Autant être honnête, je n'ai pas dépassé le 6ème chapitre.
La transcription des dialogues est phonétique et de fait assez indigeste.
Je vois bien en quoi ce roman peut être une dénonciation par l'absurde des hôpitaux psychiatriques, asiles d'aliénés comme on les appelait alors.
Mais le catalogue des pensionnaires est monotone et soporifique.
Tant pis pour le 1er Goncourt
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