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Critique de iz43


iz43
20 février 2021
Déjà lu en 2016 mais mon fils devant le lire pour le collège (6ème) pendant les vacances, je n'ai pas pu résister.
Mickaël est un petit garçon heureux. il vit avec ses parents et sa chienne Stella Artois. Il fait partie d'une équipe de foot dans son école avec son meilleur ami. Mais surtout le dimanche ses parents et lui s'adonnent à leur passion commune : la voile sur le lac et quand il n'y a pas de vent ils pêchent. le bonheur. Jusqu'à l'arrivée de la lettre. La fameuse lettre qui annonce à ses parents qu'ils sont licenciés. la fabrique de briques où ils travaillent tous les deux, ferme. Les temps s'annoncent difficiles. Les disputes surgissent. Son père reste prostré la plupart du temps. Et puis un jour il part.
Mais au lieu de se laisser abattre, il rebondit. C'est l'occasion de changer de vie, d'accomplir leur rêve. Il propose à Michaël et sa maman une folle aventure. Il leur propose de faire le tour du monde à bord du Peggy Sue.
Les mois qui suivent sont dédiés à la préparation du voyage. La petite famille apprend à naviguer auprès d'un vieux loup de mer. La maman devient le skipper du bateau.
Finalement le voyage commence. Tout va très bien jusqu'à ce qu'un jour, la veille de l'anniversaire de ses 12 ans, Michael tombe à l'eau et échoue sur une île. Une autre aventure commence.


Même ressenti que la première fois. Ce roman d'aventures m' a beaucoup émue. C'est un genre que je ne lis que très rarement. La survie à la Robinson Crusoé c'est pas trop mon truc.
Mais là je ne sais pas, je me suis laissée embarquer dans l'histoire. Peut être parce qu'il s'agit d'un jeune ado et que j'ai réagi en maman. La maman de Michael est extrêmement touchante dans sa volonté de retrouver son fils. J'ai apprécié que ce soit elle le skipper.
Sur la fin, j'avoue aussi que c'est L'histoire de Kensuké qui m'a bouleversée. Ce vieil homme japonais qui croit les siens morts à Nagasaki pendant 40 ans alors qu'ils étaient absents de la ville ce jour là. J'ai versé ma larme.
J'ai aimé cette histoire de survivants qui deviennent amis presque père et fils malgré la frontière de la langue, la débrouillardise de Kensuké et son côté artiste, sa philosophie et sa belle relation avec les orangs outans.
En plus, le texte est vraiment beau comme toujours avec cet auteur. Pas de mal de mer, mais un bon moment passé avec Kensuké et Michaël.
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