accroche-toi aux rames,matelot.on l'a toutes vue en
meme temps.on l'a toutes mater et j'ai bel et bien eu le coeur chaviré.
si vous, femme mature et évoluées soi-disant
asvez envie de le mater comme une bande d'écolieres,
je n'ai qu'un mot a vous dire maintenant,il va passer me prendre.
Tu m'as volé ma vie. A mon tour, maintenant, de te prendre la tienne
Quand une porte vous claque au nez, une autre s’ouvre.
De temps à autre, je devais me remémorer que je parlais à mon propre père. Que j’étais assise en face de lui pour la première fois de ma vie d’adulte. Et lentement, j’ai commencé à y voir clair. Ce n’était qu’un homme qui avait commis des erreurs et les avait payées. Il n’était plus quelqu’un contre lequel je pouvais nourrir une rancune aveugle ni même que je pouvais détester. Il n’avait tué personne. Ce n’était pas lui, Chimère. À l’aune de celles que je rencontrais quotidiennement dans mon travail, ses fautes étaient éminemment pardonnables.
Quand on est représentant de l’ordre – surtout du sexe féminin – c’est le genre de lieu où l’on se passe volontiers d’aller. Un panneau, au-dessus du portail d’entrée, vous avertit qu’en cas de prise d’otage, on est livré à soi-même. Aucune négociation.
...il se passe des choses dans la vie d’un flic qui peuvent le pousser à faire des choix que les autres n’ont pas la possibilité de comprendre facilement.
À quelqu’un qui lui demandait si c’était dur de vivre avec le sida, il a répondu : « De très loin pas aussi dur que de vivre et de grandir en étant noir aux États-Unis. »
Je ne peux pas perdre ce bébé, Lindsay. Je sais que ça peut paraître idiot. Je porte la vie. Elle est là, toujours en moi, tout près de moi.
Les sériai killers tuent. Les tueurs en série ne cessent pas tant qu’on ne les arrête pas.