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Ce roman est une pépite.
Par où commencer ? Je ne m'attendais clairement pas à ça quand j'ai ouvert ce roman ou que j'ai lue le résumé. On va découvrir en même temps que Felicity, l'histoire de sa grand-mère Deborah. Deborah a vécue à l'époque de la Seconde Guerre Mondiale en Allemagne c'est-à-dire à l'époque des nazis, des camps de concentration, des bombardements et de toutes les horreurs qui se sont déroulés à cette époque. En effet, même en connaissant les faits, la lecture de ce roman peut s'avérer difficile puisqu'on s'attache aux personnages mais surtout on ne veut pas croire que tout cela s'est vraiment déroulée, que cela a été possible mais surtout comment cela a pu arriver.
L'histoire de Deborah m'a émue, je ne suis pas sortie indemne de ce roman, j'ai ressentie les émotions de Deborah et de Marlène. Ce roman à été une excellente lecture pour moi, il m'a bouleversée au point d'avoir du mal à poser mes mots.
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Ce roman est une magnifique fresque familiale, poignante, étouffante qui ne pourra vous laisser insensible.
C'est un récit criant de vérité, une ode à la vie qui vous transportera dans les sombres secrets d'une famille qui souhaitait seulement vivre en paix.
Hanni Münzer réussit à nous entraîner dans cette histoire, entremêlée des horreurs de l'Histoire de 1923 jusqu'en 1945.
L'autrice va nous faire revivre ces années d'horreur sans jamais la rendre sordide mais en étayant la psychologie des principaux personnages par les situations auxquelles ils sont confrontés.
L'écriture est poignante et criante de vérité, je me suis laissée séduire par le style alerte de l'auteure.
.
Hanni Münzer nous montre à quel point nos racines nous définissent même si nous n'en avons pas forcément conscience.
Elle illustre parfaitement le fait que les secrets de famille peuvent empoisonner notre vie au présent.
Chacun réagit en fonction de sa propre nature, en bien ou en mal et ce roman démontre de façon très efficace que la société allemande, qui était pourtant une des nations les plus cultivées à l'époque, s'est laissée emporter soit par la peur , soit par leur penchant pour le mal.
Le récit est passionnant et on se révolte, on s'énerve, on s'attriste en même temps que ces personnages attachants, aux personnalités travaillées et affirmées qui tenteront de ne pas laisser la Grande Histoire dévorer et mettre fin à leur vie.
Cette histoire c'est l'incompréhension, l'éloignement, la pudeur, l'inexpressivité comme forme de protection.
On assiste à la révélation sincère et profonde d'une mère à une fille, d'une mère à une autre mère.
Durant cette période plongée dans l'horreur historique, on se laisse happer par l'urgence de vivre et l'indicible espoir de ces personnages tourmentés.
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J'apprécie beaucoup lire des romans historiques sur la seconde Guerre mondiale et je dois dire que ce roman ne m'a absolument pas déçu !

Après le décès de sa grand-mère Deborah, Felicity apprend la disparition de sa mère. Cette dernière s'est enfuie à Rome après avoir découvert une lettre de Deborah. Felicity va alors rejoindre sa mère en Italie et se lance à la recherche de leurs origines. C'est alors une plongée dans l'Allemagne nazie où l'on découvre les destins de deux femmes : Elisabeth et sa fille Deborah.

J'ai adoré ce roman qui m'a tenu en haleine pendant toute la durée de ma lecture ! La première partie du roman est très riche historiquement parlant. J'ai beaucoup appris sur le contexte d'avant-guerre en Allemagne, la montée du nazisme et l'arrivée d'Hitler au pouvoir. J'ai aussi été passionnée par le combat mené par Marlene et Deborah que nous suivons dans la deuxième partie du roman.

Mon seul regret est sur la fin du récit. J'aurais aimé que la fin de l'histoire de Deborah soit racontée de manière plus détaillée. J'ai malheureusement trouvé que cela était conclu un peu trop rapidement.

Ce roman n'en reste pas moins un coup de coeur. J'ai maintenant hâte de découvrir le nouveau roman de l'autrice pour en savoir plus sur le personnage de Marlene.
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Une jeune femme part en quête de l'histoire de sa famille suite à la disparition de sa mère et la mort de sa grand-mère. Une histoire où les femmes ont des rôles importants, même si elles ne sont pas toujours sur le devant de la scène. Entre Elisabeth, Deborah, Martha et Felicity, quatre époques mais les clés pour comprendre se trouvent pendant la Seconde Guerre Mondiale.
J'aime découvrir une facette de l'histoire à travers le vécu des femmes. Ce livre, une fresque sur plusieurs générations, mêlant tous les sentiments, a parfaitement répondu à mes attentes.
Mère ou fille, ce roman nous attend.
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Lorsque les éditions de l'Archipel ont fait un appel de chroniques en choisissant un de leurs romans, j'ai tout de suite été attirée par la couverture, ce regard azur pénétrant d'une superbe jeune femme, coiffée à la mode de l'entre-deux guerres, et le résumé m'a convaincue dans mon choix. Je suis contente d'avoir été sélectionnée, j'ai reçu le roman au format papier, c'est un objet très beau et le contenu l'est encore plus.
Comme dit dans le résumé, tout commence par cet appel que reçoit Felicity, une jeune femme étudiant à Seattle, rencontrant quelques problèmes de couple. Sa mère, Martha, a disparu. Elle la retrouve à Rome, elle s'est enfuie là-bas car elle a découvert, à la mort de sa propre mère survenue quelques jours plus tôt, des papiers relatant l'histoire familiale de Martha. Felicity va en apprendre encore plus suite à la traduction par un prêtre d'un carnet venant de sa grand-mère. Elle préfère en prendre connaissance avant de le confier à sa mère, de peur de sa réaction.
Nous remontons alors le temps, en 1923, à Munich, pour faire la connaissance de Gustav et Elisabeth. Il est docteur, d'origine juive, elle est cantatrice. La capitale de la Bavière est déjà aux prises d'un certain Adolf Hitler que Gustav craint. le couple a l'heureux bonheur d'avoir deux enfants, Deborah et Wolfgang. Ceux-ci vont grandir dans l'amour de leurs parents, mais aussi dans la peur. Gustav cherche à protéger sa famille et s'enfuir pour partir en Angleterre. Mais, leurs tentatives s'avèrent toujours reportées. Elisabeth est une belle femme que les dirigeants de l'Allemagne adulent pour sa voix et ses récitals. Elle ne peut refuser de chanter, quoiqu'elle puisse penser. Deborah grandit dans cette atmosphère, et va connaître la montée du nazisme et la guerre.
Vous vous doutez un peu de ce que va vivre cette famille, de ce que cette mère va essayer de faire pour protéger ses enfants. J'ai déjà lu d'autres histoires relatant ce douloureux passé, mais je n'ai pu m'empêcher d'être touchée, émue et attristée devant tout ce qui arrive à Gustav et Elisabeth, à Deborah et Wolfgang. Des femmes fortes, qui le deviendront encore plus avec la guerre. Deborah prendra conscience petit à petit, grâce à une amie, de la situation des juifs en Pologne, elle aura le courage et la volonté de faire ce qu'elle peut pour lutter contre. Mais parfois, il faut aussi penser à se protéger.
Ce roman est une belle saga familiale, où les femmes ont un grand rôle, ce qui est intéressant aussi, c'est d'avoir le point de vue de personnes allemandes vivant cette guerre qu'ils ne veulent pas. L'auteure nous explique dans la postface qu'elle s'est inspirée de certains personnages ayant vraiment existés, j'avoue que cela glace encore plus le sang quand on apprend ce qu'ils sont devenus, malgré leurs faits horribles. le plus terrifiant a été de lire les paroles de la mère du filleul d'Hitler qui se reproche d'avoir empêché celui-ci de se suicider en 1923, combien auraient été épargnés ? Comme cela doit être dur de vivre avec ça...mais on ne peut pas refaire l'histoire, juste vivre avec... La transmission de ce passé est lourde, chargée, ici, elle se fait de fille en fille, et crée des liens forts lorsque tous les secrets sont révélés.
Hanni Münzer m'a profondément émue, elle n'épargne pas le lecteur, les horreurs de la vie quotidienne du nazisme, de la peur, de l'asservissement, de l'humiliation m'ont marquée, et pourtant on a l'impression de tout avoir lu de cette période. Non, il y a encore des histoires qui touchent. Au nom de ma mère en fait partie. Malgré quelques longueurs s'avérant par la suite nécessaire pour la compréhension, j'ai aimé cette lecture. La part du passé prend les trois quarts du roman, j'ai eu peur car je me voyais approcher de la fin et on n'était toujours pas revenu dans le présent avec Felicity et Martha. J'aurais peut-être aimé que cette dernière partie soit plus approfondie, mais je me rends compte maintenant qu'elle se suffit à elle-même et apporte les éléments essentiels pour bien conclure cette histoire difficile.
En tout cas, ce roman va rester graver dans ma mémoire, il serait bien qu'il soit lu par le plus grand nombre, pour ne pas oublier, qu'on garde en mémoire les atrocités commises pendant cette période, et ce qu'elles ont pu créer comme ravages sur des générations.
Je remercie chaleureusement les éditions de l'Archipel, grâce à eux, j'ai découvert un roman que je n'aurais peut-être pas lu d'emblée.
Lien : http://marienel-lit.over-blo..
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Vous n'êtes pas sans savoir que j'aime ces histoires de secrets de famille qui révèlent au grand jour un passé souvent peu glorieux mais qui ont le mérite d'apporter des réponses à des traumatismes profonds que l'on ne comprend pas toujours.

Avec Au nom de ma mère, Hanni Munzer nous conte l'histoire de quatre générations de femme dont Félicity est la plus jeune. Elle vient de réussir ses études de médecine, fréquente un homme qu'elle aime et peut ainsi aspirer à une vie heureuse. Toutefois, elle décide de tout plaquer pour partir en mission humanitaire car un vide qu'elle ne s'explique pas l'empêche d'accéder à ce bonheur.

Sur ces entrefaites, sa grand-mère décède et Martha, sa mère disparaît. C'est à Rome que Félicity la retrouve, avec le journal de son aïeule.

Un journal qui pourrait bien expliquer le vide affectif dont elles souffrent et qui les propulse en 1920, date à laquelle Hitler a créé le Parti national-socialiste des travailleurs allemands. Ce témoignage dure jusqu'à la fin de la seconde guerre mondiale et nous entraîne dans l'abomination de ce que fut la montée du nazisme jusqu'à son apogée et ses terribles exactions à travers les yeux d'une femme qui sera manipulée par le pouvoir et qui prendra tardivement conscience de l'horreur qui l'entoure.

C'est avec délicatesse qu'Hanni Munzer nous livre ce témoignage. L'écriture est soignée nous faisant ressentir divers états au long de la lecture : terreur, dégoût, tristesse, espoir se télescopent tout au long de ce roman.

Même si l'on connaît parfaitement ce que le nazisme a engendré, le vivre à travers ces femmes est une expérience bouleversante.

On ne peut que s'attacher à Déborah et Élisabeth. Ce ne sont pas des personnes de caractère, elles aspirent juste à une vie de famille heureuse et elles vont se retrouver emportée par la folie des hommes et prendre des décisions qui auront des répercussions qu'elles ne soupçonnent pas sur leur descendance.
Au nom de ma mère est une magnifique fresque familiale, poignante, étouffante qui ne pourra vous laisser insensible. Même si l'on dit que la guerre est une affaire d'homme, ce sont certainement les femmes qui en paient le plus lourd tribut. Un récit criant de vérité, une ode à la vie qui vous transportera dans les sombres secrets d'une famille qui souhaitait seulement vivre en paix.
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Le style d'écriture de l'auteure m'a plue car il m'embarque immédiatement avec lui. J'ai été en totale immersion. Je vivais l'action.

Au nom de ma mère ne se contente pas de raconter une histoire. Bien sûr qu'elle nous fait réfléchir et réagir. Bien sûr qu'elle nous marque. Mais surtout, elle nous montre à quel point nos racines nous définissent même si nous n'en avons pas forcément conscience. Elle illustre parfaitement le fait que les secrets de famille peuvent empoisonner notre vie au présent.

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J'ai eu la chance d'être sélectionnée, lors de la dernière opération masse critique, pour découvrir en avant première Au nom de ma mère de Hanni Münzer. Je m'étais pourtant convaincue de ne plus "postuler" que pour des livres "connus", pour éviter les déceptions, comme j'ai pu en avoir, et aussi parce que j'ai déjà énormément de livres à lire ! Pourtant, Au nom de ma mère, avec sa très jolie couverture et son résumé terriblement tentant (malgré une coquille sur mon exemplaire) m'a convaincue du contraire. Pour cela, je remercie Babelio et les éditions l'Archipel car Au nom de ma mère est une très belle découverte. Un livre captivant qui, malgré quelques longueurs et petits passages difficiles à situer temporellement, a su me séduire.
Le récit commence en 2012, nous découvrons Félicity, qui prend une décision radicale pour la suite de son existence juste avant de perdre sa grand-mère et que sa mère ne disparaisse. Elle se lance alors à la recherche de cette dernière et va découvrir le passé de sa famille maternelle. Félicity et Martha, sont des personnages peu présents puisqu'on ne les côtoie qu'au début et à la fin du roman. Pourtant, j'ai bien aimé Félicity et l'évolution de son personnage suite à cette recherche du passé.
La majeure partie du roman se déroule à partir du milieu des années 20, et jusqu'à la fin de la 2nd guerre mondiale. Il faut donc s'en douter, le tableau que nous brosse Hanni Münzer n'est pas des plus gais et la postface vient étoffer un peu plus son récit et lui donner une réalité plus palpable; j'ai d'ailleurs trouvé ce dernier fort intéressant.
Nous côtoyons dans un premier temps Gustav et Elisabeth, les arrières grands-parents de Félicity, puis Déborah, sa grand-mère. Nous assistons, impuissants, à la montée du nazisme et aux tentatives d'y échapper que mettent en oeuvre les Berchinger, juifs par le biais de Gustav. Je dois avouer que même en ayant connaissance des horreurs de la 2nde guerre mondiale, on ne peut s'empêcher de penser que tout ira bien pour ces personnages auxquels on s'attache forcément, famille unie par un amour évident. le livre d'Hanni Münzer, qui est en fait le récit fait par Deborah dans son journal, est très bien écrit. Il met parfaitement en exergue les atrocités commises par Hitler et ses partisans, et j'avoue que lire, dans la postface, les mots de la mère de son filleul : " Ma plus grande erreur a été d'enlever ce revolver à Hitler. Si seulement je l'avais laissé se suicider !" a fait écho au sentiment laissé par ce roman: et si... combien de fois on aurait pu espérer une fin différente, mais chaque fois, quelque chose se met en travers du chemin et finalement, les hommes semblent si insignifiant face à la machine de guerre déployée par Hitler. Tout cela est révoltant et on se sent réellement impuissant.
J'ai trouvé la partie qui se déroule en Suisse et à Cracovie un peu longuette, mais j'ai été touchée par Déborah, tellement soucieuse de son frère et marquée par ce qu'elle a vécu. Innocente et naïve dans un premier temps, elle prend peu à peu conscience de ce qui se passe réellement et va faire ce qu'elle peut pour agir. Jouet d'un homme qui a manipulé toute sa famille, elle n'aura de cesse de se venger. Cet homme, je pense que je l'ai haï autant qu'elle ! Mauvais par nature, il use de son pouvoir pour parvenir à ses fins.
J'ai aussi beaucoup apprécié le personnage de Marlène, résistante qui aura une grande place dans la vie de Déborah.
Les derniers chapitres du passés sont très (trop?) rapides et nous nous retrouvons propulsés à nouveau en 2012. La prise de conscience de la réalité de ce qu'a vécu leur aïeule, la rencontre de leur famille et le rapprochement mère/fille m'a fait monter les larmes aux yeux.
Même s'il a quelques imperfections, Au nom de ma mère est réellement un roman poignant et glaçant, qui sait toucher le lecteur en plein coeur.
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Deux périodes dans la narration : les années 2012 qui commencent et clôturent le bouquin (un peu faiblardes à mon sens) et les années 1924-1945 qui m'ont passionnée (je ne dois pas avoir la même culture historique que les autres critiques).
Est-ce la peinture des personnages, que j'ai trouvée très réaliste ? Ou le fait d'être au coeur de la famille, souffrant des mêmes affres ?
Au coeur du récit il y a trois femmes. Elisabeth, Deborah et Marlene, toutes plus belles les unes que les autres, portant des tenues magnifiques et des bijoux assortis. La première, Elisabeth, toute à son art, chante sur les scènes internationales les plus renommées. Elle fraye avec le gratin de l'époque, devient l'égérie du national-socialisme, un peu par obligation (elle essaie de retrouver son mari, juif, disparu mystérieusement) un peu par naïveté et ignorance des enjeux qui se trament. Elle finira même par faire rentrer le loup dans la bergerie familiale.
La seconde, Deborah est sans doute le personnage le plus intéressant. Peut-être pas le plus crédible, mais que sait-on des états d'âme pendant cette période horrible ? Déborah est très jeune, et sa jeunesse est fougueuse et avide. Elle se jette dans les bras du loup, naïve et affamée, essayant d'effacer la disparition de ses parents dans leurs jeux sadomasochistes.
Le loup, bel homme très élégant et fortuné, est aussi, un pilier du III° Reich, Deborah l'apprendra à ses dépens. C'est lui qui nous donne l'image de la banalité du mal d'Hannah Arendt.
La troisième, Marlene, alias Anna, alias Greta, est aussi une très belle fille. On apprendra qu'elle est un pion maître dans la Résistance. Deborah et elle se sont rencontrées à Cracovie (j'ignorais la place de cette ville dans la solution finale, elle me semble d'ailleurs une très jolie ville que j'ai envie de connaître) Leurs aventures sont sans doute un peu rocambolesques, mais j'aime bien son personnage de femme loyale et forte.
Les autres personnages sont intéressants aussi, quoique plus fugitifs : Gustav, le bon, Fritz, le journaliste visionnaire, Leopold, le traître malgré lui, Ottilie, la fidèle servante, Jakob, le résistant.
Bien sûr, il y a des invraisemblances.
Mais hormis cette faiblesse j'ai été prise tout au long du roman, comme on l'est dans les thrillers les plus noirs (il faut dire que pour être noir, c'est noir). J'avais hâte de voir comment ils allaient s'en sortir. J'ai été un peu déçue, car j'ai trouvé que la fin était trop expéditive et irréaliste (comme si l'auteur voulait se débarrasser de l'histoire au plus vite). Mais dans l'ensemble, j'ai passé un très bon moment de lecture.
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