Une farce sans prétention probablement écrite sous substances illicites (vous remarquerez le pluriel), car c'est du grand n'importe quoi du début à la fin.
Alors oui, on sourit, à défaut de rire franchement, mais si les personnages sont truculents, l'histoire ne casse pas trois antennes à un extraterrestre. Reste une satire sur le monde du journalisme - l'auteur ayant appartenu à ce milieu -, ainsi que sur l'univers des junkies - l'auteur ayant dû baigner dans ce milieu.
Visez un peu le jeu de mots foireux composé par le prénom et le nom de l'écrivain et vous aurez un bref aperçu de ce qui vous attend.
À lire pour parfaire sa culture SF et puis, entre une pandémie mondiale et une guerre en Europe de l'est, il est bon de reposer son cerveau et de remonter son taux de sérotonine. Paraît que c'est efficace.
Commenter  J’apprécie         10