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4,05

sur 1237 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Je m'aperçois que , Covid et hiver obligent , mes rendez - vous avec vous deviennent quotidiens ...Ce qui n'est pas du tout un pensum pour moi ...Quant à vous , les gens qui lisent étant respectueux , je sais que vous ne me direz jamais que je vous ennuie....Bon , n'insistons pas et passons aux choses sérieuses. Trouvé " sous le sapin" et offert par ma fille qui aime bien me faire sortir de ma zone de confort , ce livre m'a fait voyager . En effet , me voici parti à Londres ( hum , j'adore cette ville ) de nos jours et ....à la fin du dix- huitième siècle ! Bigre . Mais ça arrive ça, dans les romans , d'être transporté en un même lieu à des époques différentes. On ne va pas s'en inquiéter. Non , mais ce dont on va s'inquiéter, c'est de l'absence ( ou presque ) d'hommes dans ces pages . Ce n'est pas que je n'aime pas les femmes , au contraire , mais celles qu'on va côtoyer dans ce roman ont tendance à vouloir se débarrasser de leur moitié. Pourquoi ? Oh , bien peu de choses , trois fois rien , des broutilles ....vous verrez bien ... Si c'était mon épouse qui me l'avais offert , ce livre , je me demande si je l'aurais regardée de la même façon après avoir tourné la dernière page .....A moins que ....complicité avec notre fille ? Si vous ne trouvez plus mes critiques à l'avenir , merci de lancer des recherches ....
En fait , dans ce livre , Caroline arrive à Londres . Seule . Elle devait venir fêter son dixième anniversaire de mariage avec son mari .....mais a découvert, quelques jours plus tôt que celui - ci ....la trompait . Blessée, meurtrie , bafouée, plus question de dîner londonien aux chandelles , non , mais voyage tout de même....Et là , sur les berges boueuses de la Tamise , la découverte d'une fiole va déclencher chez Caroline une soif de savoir , de rechercher , de découvrir...et pour découvrir, elle va en découvrir des choses qui vont la "faire revenir "au XVIII ème siècle, dans une étrange boutique d'apothicaire tenue par la ténébreuse Nella et la dynamique et adorable Eliza ...Attention , les gars , ça va " swinguer " ....Oui , c'est que Nella , son mari ....si , si ....avec aussi , un drame , mais , chuttt .
Il est bon , parfois , de ne pas choisir ses livres , mais de se fier au hasard dont on dit qu'il fait souvent bien les choses ....Autant le dire, j'ai passé un fort bon moment avec ce roman facile à lire et subtil .L'alternance des lieux et des personnages permet de bien se transposer ici et là , de se métamorphoser au cours des pages. Sans doute certains personnages auraient ils mérité d'être un peu " approfondis " mais j'ai trouvé le " rapprochement " entre eux tout à fait cohérent.
Le roman ? Féministe, sans doute , mais pas que . Fantastique ? Un peu . Avec des " exagérations "? sans doute . Violent ? oh non . Drôle ? Oui, mais pas que . Émouvant ? parfois . Lisible par les hommes ? Ah , ça oui , pour voir ce dont elles sont capables !!! .Lisible par les femmes ? Heu , " joker " ça pourrait leur donner des idées ( même si elles n'en manquent pas ...). En conclusion ? Un bon moment de distraction qui manquera sans doute de " profondeur " pour certaines ( et certains !!! ) et qui ravira celles ( et sans doute ceux ..) qui veulent sortir de la " grisaille ambiante " . Et comme chacun le sait , à Londres , la grisaille , ça n'existe pas ...les fioles aux contenus " un peu particuliers " par contre ,surtout au XVIII ème... Et on n'en trouvait pas dans les romans d' Agatha ??? Hum , so british !!!
Allez , bonne lecture les filles , et sans rancune , hein ? Comme diraient le grand séducteur qu'est Serge Lama " femmes , femmes , femmes " ou le talentueux Julien Clerc " femmes , je vous aime " , voire Enrico et " les jolies filles de son pays " , il n'y en a que pour vous .....Dans ce livre aussi . Profitez -en ....A bientôt, ..... peut - être .
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1791
La première page nous déroule le serment des apothicaires.
"Je jure de ne jamais administrer de poisons..."
Nella est loin du serment que sa mère avait rigoureusement suivi, en se spécialisant dans les maux féminins.
Nella envisage de soulager les maux féminins dans un autre genre. Tous les maris , à commencer par le sien qui lui a donné des idées meurtrières , sont empoisonnés par les remèdes de Nella, à la demande de leurs femmes.
Notre apothicairesse ( l'auteure introduit un débat sur le terme au début du livre) note avec soin dans un carnet toutes ses clientes et les remèdes qu'elle leur délivre.
C'est qu'elle nous donne les recettes. Heureusement qu'elles sont impossibles à réaliser. On ne sait jamais !
Gare aux maris infidèles et irrespectueux envers les femmes et les jeunes filles , avec cette diablesse!
Elle est rejointe par une aidante en la personne d'Eliza , une toute jeune fille, à qui elle donne un livre de magie.
Cette empoisonneuse au coeur meurtri, pétri de haine est littéralement déformée physiquement par l'esprit de vengeance qui l'habite.

De nos jours
Caroline arrive à Londres pour ses 10 ans de mariage sans son mari car elle vient d'apprendre l'infidélité de celui-ci.
Elle accepte l'invitation de mudlarkistes , qui fouillent les berges de la Tamise à marée basse, à la recherche d'objets anciens et elle tombe sur une minuscule fiole.
Nous savons d'où elle vient mais Caroline va faire des recherches approfondies qui aboutiront presqu'à ce que nous savons grâce au récit de Nella..
Le récit est partagé entre les chapitres où l'empoisonneuse Nella, Elizabeth son aidante et Caroline se partagent la narration.
En lisant, je voyais des lieux noirs teintés de bleu : une ambiance mystérieuse, diabolique.
Le récit est original de par son thème. Il aurait pu être plus riche en évènements mais ne manque pas d'intérêt.
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Londres, 1791. Nella a repris la boutique de sa mère et y a ajouté une pièce dérobée dans laquelle concocte soigneusement, sur commandes, des poisons destinés à la gent masculine qui a fait offense à des femmes. Cette affaire lui permet d'apaiser une douleur personnelle, un secret qu'elle se résout mal à partager mais que le lecteur comprend assez vite.

Londres, de nos jours. Caroline s'est envolée pour Londres...seule après qu'elle a découvert l'infidélité de son mari. En plus de l'introspection inévitable qu'amène ce séjour qui aurait dû se faire en couple, elle renoue peu à peu avec son essences : ses passions, ses aspirations, etc. Et c'est à cette occasion qu'elle découvre une petite fiole ...

On suit donc les trajectoires de ces deux femmes (et de "l"assistante" de l'apothicaire) en parallèle. Les deux m'ont beaucoup touchée.
Les chapitres sont courts, l'écriture dynamique et les thématiques sont très modernes, amenant le lecteur à une réflexion sur les rapports hommes-femmes, la féminité et l'auto-détermination d'un individu au-delà de son genre ou son statut marital.
Je me suis délectée de ce roman comme avec Les Sorcières de Pendle ou Miniaturiste.
Sans être un "coup de coeur" comme on dit, j'ai passé un très agréable moment avec ce roman qui m'a beaucoup parlé et amené à réfléchir, en dehors de cette super aventure qui fait magnifiquement le lien entre passé et présent. Et c'est déjà beaucoup.
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Londres, 1791.
Nella est apothicaire et tient une boutique un peu particulière: elle aide les femmes à se débarrasser de tous leurs maux, y compris quand ceux-ci sont humains. Un jour, une petite Eliza vient chercher des oeufs spéciaux qui aideront sa maîtresse à se débarrasser de son mari - son problème du moment.
Londres, actuellement.
Caroline part quelques jours à Londres pour faire le point sans son mari, dont elle vient d'apprendre la trahison. Lors de ses ballades, elle se joint à un groupe de chercheurs un peu bizarre qui fouillent la vase de la tamise pour trouver des objets du passé. Ce faisant, elle trouve une fiole avec un ours gravé.
Sa passion pour l'histoire va bientôt prendre le dessus et lui faire rencontrer une bibliothécaire passionnée et mener une enquête qui va la faire remonter jusqu'au XVIIIème siècle, dans les bas-fond de Londres.
Pépite littéraire encensée par les critiques (notamment du New York Times), ce livre est surprenant, plaisant et sans temps morts.
Essentiellement fondé sur des personnages féminins forts, l'autrice ne tombe jamais dans la caricature ou ne cède aux facilités de l'air du temps.
Nolla et Caroline se font face malgré les siècles et renvoient au lecteur les problématiques de leur époque, les confrontant à leurs choix et à leurs contraintes.
Excellent moment de lecture. Merci de me l'avoir prêté!
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C'est un livre sans prétentions qui a comme objectif premier de divertir le lecteur, et jusqu'au bout le contrat est tenu.
Tout d'abord avec une intrigue prenante et originale. L'histoire d'une femme moderne à la recherche de qui elle est qui enquête sur deux femmes révolutionnaires qui elles, font preuve d'un déterminisme à l'image de leur caractère trempé. Si cette description paraît bateau, c'est la découverte du métier d'apothicaire qui rajoute cette touche d'originalité qui fait la différence. Doublé d'une couche policière, l'intrigue s'enrichit d'une certaine gravité et nous pousse à tourner la page et plus vite celle d'après.
Et comme tout bon roman policier, il est surtout question de structuration du récit. Celui ci se construit à cheval sur deux époques, deux trames, récits de vies de ces trois femmes. Au delà de la structure binaire qui est toujours (ou presque) la marque d'un livre dont le rythme de lecture est volontairement accélèré, le passage d'une temporalité à l'autre permet au lecteur d'être tantôt agréablement dépaysé, tantôt rassuré par histoire se déroulant dans le présent de lecture.
Et enfin, au cas où vous ne l'aurez pas compris, c'est un récit de femmes, qui met à l'honneur la femme, la solidarité féminine, l'amitié mais aussi l'identité individuelle.
Tout compte fait, c'est un beau roman pour passer un beau moment de lecture, prenant mais léger.
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Un livre découvert sur les réseaux sociaux, avec une jolie couverture qui a attiré mon regard.
L'histoire se passe en double temporalité, en 1790 avec l'histoire de Nella et de nos jours avec Caroline.
1791 : Nella est une apothicaire renommée et solitaire, mais sa vie ayant pris un tour particulier, elle a fait de son métier une vengeance personnelle. Elle est ainsi devenue la “bienfaitrice” de nombreuses femmes. Bien cachée à l'arrière d'une pièce sombre et secrète, elle concocte des poisons, indétectables à l'époque, pour sauver les femmes de l'emprise et la malveillance de certains hommes.
Jusqu'au jour où elle fera la connaissance d'une jeune fille, venue chercher une fiole pour sa maîtresse.
De nos jours, Caroline quitte les EU pour un voyage à Londres, qu'elle fera en célibataire suite à la découverte de l'infidélité de son époux. En bonne touriste, elle va participer à des fouilles sur la Tamise et tomber sur une simple fiole, mais assez ancienne. Sa curiosité va la pousser à mener une enquête pour découvrir l'origine et l'histoire de cette petite fiole.
L'histoire est un peu longue à se mettre en place, avec la présentation de ces quelques personnages, l'environnement et beaucoup de description (très bien écrite). Dès que l'intrigue arrive, on est vraiment pris dans le récit de ces femmes, que tout sépare, mais avec une histoire similaire et à une époque différente.
On apprend des choses intéressantes sur les poisons de l'époque et la médecine d'aujourd'hui qui en découle, et l'avancée des recherches.
Une très belle histoire de vengeance, mais aussi de pardon, de solitude et d'amitié, de quête de soi et de changement de vie.
Que ce soit dans le passé où le présent, on se remet en question sur notre destinée, sur ce que la vie nous apporte, et surtout la conséquence de nos décisions.
Un très beau livre que je recommande.
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Londres, 1791. Nella a hérité de la boutique d'apothicaire de sa mère, et vend des remèdes… Mais pas que ! Elle aide aussi les femmes en détresse à se débarrasser de leurs époux, père, frère, ou tout homme qui leur causerait du tort : c'est une empoisonneuse, qui ne déroge pas à deux règles essentielles, ne pas tuer une femme, inscrire le nom de celles qu'elle aide dans son registre, pour que l'on puisse se souvenir d'elles…
Elle reçoit un jour la visite d'Eliza Fanning, une fillette de douze ans, petite servante envoyée là par sa maîtresse. Elle perçoit chez elle une immense curiosité, la laisse pénétrer dans son antre, dans sa vie… Jusqu'à ce qu'un évènement malheureux les menace, toutes les deux…
Londres, de nos jours. Caroline Parcewell est une américaine en voyage anniversaire. C'est le 10ème depuis qu'elle est mariée. Mais elle est venue seule, ayant découvert que son mari la trompe… Par hasard, elle effectue des fouilles dans la Tamise, et découvre une mystérieuse fiole, qui l'emmène à enquêter sur une série de meurtres datant de 200 ans auparavant. Serait-elle, elle aussi, sur la piste de l'empoisonneuse ???
J'ai beaucoup aimé ce roman, à mi-chemin entre suspense, féminisme, situation historique, le tout saupoudré d'un soupçon de « magie ». La construction sur deux temporalités, si elle n'est pas originale, c'est vrai, apporte quelque chose en plus, à un roman historique classique. J'ai toutefois regretté un léger déséquilibre entre les deux intrigues qui se croisent. Plus passionnée par celle narrant les aventures de Nella et Eliza, que j'ai trouvée plus approfondie, plus engagée, quand celle de Caroline m'a paru insuffisamment exploitée, en tout cas pour certains éléments. Et de fait, je me suis réellement attachée aux personnages des femmes du XVIIIème siècle.
Une lecture enthousiasmante, c'est vrai, mais avec une petite réserve…
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En 1791, Nella, une apothicaire londonienne décide d'aider les femmes à sa manière. Elle fournit, à celles qui en font la demande, du poison. À la seule condition, que cette mixture mortelle soit administrée à des hommes.
En parallèle, durant notre époque, on suit les aventures de Caroline, une américaine, qui voyage en solo à Londres.
Cette escapade aurait dû se faire avec son mari pour leurs dix ans de noce, avant qu'elle ne découvre qu'il lui était infidèle. La parenthèse anglaise de Caroline va prendre un tournant inattendu, au moment où elle va découvrir une fiole et remonter le cours de l'Histoire.

Dans ce roman j'ai beaucoup aimé la relation qui se crée entre Nella l'apothicaire et Eliza Fanning, une jeune fille curieuse qui est entrée dans son officine pour le compte de sa maîtresse de maison. Il est difficile pour Nella de laisser entrer cette fille dans sa vie alors même qu'elle en ressent le besoin.

De retour dans un Londres contemporain, Caroline à travers ses choix, incarne la résilience, mais aussi la découverte et l'amour de soi.
Paradoxalement c'est le personnage avec lequel j'ai le moins accroché. Certains de ses choix paraissent incohérents bien qu'ils soient nécessaires pour établir un lien avec les années 1790.

Le premier roman de Sarah Penner est très instructif sur l'usage de certaines plantes et a eu le mérite de me transporter dans une autre époque, une époque assez sombre pour la liberté des femmes. La double temporalité de l'intrigue m'a particulièrement plu, ce qui n'est pas toujours le cas.
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Un bon moment de lecture sans prétention avec ce premier roman de Sarah Penner, autrice américaine qui nous emporte dans le Londres de la fin du XVIIIème sur les traces d'une petite entreprise féminine d'élaboration de poisons. L'histoire se déroule en février 1791. Nella, apothicairesse prodigue aux femmes londoniennes qui en ont besoin autant de remèdes contre leurs maux que de poisons qu'elle concocte pour les soustraire aux griffes de leurs bourreaux qu'ils soient leur époux infidèle, un frère abusif ou un père autoritaire. Nella oeuvre pour le bien des femmes comme sa mère le faisait avant elle dans sa petite échoppe ayant pignon sur rue. Contrairement à sa mère qui ne faisait que soigner, Nella est une tueuse en série et tient registre de toutes ses décoctions mortelles et du compte pour qui elle les a soigneusement préparées. Deux événements vont bouleverser son quotidien bien rodé : la rencontre d'Eliza, douze ans, qui vient pour le compte de sa maîtresse chercher un moyen de faire cesser les attouchements abusifs du maître de maison, M Amwell sur sa personne et la commande de Lady Clarence qui demande à Nella un poison pour tuer non pas son mari mais sa rivale. Nella pour la première fois fait deux entorses à son code de conduite : elle partage ses secrets avec Eliza et accepte sous la contrainte de fabriquer pour la première fois un remède mortel à destination d'une femme. Ces événements du passé vont télescoper l'histoire de Caroline, jeune trentenaire américaine d'aujourd'hui en vacances à Londres qui trouve lors d'une séance de fouille sur les berges de la Tamise un petit flacon estampillé d'un ours tout droit sorti de la petite échoppe de notre apothicaire. La voilà bientôt sur les traces de cette empoisonneuse et de ses secrets qui vont lui permettre d'oublier ses problèmes conjugaux en se jetant avidement dans cette enquête historique. Certes, le récit est parfois un peu convenu et empreint de quelques lourdeurs mais dans l'ensemble, on y passe un bon moment à échafauder nous aussi des hypothèses sur le passé sulfureux de Nella et l'on progresse très rapidement dans le récit. Certes, ce n'est certainement pas le meilleur roman sur les empoisonneuses qui ont sévi au XVII° et XVIII° siècle mais un bon roman de vacances, qui remplit avec satisfaction son office !
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J'ai choisi ce livre grâce à sa couverture : une jolie fiole ancienne avec sur l'étiquette « La petite boutique aux poisons ». Ça a attisé ma curiosité et je n'ai pas regretté ce choix. Caroline devait fêter son dixième anniversaire de mariage à Londres mais elle a découvert l'infidélité de son mari… Elle décide de partir seule et se retrouve par hasard à faire du « mudlarking », autrement dit elle fouille les eaux boueuses de la Tamise à la recherche de témoignages du passé jusqu'à ce qu'elle tombe sur une mystérieuse fiole avec un ours gravé sur le côté. Pour oublier ses soucis personnels, elle se lance à la recherche de l'histoire de cette fiole. En 1791, une certaine Nella tenait une boutique secrète dans laquelle elle fabriquait des poisons à destination des hommes… le choix de l'autrice d'alterner les chapitres entre l'époque actuelle et 1791 donne du rythme à la lecture. Tout comme Caroline le lecteur part sur les traces de Nella pour comprendre pourquoi cette femme a fait ce choix (alors que sa mère avait une boutique consacrée aux soins des femmes) et ce qui lui est arrivé. le mélange d'enquêtes, de références historiques fonctionne parfaitement. Il y a même un soupçon de magie et de feel good book puisque cette enquête va modifier la vie de Caroline.  
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