Traduit de l'islandais par
Eric Boury
Quelle appellation magnifique pour les sages-femmes que "mère de la lumière".
C'est vrai que dans ce pays où les journées sont parfois très courtes, la recherche de la lumière est primordiale.
J'ai eu l'impression de lire non pas un roman mais un livre de souvenirs qui lie toutes les générations de sages-femmes de sa famille. Avec une préférence marquée pour l'expérience, la vie, de sa grand-tante dont elle semble très proche. Peut-être parce qu'elles portent le même prénom : Domhildur.
Un très beau livre sur un très beau métier et sur la lumière, nécessaire à la vie.
« Personne ne sait exactement ce qu'est la lumière : on peut la mesurer, mais pas la comprendre. »
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