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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
C'est toujours un grand plaisir de retrouver Padura et son héros fétiche, Mario Condé.

Condé vieillit, la soixantaine approche, et les difficultés sont toujours présentes dans la vie quotidienne à Cuba, son île chérie qu'il n'a jamais voulu quitter malgré le contexte économique. Ancien policier, il vend toujours ses livres, en vit mal, il se prend des bonnes musettes avec ses vieux amis et adore son amoureuse Tamara. La routine quoi !
Un vieil ami d'enfance, devenu marchand d'art, lui propose une bonne rémunération en contrepartie de la recherche d'une statuette de vierge noire qui vient de lui être volée. Condé part sur les traces de cette statuette et au fil de l'enquête, se heurte à des difficultés croissantes : des meurtres, des mystères de plus en plus épais, décidemment, cette vierge est loin d'être anodine et attire toutes les convoitises. C'est l'occasion pour l'auteur de nous faire découvrir le milieu des marchands d'art.

J'ai toujours l'impression de voyager à Cuba lorsque je lis un Padura parce que l'île est presque à chaque fois un personnage à part entière. J'admire aussi son intelligence et sa culture : Comme souvent, l'auteur profite de son enquête à l'époque actuelle pour y insérer un autre récit, plus historique et tout aussi passionnant : cette fois il nous transporte à intervalles réguliers en Espagne à l'époque médiévale.

Le roman est très mélancolique, le rythme est lent. Condé est définitivement un personnage attachant, un peu l'alter ego de l'auteur, et il a de plus en plus d'états d'âme au fur et à mesure qu'il vieillit.

Pour ceux qui aiment voyager dans le temps, qui ont envie de découvrir Cuba, qui aime la littérature et les beaux personnages. Une valeur sûre.
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J'ai adoré ce roman que j'ai lu dans sa version originale, en espagnol. Leonardo Padura, à travers une histoire qui est traitée comme un roman policier, parle de la vie à Cuba à une époque qui peut être la période des années 90 voire 2000. L'intrigue est bien menée et concerne la recherche d'objets volés à un marchand d'objets d'art, ancien camarade de cours de l'ex-policier qui mène l'enquête, Mario Conde. Elle concerne aussi l'histoire d'une vierge noire datant du 12e siècle, qui est totalement fictive mais se référe à des périodes de l'Histoire, depuis les croisades jusqu'à la guerre d'Espagne. On apprend plein de choses sur ces différentes époques. L'écrivain a aussi de remarques réflexions sur la vie et la mort, qu'on peut qualifier de philosophiques. J'aime les livres qui racontent de belles histoire et là, j'ai été comblé.
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Dans " La transparence du temps ", Mario Conde le personnage récurrent de Léonardo Padura est égal à lui-même: toujours amateur de rhum, fumeur invétéré, l'ancien flic, devenu chasseur de livres anciens, fidèle à ses amis de lycée continue à faire avec eux de copieux repas. Ce qui différencie ce roman des autres c'est que Mario Conde va fêter ses soixante ans et cela le déprime un peu. Mais lorsqu'un camarade de lycée, Bobby, qu'il ne fréquentait plus, celui-ci, le sollicite pour retrouver dans La Havane, la statue d'une Vierge noire qui lui a été dérobée, et à laquelle il était très attaché, il se lance dans une enquête dans le milieu des marchands d'art cubains qui va le stimuler. A la recherche de cette statue, dont la disparition va provoquer des morts, Mario Conde arpente les quartiers de la Havane, depuis les plus aisés, jusqu'aux plus pauvres. Tout en contemplant la ville, il révèle les échecs du régime issu d'une révolution qui voulait le bonheur et l'égalité des citoyens et qui n'a engendré que les inégalité, la pauvreté, l'enfermement obligeant pendant de longues années ses ressortissants à l'évasion pour retrouver la liberté. Dans chacun de ses romans Léonardo Padura navigue entre le présent et le passé. le présent, sur les pas de Mario Conde, et dans " La transparence du temps ", le passé sur ceux du personnage Antoni Barral, une sorte de "catalan errant" qui traverse les siècles, un peu à l'image du " juif errant ". Dans plusieurs chapitres, à la chronologie inversée de 1936 pendant la guerre civile, jusqu'en 1291 au moment des croisades on le retrouve en sauveur d'une statue de Vierge Noire, ce qui permet à l'auteur de retracer l'histoire de ces " Vierges noires "que l'on trouve dans plusieurs endroits du monde. C'est à la fois distrayant, captivant, passionnant, enrichissant. Il y a de l'humour, du suspense, des rebondissements, des histoires d'amitiés, des tranches de vie de Cuba, une solide construction historique, mais aussi un peu de mélancolie, sur le temps que l'on croît transparent , et qui s'écoule inexorablement. Dans ses romans, Léonardo Padura décrit son pays avec beaucoup d'empathie pour le peuple, il nous plonge dans les rues de la Havane nous en décrit la beauté un peu surannée, jamais il n'attaque le régime frontalement, mais perpétuellement il l'égratigne. L'art, laïque où religieux, la culture, les livres sont toujours présents. Dans les derniers chapitres, il y en a un, formidable , dans lequel Léonardo Padura tutoie son personnage Antoni Barral, sur sa façon d'avoir écrit les différents épisodes de son histoire à travers le temps.
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Découvert lors du salon Un aller retour dans le noir à Pau où il était présent, j'ai beaucoup aimé ce roman et j'ai hâte de découvrir les autres enquêtes de Mario Condé.
L'ambiance et l'atmosphère donne une réalité de Cuba.
Dans ce roman, Condé va fêter ses 60 ans et un de ses amis lui demande de retrouver une statue de vierge noire. Et là commence une enquête pas comme les autres ponctuée de flash-backs dans le moyen âge en Europe ou lors des croisades.
J'ai adoré ! pour son écriture, son style, l'ambiance de Cuba.
J'ai hâte de découvrir les autres romans de cet auteur...
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Se lancer dans la lecture d'un roman de Leonardo Padura, c'est partir à l'aventure, vivre plusieurs vies, remonter dans le passé lointain et aussi, surtout, vibrer au cours d'une enquête policière extrêmement bien menée, ce qui rappelle que l'auteur est connu pour ses romans policiers.
J'avais déjà lu Leonardo Padura et beaucoup apprécié L'homme qui aimait les chiens et j'ai retrouvé, dans La transparence du temps, tout le talent de cet auteur cubain. Justement, dans ce roman, Cuba tient une place très importante, centrale même. Ici, l'auteur m'a plongé dans la vie quotidienne, dans les quartiers les plus insalubres où s'agglutinent ces migrants venus de l'est de l'île, comme dans ceux habités par la classe moyenne ainsi que dans ceux où se regroupent les nouveaux riches qui font du trafic d'oeuvres d'art. Miami est tout proche.
Par contre, c'est avec la Catalogne, la Garrotxa, que se connecte ce livre grâce à cette histoire de vierge noire médiévale volée et sur le point de disparaître complètement. C'est Bobby, un camarade de lycée, qui possédait cette sculpture en bois noir, héritage d'un lointain parent, membre de Templiers, que l'auteur replace en plein siège de Saint-Jean d'Acre par les Sarrasins, en 1291, avant son retour en France puis en Catalogne.
Les amis lycéens de Mario Conde, le héros de l'histoire, tiennent une grande place mais le temps des études secondaires est déjà loin car notre homme va bientôt fêter ses soixante ans et cela le traumatise… Il a l'impression d'entrer dans le quatrième âge ! Cet homme fut policier il y a une dizaine d'années mais il a conservé d'excellents réflexes et le prouve malgré une consommation de tabac et d'alcool – ah, le fameux rhum cubain ! – que je trouve excessive.
Tension extrême, assassinats, humour, recherches, références historiques très bien documentées, j'ai aimé lire ce long roman qui donne encore plus envie d'aller découvrir cette île où la vie est en train d'évoluer depuis que, le 17 décembre 2014, Raul Castro et Barack Obama ont lancé les négociations pour la normalisation des relations entre Cuba et les États-Unis.
Le temps file, insaisissable mais l'écriture est là pour figer ses meilleurs moments mais permet aussi de puiser dans un passé proche ou lointain, permettant d'éclairer La transparence du temps.
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Certains passages sont plus difficiles que d'autres. Ils ont le don de vous donner le cafard...Passer le chiffre des 60 est pénible...Je vous parle en connaissance de cause...
Alors je comprends les états d'âme du sexagénaire Mario Condé, états d'âme que dut affronter également son papa de plume Leonardo Padura...
Le meilleur moyen de passer cette étape, c'est surtout de ne rien changer à ses habitudes, de conserver ses envies, et sa passion. Passion des livres anciens, de livres que Condé déniche et vend. Mais aussi conserver des amis avec lesquels on peut partager un repas accompagné de verres de rhum.
Aussi quand un vieux copain de lycée toque à la porte de Mario Condé, en pleurant parce qu'on lui a volé la statue d'une vierge noire lui venant de sa maman, il ne peut rien lui refuser...
Une vierge noire...Pas banale me direz-vous : rares en tout cas et donc inestimables, sont ces vierges qui illuminent certaines églises et cathédrales par leur beauté et leurs siècles d'Histoire. Ces vierges dont on connaît assez mal les conditions de leur arrivée .Aussi bien en Espagne qu'en France. Les fidèles leur prêtent des pouvoirs miraculeux.
Alors l'instinct de vieux chien de chasse de Mario Condé se réveille, sa mélancolie le laisse au repos, et sa passion renaît, aussi déterminée qu'avant. Tout est là pour l'accompagner dans ses états d'âme et dans sa détermination, dans les histoires compliquées, les rebondissements, les coups tordus. Ses amis bien sûr, ses anciens collègues et sa fidèle Tamara répondent toujours "présents" !
Un polar qui nous entraîne dans les bas fonds et les bidonvilles de la Havane, lieux de misère, et aussi dans les bouges qui servent des rhums aux origines parfois douteuses, dans tous ces lieux livrés aux trafiquants divers.
A côté d'eux quelques opportunistes savent profiter d'une porte entre-ouverte du pays pour s'enrichir, en n'hésitant pas à écraser leurs congénères ou en vendant des faux plus vrais que nature, faux tableaux, fausses oeuvres d'art made in China. Nombreux sont ceux qui rêvent de partir, de rejoindre la Floride...rêver n'est pas interdit ! Tous les moyens sont bons pour prendre le large.
Rien de bien nouveau sous les cieux de la Havane.
Votre transport dans les pages sera assuré par ces vieilles bagnoles cinquantenaires et américaines, mille fois démontées, mille fois refaites et trafiquées....
Et surtout voyage dans le temps, aux cotés des frères templiers qui se battent au Moyen Orient et se font tuer par les infidèles pour sauver le roi de France Saint-Louis sous les remparts de Saint-Jean d'Acre.
Voyage aussi dans l'Espagne de 36, pendant laquelle les curés étaient exécutés, les églises pillées et brûlées.
Bref, on ne s'ennuie pas.
Même si Mario a pris de la bouteille, aux sens propre et figuré, il reste toujours Condé, ce "condé" qui a du flair, des potes qui le soutiennent, Condé que j'ai eu l'occasion d'apprécier dans d'autres romans.
Leonardo Padura reste l'homme qui aime son pays riche de son rhum et de ses habitants tous animés de débrouillardise...Cuba qu'il aurait sans doute pu quitter mille fois, mais qu'il adore quand même malgré tout.
Cuba dont la devise non avouée devient "Communisme, non ; consumérisme, oui."
Cuba qu'il nous fait aimer !
Et intéressez-vous à ces vierges noires, aux conditions de leur arrivée en France, à leur histoire.
Les plus célèbres sont à Chartres, au Puy en Velay, à Rocamadour...mais pas seulement. Il y en a également de nombreuses moins connues en France et dans d'autres pays, en Autriche, en Allemagne.
La lecture de polars peut, elle aussi, ouvrir des horizons nouveaux et nous instruire
…Ceux de Padura, nous confirment qu'on peut être vieux sans être un « Vieux C..!!! »
Lien : https://mesbelleslectures.co..
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Comme d'habitude, c'est un enchantement de lire les histoires que nous raconte Leonardo Padura, il y a tellement d'humour et de poésie dans ses livres. On est emporté dans un voyage vers Cuba mais aussi dans une remontée vers le temps des croisades et des chevaliers templiers.
Le destin d Antoni Barral, chevalier Templier, un peu par hasard, sera lié à la statue d'une Vierge noire, mystérieuse et soi disant miraculeuse. Il participe, bien malgré lui, à une guerre de religion pour la conquête de saint Jean d'Acre.
De nos jours, Mario Conde va enquêter à la demande d'un ami d'adolescence, pour retrouver cette statue qui appartenait à son grand père. Cet ami accuse son amant de lui avoir volé cette statue miraculeuse.
Mario Conde est assez désabusé et mélancolique, il va fêter ses soixante ans, il est nostalgique du temps passé, il a du mal à s'accoutumer aux nouvelles technologies, tels que internet et les portables.
J'ai beaucoup aimé ce nouveau livre et je le conseille car l'écriture est très plaisante,rempli d'humour et de poésie.
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Ce que l'on cherche avec les livres ce n'est pas nécessairement l'excellence. Les romans à la gueule de travers ont un indéniable charme. Ainsi, les polars qui résistent à la lecture et ne font pas les malins avec leurs impeccables intrigues, attirent, éveillent et retiennent plus facilement notre attention. Il faut se méfier de cette fausse vertu de la maigreur, quasi métrologique dans la conception d'un ouvrage, qui en matière de suspens est érigée en condition du succès. le dernier roman de Leonardo Padura, « La transparence du temps », a un agréable embonpoint et quelques séduisants bourrelets. Il n'a certes pas toutes les qualités de ses autres polars: « L'automne à Cuba » ou « Les brumes du passé »… Il est plus bavard, plus digressif et parfois répétitif. Il mêle à rebours, incontestablement au détriment de l'intrigue, le passé d'une vierge noire du XIIe siècle dérobée à un improbable ami homosexuel et le présent d'une enquête à la Havane en 2014. Mais ainsi, d'hier à aujourd'hui, des croisades à la guerre d'Espagne, des Caraïbes à la Garrotxa catalane et à Saint-Jean-D'acre, le temps transparent dans ce roman noir semble, à l'homme ordinaire toujours balloté par l'histoire, plus propice aux bilans.


« La transparence du temps », le titre du roman, a dans ces pages ses évidences. le temps a en effet ici ses couloirs et ses couts-circuits. Les parallélismes du passé, du présent et leurs similitudes, sont pris en charge par un récit de Leonardo Padura qui alterne l'enquête, les déambulations havanaises et le voyage à reculons, pluri centenaire de la statue recherchée. L'auteur, avec beaucoup de savoir-faire, ne fait pas correspondre les deux moments du roman, ce sont des leitmotivs, des surimpressions et des thématiques communes inextricablement qui les mêlent. La Vierge noir sauve de la mort ses propriétaires contemporains et moyenâgeux ; les héros sont tous malmenés dans des mondes défaits ; les pieds des personnages sont souvent évoqués ; la création d'un être, Antoni Barral, sans cesse réincarné, récurrent, historique, atemporel et proche de l'auteur parcourt toutes les pages, etc. … Les mystères du miracle ou de l'évènement, de l'intuition enquêtrice ou de la prière « santo », c'est une autre affaire et c'est selon les moments et les personnages …


Alors que Raul Castro et Barack Obama vont ouvrir de réversibles négociations, Mario Condé, l'enquêteur fétiche de Padura, manque de tout. Il manque de café, de vrai café ; surtout de rêves, d'espoir et d'années pour penser la possibilité d'un miraculeux recommencement. Il court vers ses soixante ans et il fait le bilan des pertes dues à l'âge et aux amères désillusions. Il a vieilli comme et pour son pays défait. Et il perçoit au cours de son enquête, du centre à la périphérie de la Havane, comment fonctionne aujourd'hui Cuba : « Un panorama difficilement qualifiable d'encourageant pour le pays où il avait vécu toutes ces années et où, d'une façon sibylline et silencieuse, la querelle pour la possession des déchets solides utiles encore existants était déjà engagée. » Comme toujours, il est en effet question avec Leonardo Padura, particularisés par un récit et incarnés par des personnages, de l'existence quotidienne des cubains, de l'atmosphère sociale et politique et des changements en cours. Avec la modernisation décidée par Raúl Castro, s'additionnent à Cuba les injustices et les erreurs d'un système « socialiste » vermoulu qui appauvrissent encore plus les travailleurs et les impérities d'un capitalisme sauvage qui font émerger des groupes scandaleusement riches comme ceux des marchands d'art. Par chance, Condé connait l'abondance dans d'autres domaines. Les prémonitions, le mauvais rhum, les cigarettes, la bouffe, les amis, la musique et les nuits caribéennes ; il connait la mélancolie, un désespoir qui n'a pas les moyens, d'une génération qui a vécu les enthousiasmes et les espoirs des premières années de la Révolution et n'a pas, comme l'auteur, déserté l'ile.
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Polar de la chaleur de Cuba, bien au-delà des plages des cartes postales.

Mario Conde vieillit, l'ancien policier aura bientôt soixante ans et cela le dérange. Il constate le passage du temps, les illusions perdues et les effets de l'alcool qui lui fait voir le diable. Mais heureusement, l'amitié persiste et c'est pour répondre à la demande d'un ami qu'il part à la recherche d'une madone dérobée à un ami.

Au fil de l'enquête, il se déplace dans sa ville, La Havane, et il y découvre des quartiers de misère, aux antipodes des images touristiques. Comment son pays en est-il arrivé là? D'un côté de grandes demeures bâties sur des fortunes et de l'autre, des masures où s'entassent de pauvres gens. Ce pays ne devait-il pas être celui de l'égalité entre les hommes ?

En plus de Cuba, la recherche de la statue volée amène des chapitres qui portent sur l'origine de cette Vierge noire, avec des pans d'histoire qui vont de la Guerre civile espagnole jusqu'aux croisades et aux Templiers.

Un polar riche, qui mêle habilement psychologie, société et histoire.
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Le Conde

ses amis

son amour

café, tous les café trouvables à La Havane

rhum, le bon et le mauvais

désarroi, tristesse, mélancolie, culpabilité

convoitise, foi, pauvreté

magouille, trafic

les rêves perdus, brisés

La Havane, La Catalogne

une vallée perdue des Pyrénées

les croyances,

l'histoire d'une vierge, l'histoire d'un homme à travers les siècles

l'histoire, les fatigues de l'histoire


n'hésitez pas à partir dans la lecture de ce livre

un grand Padura !
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