Finalement, ce texte sans aucune prétention, qui se lit d'une traite tant son écriture paraît avoir été réduite à une épure, dont la seule acrobatie stylistique est de faire alterner première et troisième personne du singulier, réussit là où l'ambitieux mais trop souvent prétentieux et confus premier roman de
Dalibor Frioux échouait : donner chair à des personnages, nous présenter un monde d'après la catastrophe non seulement crédible mais parfois assez émouvant.
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