Vite lue, eu égard à son son mini-format, la nouvelle
L'Entrée du Christ à Bruxelles, m'a essentiellement donné l'envie de découvrir la toile de
James Ensor. Quant à l'intrigue, qui semblait en promettre davantage, se dilue dans une fin romantique et téléphonée. Il n'empêche que l'écriture est agréable, déjà subtile et encore facile.
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