La Petite Boutique aux poisons

La partie qui se déroule en 1791 avec Nella et Eliza est prenante et originale. Elle aurait pu être densifiée. Par contre la partie celle sur Caroline est je trouve inutile, niaise. Il s'en passe beaucoup des choses dans sa vie très peu de temps. C'est incohérent. Cette partie aurait pu être retirée. Cependant, le livre aurait fait 200 pages et je ne me serais pas procuré un roman avec si peu de pages.

Dommage...

Déception pour moi !
J'ai trouvé l'histoire pleine d'incohérences.
Ensuite, les personnages ne sont pas attachants: Caroline est dérangeante à parler sans cesse de son mari, certainement manipulateur malsain, mais avec qui elle réussit cependant à rompre en deux jours. Nella ne montre que ses rhumatismes, et Eliza n'a jamais entendu parler du cycle féminin... Les hommes présents sont quasiment tous antipathiques.
L'ennui est venu assez vite...

Pourtant le thème était intriguant et prometteur. Dommage !

1791. Nella à hérité de l'officine de sa mère avec la volonté d'aider les femmes. Dans sa boutique, on trouve toutes sortes de poison à condition qu'un homme violent en soit la victime.
De nos jours, Caroline une Américaine au coeur brisé, découvre une fiole dans la boue de la Tamise.

Je suis très mitigé sur ce roman.
Autant j'ai beaucoup aimé le passé sur Nella et sa jeune amie, Eliza, on découvre au fur et à mesure leurs faiblesses et leurs secrets.
En revanche la partie présent j'ai trouvé que ça tournait en rond et qu'il y avait beaucoup d'incohérences comme, par exemple, un immeuble vieux de deux cent ans et toujours intacte.
En revanche, la plume de l'autrice est fluide, addictive.
Les chapitres sont court.
Je vous laisse le découvrir pour vous faire votre propre avis.

L'avez-vous lu ? Connaissez-vous l'autrice ?

Caroline, américaine, devait découvrir Londres auprès de son mari. Après avoir découvert qu'il la trompe, elle entreprend le voyage seule. Elle découvre une petite fiole avec le symbole d'un ours qui l'intrigue.
Nella, apothicairesse à Londres rencontre Eliza, une jeune fille venu lui acheter un poison pour sa maitresse. Ses trois destins se retrouvent liés dans deux temporalités.

Une lecture en demi teinte pour moi car le fil du récit est un peu tiré par les cheveux, notamment comment Caroline remonte la poste de l'apothicairesse grâce à la fiole. Les personnages feminins sont un peu caricaturaux: des femmes bafouées qui veulent vengeance. Seule Eliza est quelque peu attachante. le suspens est inexistant, il manque de substance. le style est plaisant, j'ai avalé ce roman en quelques heures et pourtant...

Une lecture sympa mais je m'attendais à mieux surtout avec l'étiquette de "best-seller du Times"...
Ça partait bien pourtant, une double temporalité et le Londres du 18ème en toile de fond.
Si au début ces deux éléments ont suffi à m'intéresser, malheureusement cela n'a pas suffi à me tenir en haleine.
Je dirais que c'est un livre facile qu'on lit à la plage ou au bord d'une piscine, l'histoire est bonne, l'intrigue sympa et on s'attache facilement aux personnages.
Mais il y a trop d'incohérences et de facilités surtout sur la fin pour que cela en fasse une très bonne lecture...
Mais ça rentre parfaitement dans le thème spooky du challenge

« La petite boutique aux poisons » de Sarah Penner

Dans ce livre , on navigue entre 2 époques : la fin du XVIIIème siècle et aujourd'hui.
Caroline, une jeune femme dont le mari est infidèle, fait la découverte d'une fiole sur les berges de la Tamise. Après quelques recherches, qui la transportent en 1790, elle découvre une sombre histoire d'apothicaire avec Nella.
Celle-ci vend des mixtures qu'elle a concoctées : des remèdes, mais surtout des poisons. Ceux-ci sont exclusivement destinés aux femmes qui souhaitent tuer leur mari infidèle.
Cette lugubre histoire londonienne dénonce « une tueuse en série : l'apothicairesse »

Si sur le papier cette histoire donne envie, la narratrice m'a laissé sur ma faim. Pour moi, ça manque d'intrigues, de sorcellerie et de noirceur. L'histoire, à mon goût, n'est pas assez approfondie, ça manque d'action dommage, car c'est subtilement écrit. L'atmosphère et les femmes d'antan m'ont beaucoup plus absorbé que celles actuelles.

J'ai été bluffée par la couverture.
Effectivement elle est magnifique, mais ça reste pour moi une lecture en demi-teinte, comme un reflet d'inachevé.

Un titre plein de mystères et une couverture magnifique !
Dès les premières pages, j'ai aimé cette ambiance londonienne dans laquelle vit Nella.
Ce personnage énigmatique m'a tout de suite plu et intrigué.
Tellement envie d'en savoir plus sur sa vie et son époque !
Et puis, au fil des pages, le manque d'actions pour moi ma chagriné. J'aurai aimé plus de profondeur sur cette partie historique et sur cette femme apothicairesse que finalement je ne connais pas beaucoup.
La partie contemporaine n'a pas fonctionné pour moi. Les découvertes archéologiques m'ont semblé trop surfaites et trop d'altermoiements sur ce couple.
Pas assez de matière pour moi au final sur un thème qui me faisait particulièrement envie.
Malgré tout, j'ai passé un bon moment de lecture.
La plume de Sarah Penner pour son premier roman est fluide avec des chapitres courts et je ne doute pas que ces prochains romans seront agréable à lire.

Cet ouvrage m'a fait de l'oeil chez mon libraire durant plusieurs semaines jusqu'à ce que je décide enfin de l'acheter avec sa jolie couverture et ses promesses de lecture féministe. L'effet magie a-t-il joué à plein ? Mais j'aurai dû être plus forte que les forces obscures car ce livre ne m'a pas plu.


L'histoire mets en seine 4 protagonistes à 200 ans de différences.
Il y a chaque fois une héroïne et son amie, consoeur, apprentie.
Au XVIIIe dans une petite boutique d'apothicaire, où Nella accompagnée d'Eliza prépare des poisons uniquement pour que des femmes puissent se débrasser d' encombrants messieurs. Elle met un point d'honneur à servir la cause féminine. Jusqu'à ce que la mécanique s'enraille !
De nos jours, où Caroline venant fêter ses dix ans de mariage à Londres, découvre la trahison de son mari. Au cours du voyage elle découvre une étrange fiole sur le rebord de la Tamise ? Aidée de sa nouvelle amie commence alors une quête pour retrouver l'histoire de sa propriétaire et se retrouver elle-même.

Malheureusement, même si l'idée de départ et le sujet de l'intrigue aurait pu donner un bon petit polar, il n'a pas vraiment d'enquête, pas de révélations tonitruantes. On espère pourtant, que Caroline a essayé d'empoisonner son mari ou que ce sont les effets à retardement du poison contenu dans le flaçon, mais que nenni.

Mais si j'en crois les critiques élogieuses déjà présentes sur Babelio, ce roman a plu à un grand nombre de lecteurs.
Quant à moi, j'ai l'impression qu'il peut rejoindre ces ouvrages feel-good qui essèment, un petit zeste de magie, deux gouttes de féminisme et le tour de marketing est joué.

Après avoir vu ce livre partout, je me suis enfin décidé à le lire.

Le livre nous emmène à 2 époques bien différentes où le destins de 3 femmes se trouvent liée : Nella et Elisa en 17911 et Caroline de nos jours.

Pour ma part, c'est une déception, tout va trop vite, trop bien ... Caroline trouve en 2 jours la "solution" au mystère de la fiole. J'ai trouvé l'époque 1791 trop caricaturale, tous les hommes sont mauvais, les femmes doivent les tuer; trop pour moi
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