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Critique de Bougnadour


Tout ce qui est excessif est insignifiant, Sandrine Rousseau plus qu'excessive et donc moins qu'insignifiante, valait-elle la peine qu'Eric Naulleau lui consacre un ouvrage ? Certes celui-ci est court, comme la pensée du sujet (devrait t'on dire la sujette ?) mais puisque le mal est fait que peut-on en retenir ?

Que S.Rousseau est un des nombreux symptômes du délitement du débat politique dans ce pays. Cette dame n'a d'objectif que sa notoriété, la vérité ne lui importe peu et plus le mensonge est gros et plus ça passe, on peut sans risque l'accuser d'insincérité idéologique : écologie et féminisme sont porteurs dans les réseaux sociaux, si demain survivalisme et royalisme sont à la mode, Sandrine voudra être couronnée dans un abri atomique. Comme l'opinion majoritaire l'a percée à jour depuis longtemps et se moque de ses sorties, elle réserve ses coups les plus durs à ses « amis » écologistes qui doivent se demander comment s'en débarrasser.
Laissons cette pitoyable créature médiatique qui ne mérite pas d'intérêt, pour parler du traitement que lui réserve Naulleau. le livre est drôle, on connait la verve de l'auteur et son talent pamphlétaire, à son débit on pourrait dire que le personnage Rousseau est tellement caricatural qu'il n'a pas grand mérite, il suffit de rassembler les faits et de sélectionner dans l'abondant florilège de bêtises proférées par la dame.
Le livre se lit aussi vite que Naulleau a dû l'écrire ce qui est bien suffisant pour une telle imposture, soyons féministe : une femme peut être une parfaite Tartuffe.
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