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Citations sur L'autre visage de la vérité (0)

Sade is slipping her English book into her schoolbag when Mama screams. Two sharp cracks splinter the air. She hears her father's fierce cry, rising, falling. [...] Papa is kneeling in the driveway, Mama partly curled up against him. One bare leg stretches out in front of her. His strong hands grip her, trying to halt the growing scarlet monster. But it has already spread down her bright white nurse's uniform. It stains the earth around them.
A few seconds, that is all. Later, it will always seem much longer.
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La méchanceté se glisse en toi comme une aiguille et y grandit comme un chêne.p 282
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"Pas un jour sans que nous ne soyons rançonnés ! Au vu et au su de tous. Et à qui se plaindre ? Pas à la police, c'est elle-même qui nous vole !" p 41
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'Let me see their money,' Femi said, stretching out his hand.
Sade passed him a small silver coin. She examined one herself, running her forefinger around the edges. It was almost round but had little corners.
'She's their queen,' said Femi.
On the other side was a rose with a crown.
'It says "twenty pence",' said Sade. 'So we've got eighty. I'm sure she'll want them back.'
But when Sade looked up in the direction of the flower stall, the place where Mrs Bankole had been standing with Mr Bad Temper was empty.
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"Le mensonge emprunte sept chemins sinueux, la vérité uen seule voie, bien droite". p 193
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Chadé n'a plus de mots, plus de gestes. Elle voudrait étreindre Maman, forcer ses poumons à s'emplir d’air avant qu'il ne soit trop tard, mais elle est incapable de bouger.

Maman Buki, se grosses joues baignées de larmes, rabat le coin du tissu brodé sur le visage de sa sœur.

Chadé la regarde, muette d’horreur; ses larmes à elle coulent au plus profond de son corps, comme uen source silencieuse emprisonnée dans la pierre. p 10
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Les élèves avaient organisé une grande manifestation qui avait débuté dans le bruit et l’anarchie, mais sans violence. Ils comptaient marcher sur le centre-ville. Leurs banderoles disaient "Généraux, fichez le camp ! Organisez des élections ! Le Nigeria veut une presse libre ! Libérez les prisonniers politiques!"

Mais avant même qu'ils aient quitté le campus, un convoi de camions militaires avait surgi, bourré& de soldats. Ces derniers s'étaient déployés comme un essaim de mouches et avaient commencé à tirer. Sans avertissement p 102
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A chaque séjour de Grand-Mère à Lagos, les deux vieilles dames passaient des heures ensemble, assises au soleil, à discuter de tout et de rien en yorouba, ne s'interrompant que le temps de servir les clients.

Ce sont des amies d'enfance, mais Maman Lola semble bien plus âgée ; elle est plus ridée, plus voûtée.

"Pauvre Maman Lola ! dit souvent Grand-mère. Le chagrin est entré chez elle comme un voleur. Tous ses enfants sont morts. Elle doit vendre des oranges pour survivre.p 39
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