« La surface interne était une mosaïque de verts, de bleus et de bruns : des déserts sans chemin, des jungles, des glaciers et de vastes océans. Des bandes de nuages blancs projetaient des ombres noires sur le terrain. L'anneau tournait et une chose nouvelle apparut : un ouragan terrible se formait au-dessus d'une étendue d'eau incroyablement vaste. »
« Je me fais fichement trop vieux pour être congelé et envoyé dans l'espace à la vitesse de la lumière. »
« L'alerte retentit à nouveau immédiatement. Bizarre. Il voulut la faire taire une nouvelle fois, mais il s'arrêta en voyant l'espace se modifier autour du Pélican. Des particules de lumière verte apparurent, des petits points qui enflaient telles des ecchymoses sur le velours noir de l'espace. Les tâches verdâtre allongeaient, comprimaient et déformaient les étoiles ; c'était le point d'entrée d'un saut en provenance du Sous-espace. »
On avait déjà enseigné l’histoire des Aztèques aux Spartans et expliqué comment Cortès avait quasiment détruit leur race entière grâce à des tactiques et une technologies supérieures. La même chose était-elle en train de se reproduire entre les Covenants et les humains ?
Une personne qui remporte une victoire au détriment de son groupe est considérée comme perdante.
Les individus étaient bien supérieurs à la somme de leurs gènes. Il existait également des facteurs environnementaux, des mutations, l’éthique et une centaine d’autres éléments qui pouvaient faire de cet individu un candidat inacceptable.
Il aimait les hommes et les femmes placés sous son commandement comme s’ils étaient ses propres fils et filles. C’est le piège même du commandement : pour être un bon chef, il fallait aimer le service. Pour être un grand commandant, il fallait être prêt à sacrifier ce que l’on aimait.
Sur le terrain, il fallait improviser. C’est un des autres principes de leur entraînement : s’adapter ou mourir.
C’était une chose qu’il n’avait jamais apprise à ses élèves à l’École Navale : les victoires dépendaient autant de la chance que du talent.
- Aucun mort ? Il est indiqué que Sam est porté disparu. Pourquoi une telle information ? Il est mort en 2525.
- Directive Neuf-Trois-Zéro de la Section Deux du SRN. Lorsque le SRN a été mis sous les feux des projecteurs avec le programme SPARTAN-II, la décision fut prise que les rapports concernant les pertes Spartans pourraient provoquer une importante baisse du moral. C’est pourquoi chaque mort Spartan est listé comme blessés au combat ou porté disparu, afin de maintenir l’illusion que les Spartans ne meurent pas.
- Les Spartans ne meurent pas ? Si seulement c’était vrai.