Kokacura, jeune fille célibataire de 29 ans est salariée dans une entreprise mais en rentrant chez elle, c' est une gameuse de jeux vidéo.
Elle s'adonne à sa passion. Mais c'est alors qu' un nouveau compagnon fait une apparition dans sa vie qui n'est autre qu'un petit chat.
Kokacura éprouvera de l'admiration pour son chat mais il fera aussi parti de son univers à tel point que les passages où elle se rendra à l'animalerie seront cocasses tant la passion des jeu video pour Kokacura est bien présente.
Kokacura utilise le lexique des termes utilisés par les joueurs ces termes du jeux video sont définis par l'auteur.
Un manga bien sympa à la fois mignon et drôle.
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Ce petit manga est tout doux et drôle mais je doute que la série dure sur plus de 10 tomes... il faudrait avoir bien trop d'imagination. Je suis allée vérifier et je vois 8 tomes au total, ce que je trouve déjà beaucoup ! A 29 ans, cette jeune salary woman est absolument parfaite et ponctuelle, surtout pour finir sa journée de travail. En effet, dès qu'elle rentre chez elle, la tenue décontractée est de mise et la console s'allume. Sa vie : les jeux vidéos, jusqu'au jour où posant le regard dans les jolies petites pupilles d'un chaton, elle l'adopte. On a ainsi droit à des petites scènes comiques et des analogies entre les level up du gaming et les apprentissages du chaton. C'est mignon mais je n'en garderai pas des souvenirs inoubliables. Ce manga surfe bien trop sur la vague des manga sur les relations Homme/Animal (spécifiquement les chats).
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Les ingrédients pour commencer une chouette série de manga ? Une jeune femme de 29 ans et un chat !
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Plus précisément dans ce premier tome on decouvre Kozakura, 29 ans, célibataire et accro aux jeux vidéos. Elle passe tout son temps libre sur des jeux vidéos, elle ne pense qu'à ça et ne rêve que de rentrer chez elle pour jouer. Une gameuse, une addiction incroyable.
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Un petit être va venir bouleverser ses habitudes: un chaton entre dans sa vie, pour de vrai. Là, ce n'est pas un jeu mais une boule de poils qui a besoin d'affections, de soins, de jeux...
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Plus l'on tourne les pages de ce manga, plus l'on remarque qu'elle prend conscience des conséquences de l'adoption de ce petit chat. Ça commence par lui donner à manger, le caliner, lui donner un prénom, l'emmener chez le vétérinaire, sans oublier de lui acheter des jeux... C'est mouvementé mais nécessaire.
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Un manga qui allie le jeu vidéo et l'amour pour les félins. On découvre beaucoup de vocabulaire issus de jeux vidéos. Il y a des annotations en bas de page, ça aide à comprendre certains mots.
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J'ai trouvé Kozakura un peu lente à réagir dans certaines situations mais elle est tout de même attachante et j'aime le fait qu'elle soit attendrie par ce minou.
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La fin du premier tome est prometteuse et me donne envie de découvrir la suite !
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Les mangas, ce n'est vraiment pas mon truc. Surtout pas ceux qui se lisent « à l'envers », enfin, à l'envers pour nous, occidentaux.
Mes petits-neveux, eux, raffolent de ce genre de livres, c'est pourquoi je fréquente ce rayon à la librairie.
Je l'avoue, lorsque j'ai découvert le visage de mon petit Ulysse qui me fixait, je me suis sentie fondre.
Je sais que lire, avant son destinataire, un ouvrage qu'on va offrir, ça ne se fait pas. Mais Omusubi (car, vous l'aurez deviné, ce n'est pas l'histoire d'Ulysse) me paraît trop craquant. Comme je suis très soigneuse, on ne voit pas que le livre a été ouvert (mea culpa).
Kozakura, « la gameuse », est une jeune femme qui travaille à une vitesse stupéfiante. Rien de bien passionnant, elle encode des factures. A la fin de la journée, elle dépose les dossiers sur la table du chef et se volatilise. Pas question de traîner au bureau, de faire des heures supplémentaires, pas même d'aller boire un verre entre collègues. Elle est attendue. C'est une fanatique de jeux sur ordinateur. Lorsqu'elle parle, impossible de la comprendre. Ce ne sont que : « J'ai trois items de rareté 6 », « le bâton de cyprès et l'épée d'acier » ou « sphère d'armure verte ». En fait, elle se dédouble : il y a Kozakura au travail et Sakura sur la playsation. Sa vraie vie est virtuelle.
Donc, c'est la surprise lorsqu'un policier entre dans les bureaux avec un carton : il a trouvé un chaton perdu et cherche à le caser. C'est notre amie qui se propose. Mais la cohabitation sera compliquée. Il faut d'abord trouver un nom à ce bébé. Après moult cogitations, elle choisit « Omusubi ». Celui-ci est un véritable petit démon. Il court partout, renversant tout sur son passage. Il s'assied sur la console avant que Kozakura ait pu sauvegarder son score, effaçant tout.
Quant à elle, elle s'affole pour un rien. Il se gratte ? Il est certainement à l'article de la mort. Aussi, elle dérange le vétérinaire après ses heures pour une simple puce.
Elle lui achète des jeux luxueux, évidemment démolis en quelques minutes, alors que lui est en extase devant une boulette en papier ou les boîtes dans lesquelles on a livré les commandes de son humaine.
Je dois reconnaître que j'ai adoré les planches consacrées à Omusubi, aussi beau et charmant que mon Ulysse. Ses attitudes sont très réalistes et bien rendues.
Pour le reste, je n'ai rien compris aux occupations de sa maîtresse et je n'ai pas apprécié les visages humains : yeux exorbités, bouche démesurément ouverte, gouttes de sueur... ni aux onomatopées qui ne rappellent en rien notre univers familier : « Ffp », « Dap dap », « Gyaaaaaaaah », etc.
Il y a de nombreuses notes qui permettent, en principe, de comprendre ce que dit l'héroïne : « un mob », « le taux de drop » ou « wipe ». Mais mes vieux yeux peinaient déjà à déchiffrer les phylactères écrits en très petits caractères, alors, les notes microscopiques, bien plus petites que les notices pharmaceutiques, m'ont, pour la plupart, échappé.
Je me demande ce que les enfants en penseront, mais ce n'est pas pour moi. Pourtant, j'avais bien aimé « Plum » qui est aussi un manga, mais centré sur le chat, alors que celui-ci fait la part trop belle au jeu.
PS : Critique des petits destinataires « C'était génial ! Tu peux nous acheter la suite ».
Bon. Eh bien c'est noté.
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Après avoir lu Félin pour l'autre, me voici plongé dans une autre histoire de chats. Au passage, du même auteur.
Perso, je l'aime bien cet auteur ou autrice, au fond, je ne sais pas trop.
Si autant, j'ai aimé Félin pour l'autre autant, j'ai été un peu moins friand de la gameuse et son chat.
J'ai été dérangé au niveau de la traduction, car lire :"je need" au lieu de j'ai besoin, j'ai littéralement eu envie de tartrer la traductrice. Alors oui, c'est destiné aux jeunes, mais si c'est pour en faire des franglais insipides, non merci. Bref. Un peu trop de références au vocabulaire des jeux vidéos (en même temps vu le titre du livre, c'est compréhensible).
Sinon pour le reste, c'est d'une mignonnerie sans nom. On sent littéralement qu'on s'est appliqué à dessiner parfaitement les chats (surtout le chat en fait) que le reste est un peu moins fort. Autant dans félin pour l'autre, il y a un but, autant ici, on voit une histoire de la vie quotidienne entre une célibataire et son chat. Mais peut-être est-ce littéralement voulu pour ce premier tome.
Personnellement, je trouve assez difficile de juger un manga donc je m'en arrête là. Mais je vais, cependant, lire toute l'hexalogie.
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Ha ha c'est tellement chou ! j'ai découvert ce livre et ben... sur babelio! je cherchais un mangas et je suis tombée sur ça. le titre me faisait déjà super envie et la couverture encore plus ! il y a déjà 3tomes de parus et je conseille énormément !!!
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