221b Baker Street traîne dans ma PàL depuis la nuit des temps. Je me suis décidée à l'exhumer avant la fin du confinement car j'avais envie de lire une aventure holmésienne.
À défaut de Holmes, c'est
Arthur Conan Doyle qui mène l'enquête à l'époque victorienne et Harold à notre époque. Pas besoin d'être voyant pour comprendre que les deux affaires sont liées d'une manière ou d'une autre mais le début est prometteur.
La suite, beaucoup moins. Tout est prévisible et désappointant. Les solutions aux énigmes sont plan-plan et laissent un goût d'inachevé.
La partie moderne est tirée par les cheveux et les personnages sont creux.
La partie victorienne est plus sympa car on y croise
Conan Doyle, Bram Stocker et le fantôme d'
Oscar Wilde. Mais c'est tout : l'enquête n'est vraiment pas folichonne et puis les dialogues sont tout sauf victoriens !
En bref, beaucoup d'ennui pendant cette lecture et grosse déception.
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