On l'a vu, on l'a revu, joué par les meilleurs... et par d'autres, au théâtre, à la télévision. Est-ce parce que
l'Avare est la première vraie pièce de théâtre qu'il m'ait été donné de voir, enfant, toujours est-il que je garde un petit faible pour ce tableau de l'avarice poussée à un point extrême, tel qu'il arrive pourtant parfois d'en rencontrer des exemplaires presque comparables en intensité ? Bref, on passe encore de bons moments à sa lecture, grâce notamment à cette langue merveilleuse de l'homme de Pézenas.
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