Le cirque des rêves

Flânant sur Booknode à la recherche d'un livre sur le thème du cirque (pour un défi), c'est un peu par hasard si j'ai choisi celui-ci. C'est davantage son côté steampunk/fantastique qui m'a attirée. Sa couverture n'est pas pour me déplaire non plus.

J'ai eu du mal avec le style d'écriture : le récit est narré au présent, la lecture en est "saccadée", "hachée". Ce n'est pas assez fluide et c'est assez long à se mettre en place. Les chapitres sont courts, on avance assez vite quand même mais je ne suis pas du tout rentrée dedans et je n'ai pas pu m'attacher aux personnages, certainement à cause de cette narration trop distante qui m'a bloquée et empêchée de m'immerger dans le récit. C'est un peu méli-mélo, il y a pas mal de répétitions et de scènes sans grand intérêt. On ne connaît pas les pensées et les sentiments des personnages. On suit l'histoire de façon totalement détachée... J'ai fini par m'y habituer, mais un peu trop tard, j'arrivais à la fin...

Le mélange fantastique, steampunk et romance dans un décor circassien entouré de magie m'a néanmoins bien plu.

J'avoue être plutôt déçue car les avis et les notes sur ce livre sont pourtant très positifs. Mais bon, il faut croire qu'il n'est pas fait pour moi... Je ne me suis pas évadée, je n'ai pas rêvé comme je m'y attendais...

[Lu en juin 2020]

J'ai toujours été attiré par cette histoire, surtout par la couverture en noir et blanc qui présage du mystère, et, comme le titre l'indique, du rêve. de ce côté, je n'ai pas été déçue, car niveau onirisme, on est servit !

En effet, je pense que le gros gros point positif de ce roman est l'univers crée par Erin Morgenstern. Dès les premières lignes, nous sommes emportés par l'écriture tout en douceur de l'auteure, qui est bien représentative du rêve. On a l'impression d'être un enfant qui écoute un conteur raconter son histoire dans un endroit cosy, près d'un feu. On est happé par l'histoire et par le monde féerique qui s'ouvre à nous.

Pendant la lecture, on ne se rend pas forcément compte des petits détails, mais ils apparaissent quand on termine cette histoire. En effet, au début de l'histoire les personnages sont assez nombreux, et c'est un peu difficile de s'y retrouver. Il faut un certain temps pour s'y adapter, mais les personnages récurrents sont quand même assez attanchants, comme Marco, Bailey ou les jumeaux. En parlant de temps… l'histoire ne suit pas une chronologie linéaire. Chaque début de chapitre commence par une date particulière et un lieu, ce qui est censé permettre au lecteur de s'y retrouver dans le déroulement des événements. Mais malheureusement, cela a eu l'effet inverse sur moi. On alterne entre le passé, le futur, et des chapitre au présent, en « tu », qui s'adressent directement au lecteur. C'est assez perturbant, et j'ai eu l'impression que ça partait un peu dans tous les sens…

J'ai aussi eu l'impression que l'histoire n'avançait pas. Entre le début de l'histoire et la fin, 30ans se sont écoulés, et pourtant, l'histoire stagne une bonne partie du roman. On à l'impression qu'entre deux chapitres (dans lesquels quelques mois/ années ont pu s'écouler), l'histoire en est toujours au même points. Et on a très très peu de détails sur le duel qui oppose Célia et Marco (alors que dans le résumé on s'attend à ce que ce soit l'élément principal de l'histoire).
Le contexte du cirque m'intéressait beaucoup, mais malheureusement on n'a pas plus de précision sur le style de vie des artistes ou sur les différents numéros : on suit essentiellement les mêmes personnages et ça s'arrête la.

Pour conclure, je dirais que j'ai un avis assez mitigé. Je m'attendais à avoir plus de détails, de précisions, sur le pourquoi de toute cette histoire, et je reste sur ma faim. Heureusement que l'univers et l'ambiance onirique ont rattrapé ces quelques détails pour me faire quand même apprécier ma lecture !
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Tu refermes le livre. Tu l'as enfin terminé. Tu ne penses pas l'avoir aimé. Mais tu en as aimé le concept. Cette histoire de magie, d'impossible, et surtout de rêveurs. Il n'était pas si mal mais tu ne penses pas qu'il te restera en mémoire. Il s'efface déjà dans ta mémoire tel un tour d'illusionniste, faut dire tu as mis du temps à le lire. Des hauts/des bas, des moments où tu lisais sans t'arrêter et d'autres qui te semblaient traîner en longueur.

Tu n'es cependant pas mécontente de l'avoir lu. La couverture, fort jolie, et le titre t'avaient fait penser à la Mécanique du Coeur du chanteur qui était Jedi quand il était petit. Et tu n'avais pas du tout aimé le bouquin. Et puis un blog sur lequel tu étais tombée au hasard avait encensé le livre et tu t'étais dit pourquoi pas.

Et maintenant tu t'en vas rêvasser ailleurs.

A l'inverse des critiques ici présentes je n'ai pas du tout été captivée par l'histoire.
J'ai trouvé l'intrigue très longue à se mettre en place, prévisible et clichée. Toutefois j'ai quand même mis 3 étoiles car j'ai bien aimé l'univers et le principe mais je pense que ça aurait pu être mieux ficelé. L'auteur change sans cesse de date, de personnages au fur et à mesure de l'histoire (on passe d'un personnage à un autre) ce qui rend la lecture plus lente mais aussi plus difficile à apprécier les personnages et à rentrer dans l'histoire.
La fin était plutôt bien partie mais je la trouve assez facile et bâclée venant de l'auteur. Disons une fin rapide et simple.
Je n'en dirais pas plus pour éviter de spoiler ceux qui ne l'ont pas lu mais personnellement je ne comprend pas l'engouement de tout le monde concernant ce livre.

Des longueurs, des retours en arrière, dans le passé, dans le futur, dans personnages qui meurent, d'autres qui ne servent pas l'histoire, des déplacements dans l'espace (N-York, Londres....), des incohérences....
J'ai mis presque un mois à lire les 496 pages tellement je n'arrivais pas à accrocher à l'histoire : j'ai lu 4 autres livres et commencé un 5 ème entre le début et la fin de ce roman. Navrant car l'histoire était bien engageante : cirque, magie, défi, amour....Mais, non je n'ai pas adhéré au cirque des rêves et ne suis pas devenue 'une rêveuse" ! Dommage !

Avec ce roman, on est complètement transporté dans un univers de magie, d'illusion, où l'impossible devient possible, où la frontière entre rêve et réalité est réduite à sa plus simple expression. A cet égard, ce livre est une vraie réussite. Je déplore juste quelques longueurs, de longues descriptions des chapiteaux du cirque qui deviennent un peu répétitives, et une chronologie parfois un peu flottante, ou en tout cas pas évidente puisqu'on navigue entre 1884 et 1903 mais en suivant les mêmes personnages, donc il est parfois difficile de savoir quelle scène a lieu avant l'autre (même si cela n'entrave pas la compréhension générale). Et si le cirque des rêves passait par chez vous ? (décembre 2012)

Le Cirque des Rêves retrace l'histoire de Célia et Marco, deux jeunes enfants qui vont se retrouver embarqués dans un défi dont ils ne connaissent ni les règles, ni les objectifs.
L'histoire débute donc sur les retrouvailles de Célia et son père, illusionniste sous le nom de Prospero. Célia va donc apprendre la magie grâce aux leçons de son père. Prospero et un de ses amis se décident ensuite à faire un "jeu" où Célia devra affronter l'élève de l'ami de son père: Marco. Mais, petit à petit, Célia et Marco voient naître l'un pour l'autre un amour très fort. Ils vont donc tout faire pour se libérer de ce défi, mais à quel prix?

Je suis assez mitigée en ce qui concerne ce roman.
Je l'ai découvert sur internet, et un véritable éloge lui était fait. Pour de nombreuses personnes, ce livre est un véritable coup de coeur le comparant à Caraval de Stéphanie Garber. Ayant beaucoup apprécier ce dernier, mais n'étant pas non plus emballée par le résumé du roman de Erin Morgenstern, je l'ai emprunter à la bibliothèque. Et je ne regrette pas de ne pas l'avoir acheté.

Commençons par le positif. J'ai beaucoup aimé l'univers du livre. La magie, un cirque étrange qui arrive sans prévenir du jour au lendemain, le mystère crée par le défi, ...
L'ambiance du livre m'a bien plus. Elle est entraînante, envoûtante. Elle nous emmène vraiment au-delà de la réalité. La magie du cirque se ressent à travers les lignes. L'écriture de l'auteure est assez belle, poétique et lyrique, ce qui renforce le côté magique de l'histoire.
La romance est légère et sympa, mais très présente.
Les personnages sont aussi assez intéressants. Célia et Marco sont complémentaires. Elle est plutôt instinctive et méfiante alors que lui est plus réfléchi. le personnage de Prospero est clairement détestable. Et ce par le côté désintéressé qu'il a pour sa fille. On s'attache rapidement au personnage de Célia notamment par le caractère un peu "tyran" de son père. Quand à Bailey, je trouve que c'est un personnage courageux et déterminé. Il est omniprésent dans l'histoire, mais son importance ne se révèle qu'à la fin du livre.
J'ai vraiment beaucoup aimé les petits chapitres complémentaires disséminés un peu partout dans le livre qui nous plongent directement dans le cirque grâce à l'utilisation du "Tu".

Maintenant, le négatif. J'ai trouvé ce roman trop long. Il y a peu d'action et trop de description (même si celle-ci est bien écrite, elle est vraiment trop présente). La première partie du livre est longue, plate, avec peu d'action. La deuxième partie prend un peu plus de volume quand Célia et Marco se rencontrent enfin. On ressent plus d'émotions, de remise en question et de réflexion sur la situation, de révélations et de rebondissements.
Le livre se présente sous plusieurs chapitres: certains sous le point de vue de Célia, d'autres sous ceux de Marco ou de Bailey et d'autres selon les personnages secondaires. Et les chapitres de Bailey et les autres ne se passent pas à la même époque, ce qui rend, je trouve, le livre compliqué à suivre. Par conséquent, certain passages sont redondants puisque les points de vue s'entrecroisent, ce qui est un peu déplaisant.
De plus, j'ai trouvé certaines réactions des personnages un peu "faciles" ce qui fait perdre de la crédibilité à l'intrigue.
Ce qui m'a déplut aussi, c'est le fait qu'on ne sait que peu de chose sur la création des chapiteaux de Célia et Marco. Ils apparaissent comme ça sans explications, sans recherches préalables. On ne sait pas d'où leurs viennent leurs idées.
La fin m'a vraiment déçue. Pour moi, il manque quelque chose. Je me pose encore trop de questions. Il me manque des éléments pour bien comprendre toute l'histoire. Au vue de l'univers de l'intrigue et de l'étendue de la magie qui s'y trouve, la fin est trop banale.

Pour conclure, l'univers de l'intrigue, le concept du cirque m'a plu. Il est original et se démarque un peu de ce que j'ai pu lire jusque là, mais ce livre est pour moi trop descriptif, et la fin trop simple et décevante. On retrouve de la magie, une sorte de jeu, une romance et un père violent comme dans Caraval, mais la comparaison s'arrête là. J'en attendais peut-être trop de ce livre en m'imaginant une 2eme version de Caraval, ce qui m'a empêché de l'apprécier pleinement mais ce roman reste pour moi un livre sympa à lire, mais ne se classe pas dans mes coup de coeur.

Ceux qui me suivent régulièrement (ou même simplement de temps en temps lors des c'est lundi ^^) ont dû s'apercevoir que le cirque des rêves et moi c'est une loooongue histoire de… 4 mois. Je n'ai jamais autant mis en pause un roman ! Alors je vous annonce tout de suite la couleur, cette chronique là sera présentée d'une manière différente. Elle me permettra de mettre un point sur ce qui a provoqué cette pause et je ne vais pas parler du roman sous tous ces aspects.

Le premier point qui m'ait désarçonnée au début du roman c'est tout simplement qu'avec le résumé, je ne m'attendais pas du tout à ça. Je pensais que l'action serait entièrement focalisée sur Marco et Célia alors qu'en vérité, beaucoup d'autres personnages rentrent en jeu. Je ne me suis pas attachée aux personnages à cause de ces nombreux changements de protagonistes. de plus, l'auteure alterne plusieurs périodes dans la vie du cirque – de 1885 à 1905 – et cela change plusieurs fois au cours du récit. Cela aussi m'a surprise et déstabilisée.

Ensuite, autre point troublant, c'est que l'action est très peu présente et ce qui est annoncé dans le résumé ne pointe son bout de nez qu'au bout de plusieurs centaines de pages. le mot le plus frappant qui me vient à l'esprit sur le cirque des rêves est : magie. Ce roman est magique. Son histoire est magique. Ses personnages eux-mêmes sont magiques. Et le plus important c'est cette écriture qui est tout aussi envoutante ! L'auteure m'a plongée dans un monde chargé de mystère…trop de mystères justement. J'étais perdue, je n'avais aucune idée où tout cela allait mener. Mais à vrai dire, les personnages principaux n'en savaient pas plus que moi ! J'ai mis beaucoup de temps à comprendre quelle importance chaque passage avait, que voulait signifier cette action, cette parole… En temps normal, où beaucoup d'autres points m'auraient fait accrocher au récit, je pense que je n'aurais pas éprouvé autant de difficultés. Mais ce point ici, plus celui là et encore celui ci ont fait que ma lecture du cirque des rêves n'était plus du tout fluide, trop haché, aucunement addictive et je nageais dans un flou trop opaque.

Cependant, c'est indéniable et je ne retire pas ça à l'auteure, son récit est travaillé d'une manière remarquable. C'est vraiment abouti ! Alors même si la sauce n'a pas prise avec moi, je pense qu'elle a pu l'être avec de nombreux autres lecteurs. Ce que j'ai le plus admiré ce sont ces descriptions lyriques et envoutantes. Elles sont nombreuses, parfois un peu trop, mais elles sont très agréables et très belles à entendre à voix haute ou à lire tout simplement. Ce monde créé est comme je l'ai dit magique. Tout est ficelé, tout est là mais je me suis trop laissée envoutée on dirait et du coup, je ne percevais plus ce qui était le vrai du faux. Des fois, je me suis même demandée si je n'avais vraiment pas été attentive ou si la révélation venait juste à l'instant de se faire !

L'idée d'intrigue est vraiment originale et bien pensée. J'ai été happé par le récit que les 150 dernières pages, une fois que j'avais compris de quoi cela en retournait et où à peu près cela allait mener. L'histoire d'amour a commencé à naître et d'autres relations se sont intensifiées. Il n'y a pas à dire, la romance apporte toujours une part de douceur ^^ J'ai donc plutôt bien aimé la fin du roman et le dénouement est de ceux que j'avais imaginé donc aucune déception de ce côté là.

Voici à peu près les quelques points qui m'ont déstabilisée dans ma lecture de ce roman. Je sais que ce livre a plu à d'autres donc je pense que cela dépend de chaque lecteur. Pour moi ça n'a pas pris, même si je n'en ressors pas entièrement déçue. J'ai quand même eu envie de le finir, de comprendre, d'aller jusqu'au bout et je n'ai pas renoncé à l'abandonner.
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Ce n'était pas une lecture particulièrement déplaisante, pourtant, je n'ai pas des masses accroché. J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire et l'atmosphère emplie de magie qui imprègne ce récit ne m'a pas emportée.

C'est d'autant plus dommage que ça commençait fort. Dans un premier temps, on suit Prospero l'illusionniste qui prend en charge sa fille, Célia, et lui découvre des pouvoirs exceptionnels. Il décide alors d'organiser un pari avec son adversaire de toujours, Alexander. Ce dernier doit donc trouver un élève qui pourrait rivaliser avec la fillette. Dans les premiers chapitres, on chemine aux côtés des deux futurs adversaires, ainsi, on pénètre dans leur vie quotidienne auprès de leurs mentors et dans l'enseignement très différent qu'ils mènent. Puis,le jeu se met en place et le cirque des rêves voit le jour. A partir de là, aux alentours des 10%, les choses changent et notamment au niveau chronologique.
Déjà, beaucoup de personnages entrent en scène et même si l'auteur les décrit suffisamment bien pour qu'on ne s'y perde pas, le fait que leurs noms aient été notifiés avant (je pense à Herr Thiessen principalement), cela m'a un peu embrouillée. Donc de 1873 à 1884, l'histoire suit son cours de façon linéaire. Puis, on vivote entre plusieurs dates, on fait des allers-retours entre chacune et c'est assez désagréable.
Je comprends aisément la raison pour laquelle l'auteur l'a fait, sûrement dans le but d'attiser la curiosité du lecteur ; mais en ce qui me concerne, c'était loupé : ça a juste cassé un rythme déjà lent et je n'avais pas particulièrement envie d'avancer. Ce qui m'a poussée à ne pas abandonner, ce sont les personnages. Je les ai beaucoup aimés, ils sont particulièrement attachants chacun à sa manière que ce soit Célia qui, malgré un apprentissage difficile, est restée douce et aimable, Marco qui, sous ses airs froids, souffre de sa solitude, les soeurs Burgess sympathiques, perspicaces et intuitives, Thiessen obsédé par le cirque à un degré limite abusé, etc.
Seuls Alexander et Propero m'ont laissée froide.

Dans l'ensemble, cela s'est laissé lire sans plus. Ce n'était ni passionnant ni entêtant, ce n'était pas non plus déplaisant.
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J'ai un avis assez partagé sur ce roman. En effet, le début est assez long et on se demande où va nous mener l'auteure.
De nombreux chapitres se succédent avec des époques et des personnages différents et le lecteur se perd dans ce labyrinthe de récit comme il pourrait se perdre dans le Cirque des rêves. Plusieurs histoires sont menées de front dont celles de Célia Bowen, de Marco, de Bailey, de Widget et Poppet, de Thiessen…. Pendant deux-cent cinquantes pages, on est balloté dans ce va-et-vient et on se demande quand va commencer le duel entre Marco et Célia que leur père ou mentor ont provoqué pour savoir quel sera le meilleur maître en illusion. Cet affrontement se déroule dans un cirque peu commun où chaque chapiteau est une découverte.

La deuxième moitié du livre est beaucoup plus intéressante : Marco et Célia grandissent et manipulent de plus en plus le cirque afin de devenir le vainqueur de la compétition. Les jeux se dévoilent, les deux principaux protagonistes découvrent leur lien et l'amour naît. Sans en dévoiler de trop, on comprend que l'histoire ne peut que mal finir… La tension monte légérement en même temps que le cirque commence à vaciller.

L'élément central de ce roman est le Cirque des Rêves que l'on peut considérer comme un personnage : il est même mieux décrit que les différents protagonistes. On entre dans un univers merveilleux en noir et blanc où le cirque côtoie la magie. Les tours et illusions créés par Marco et Célia sont féériques et poétiques : le jardin des glaces, la fontaine des voeux…. On rêverait d'entrer dans un tel cirque!

En résumé, ce livre est assez inégal mais la poésie et le merveilleux permettent d'oublier la lenteur du début et la construction alternant entre différentes époques prend tout son sens à la fin du roman de Erin Morgenstern car il permet au lecteur de s'accrocher jusqu'à la fin du livre pour connaître le dénouement…

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