tous ses personnages (du moins dans le début du roman, après, je ne sais pas, je n'ai pas continué ma lecture) sont jeunes, beaux et performants.
Nico Sirsky est un beau flic, solitaire, mais qui souffre d'un ulcère à l'estomac. le médecin qui le suit est une jeune femme charmante, performante dont il tombe immédiatement amoureux au point de ne penser qu'à elle sans cesse. le médecin légiste chargé de l'autopsie du premier corps (de la première femme victime) est une jeune femme belle qui a une belle réputation pour son âge et...

Trop, c'en est trop, je ne lis pas un roman pour consulter un catalogue de mannequin et si, déjà, les turpitudes amoureuses et sexuelles des protagonistes des romans policiers ne m'intéressent pas, c'est encore moins le cas quand tous sont issus d'un calendrier des Dieux du stade ou bien d'un calendrier Pirelli.

Comme, en parallèle, l'enquête met un peu de temps à démarrer et n'a pas réussi à me happer assez vite pour que je ne sois totalement déçu par les personnages... hop, j'ai fermé le livre et je suis passé à un autre.

Au final, « La 7ème femme » est peut-être un bon roman policier (il a reçu le prix du Quai des Orfèvres, mais l'on sait également que cette distinction n'est pas toujours signe de qualité, puisqu'il suffit bien souvent de se concentrer, dans son écriture, sur le fameux « 36 quai des Orfèvres » pour être primé, même si c'est au détriment du style ou du fond), à condition de ne pas être dérangé par ce défilé de mannequins et cette aventure sirupeuse qui s'annonce entre les protagonistes. Pour moi, cet élément étant totalement rédhibitoire, j'ai abandonné ma lecture très rapidement.
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