Le travesti n’imite pas la femme.
...la religion est l’opium, la marihuana et même la Marlboro des peuples…
Elle est parfaite, ai-je dit, parce que j’avais déjà entendu parler de ces travestis parisiens en avance sur la nuit, qui sortaient dans la rue pour s’y fondre et s’y exhiber ; mais je n’avais jamais pensé à un spectacle pareil : n’importe quel homme aurait succombé devant cette femme, parce qu’elle était plus parfaite qu’une femme, je dirais presque que c’était La Femme.
Le pire c'était la sensation de vide.
On a pas le droit de se brûler quand on fait du business.
La chaleur écrase tout, tyrannise le monde, ronge ce qui peut être sauvé et ne réveille que les colères, les rancunes, les envies, les haines les plus infernales, comme si son but était de hâter la fin des temps, de l’histoire, de l’humanité et de la mémoire…