L'Envol

Bouddha vécut cinq siècles avant Jésus-Christ. Mais les Druide possédaient déjà la science sacrée, il y a vingt-cinq siècles. Ils se servaient de Stonehenge, à la fois lieu initiatique et calendrier cosmique de pierre, capable, entre autres, de prédire les éclipses de soleil. Stonehenge, cela fait seulement quarante siècles, si je puis dire ! Ils connaissaient les secrets du tellurisme et ils érigèrent les dolmens en des endroits bien définis, sur des noeuds vibratoires. Les menhirs étaient les sortes d'aiguilles d'acupuncture, des implants, qui servaient aussi à apter les forces telluriques et à les régulariser. Ah! si j'avais le droit de ous dévoiler certains secrets, vous seriez émerveillé !

Pourquoi les Druides sacrifiaient-ils des vies humaines s'ils vaient toutes ces connaissances?

Quelle horreur ! Personne n'a jamais été plus respectueux de la ie que les Druides. Les dolmens, loin de servir à des offrandes de victimes, étaient de véritables lieux de guérison. On couchait le malade sur la table dolménique non pour le tuer mais pour qu'il soit pénétré par les forces conjuguées des vibrations curatives et par les incantations des prêtres groupés en cercle autour de lui.

Ainsi les druides savent depuis des millénaires, que le chêne est le roi des arbres. Son évolution spirituelle en fait une entité titulaire pour les humains qui s’abritent sous leurs frondaisons. Cet arbre extraordinaire émet plus d’énergie qu’il n’en reçoit du cosmos, ainsi ses vibrations peuvent rééquilibrer un organisme déficient.

Je ne vois pas comment un homme qui a la foi peut être ainsi perturbé?
Cela dépend ce que vous mettez sous le vocable de foi. Si vous pensez foi = croyance en Dieu, alors la plupart des gens possèdent cette clé qui ouvre une des portes du ciel. Mais la véritable Foi, c'est bien autre chose, vous pouvez me croire. C'est d'abord s'abandonner totalement entre les mains de Dieu, croire contre toutes les apparences qu'Il veut notre bien avant tout, accepter sans révolte les décisions qu'Il prend pour nous, même si elles nous paraissent injustes et surtout douloureuses.

Évaluer n'est pas obligatoirement s'isoler des autres dans une attitude d'anachorète, ce n'est pas s'imposer des frustrations ou des macérations inutiles, ce n'est pas aller forcément s’enfermer dans un monastère ; évoluer c’est simplement vivre en harmonie avec soi-même et avec les autres.