Une Bd très intéressante sur nos informations qu'on livre aux réseaux sociaux et autres grands groupes. Jusqu'où va notre intimité ? Doit on être complètement transparent ? Peut on échanger nos données (santé, trajets, activités...) contre des réductions pour des mutuelles ou assurances ?
Même si "on n'a rien à cacher", n'a t'on pas le droit à une vie privée, à une intimité ?
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Les 2 auteurs se mettent en situation et dialoguent sur les conséquences du Big Data, la compilation de nos données personnelles sur Internet par l'Etat, les entreprises afin de nous modéliser pour nous offrir les meilleurs services, les meilleurs prix ou les meilleurs publicités pour nous.
Première chose à dire sur cette BD, nous sommes aux États-Unis, un pays qui protège beaucoup moins les données personnelles de ses concitoyens même si en Europe nous sommes également matraqués par les organismes gouvernementaux et privés.
Comme le constate les auteurs, difficile d'évaluer le coût négatif ou le gain lorsque l'on donne nos données (réduction de prix, promos...) mais le côté néfaste est la création d'un profil de consommateur qui peut être biaisé par les données récoltés : genre on ne fait pas de sport donc mauvaise santé !
En somme, il est presque impossible d'échapper à ce profilage incessant mais il est utile de les limiter au maximum pour maîtriser les données que l'on « offre » aux industriels.
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Une enquête en BD sur le big data et les avancées dans ce domaine la...on suit ainsi les deux auteurs de la bd dans une enquête sur le monde de la collecte des données.
Création de profil à partir d'une typologie...prévoir selon un modèle tels sont la volonté des grands industriels de ce monde (google, facebook, apple, amazon...).
Une immersion intéressante dans ce monde 2.0.
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Un journaliste et un dessinateur américains réalisent un reportage sur le big data.
Se pose alors au lecteur la question de la préservation de nos données personnelles ou de leur utilisation raisonnée étant donné nos pratiques numériques dans un monde de plus en plus connecté. En effet, nous ne mesurons pas toujours les conséquences possibles de gestes que nous pensons insignifiants. Les vrais bénéficiaires ne sont pas nécessairement ceux qui le pensent…A la fois intéressant et flippant, même si la législation française et européenne est plus restrictive qu'aux USA !
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